Avec JJK de son petit nom, nous sommes dans un arc sensationnel, renversant, qui défie tous nos sens et nous continuons à en apprendre sur les gens, le monde, les fléaux, les humains. Seulement à chaque fois, nous nous demandons autant dans quel état nous allons en ressortir, comment tout cela va finir, que comment le mangaka
Gege Akutami va réussir à maintenir un tel niveau. Assurément, il y arrive fort bien, ce tome regorge à nouveau d'action, y sont distillés des traces du passé, de simples instants de vie,
mais ils sont important et s'assurent de rendre l'impact pour le lecteur encore plus fort et violent.
Ainsi, nous sommes vraiment en train de suivre cette histoire pour le meilleur et pour le pire, et l'avenir n'a jamais été aussi incertain. En même temps, il n'y a pas que des scènes d'action phénoménales, mais aussi de la psychologie, de la stratégie, dépassant même le cadre de Shibuya, pouvant toucher à plein de choses.
Si vous voulez en savoir légèrement plus, pas de trop non plus, et à vos risques et périls lisez ce paragraphe sinon passez à la conclusion. Yuji est au bord du gouffre. Heureusement, il sont tous un peu comme une grande famille, et du secours va venir, mais cela va-t-il suffire ? Et peut-on récupérer Yuji ? Dans quel état ?
Mahito est un des personnages les plus énormes, mais au-delà de sacrés combats, il va aussi confronter Yuji avec ses paroles. Un moment fort et intéressant.
En bref, c'est de la folie, une pure dinguerie, je ne crois pas avoir déjà vu arc dans un shonen manga aussi noir et puissant, aux multiples facettes.
Chaque fois, il aura réussi le tour de maître aussi dans cet arc de faire plus fort que la précédente et de gagner en profondeur.
Décidemment, nous nous en relèverons pas indemne.