Rare sont les romans que je n'ai pas aimés durant mon marathon de lecture de cette fin d'année. Je n'avais encore jamais lu
Cécile Alix, que je savais assez connu, pour l'avoir vu être éditée chez de nombreux éditeurs jeunesses. Pas sûr de vouloir réitérer l'expérience.
On suit ici le parcours d'une adolescente qui ne parle plus à son père depuis que celui-ci à quitter le domicile familial au moment du divorce. Sa mère décide de partir à l'étranger pendant un an, et la voilà obliger d'aller habiter avec son père, sa belle-mère et sa petite soeur dont elle vient tout juste de découvrir l'existence.
L'écriture est lourde et vraiment pas agréable. J'ai vraiment eu du mal à tenir jusqu'au bout à cause de ça. Je n'ai jamais eu l'impression de lire les pensées d'une ado, et ça, ça me dérange. Et une fois qu'on reste en dehors d'une histoire, difficile d'y croire. Je n'ai pas cru à cette "nouvelle famille", à ces "nouveaux amis", et tout le reste.
Un acte manqué pour moi.