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Citations sur Histoires de voyages dans le temps (18)

"Ainsi... une langue latine !" Les yeux de Stane s'enflammèrent. Le désintégrateur tremblait dans sa main. "De quand venez-vous ?
- Du XXe siècle après Jésus-Christ. Notre pays s'appelle Lyonesse. Il se trouve de l'autre côté de la mer occidentale...
- L'Amérique !" C'était un soupir. "L'a-t-on jamais appelé Amérique ?
- Non. Je ne sais pas de quoi vous parlez."
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– Excusez-moi, dit Boyne sur un ton pénétrant, mais vous ne faites que revivre des rêves d'enfance. Vous désirez la richesse ? Certes, mais une richesse gagnée par vos propres efforts... par votre travail. Le succès non mérité n'apporte pas la joie, mais la culpabilité et la tristesse. Et vous le savez fort bien.

«  Le temps de la 3ème Avenue » Alfred Bester
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La patrouille du temps de Poul Anderson

- Ainsi, vous venez bien de demain ", murmura Stane. La sueur brilla soudain sur son front. "Cela m'intriguait. Parlez-vous l'anglais du futur ? "
Whitcom ouvrit la bouche, mais Everard le devança, en improvisant, car sa vie était en jeu.
"Quelle langue voulez-vous dire ?
- Celle-ci" Stane se mit à parler avec un accent particulier, mais d'une façon reconnaissable pour les oreilles du XXè siècle. " Je veux savoir d'où et de quand vous venez, vos intentions et tout le reste. Dites-moi la vérité où je vous réduit en cendres. "
Everard hocha le tête.
"Non, répondit-il en saxon. Je ne vous comprends pas."
Whitcomb lui lança un coup d’œil, mais se tût, prêt à suivre la voie tracée par l'Américain. L'esprit d'Everard fonctionnait activement, sous l'aiguillon du désespoir ; il comprenait que la mort le guettait à la première erreur.
"A notre époque, nous parlions ainsi." Il se mit à débiter une tirade de jargon inspiré de l'espagnol du Mexique.
"Ainsi...une langue latine ! " Les yeux de Stane s'enflammèrent. Le désintégrateur tremblait dans sa main. "De quand venez-vous ?
- Du XXè siècle après Jésus-Christ. Notre pays s'appelle Lyonesse. il se trouve de l'autre côté de la mer occidentale...
- L'Amérique ! "
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Le temps n’a rien de rigide ; l’homme a son libre arbitre.
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Je ne me prétends pas capable d’expliquer comment un voyage dans le temps surmonte ce paradoxe apparent ; tout ce que je sais est que les voyages dans le temps sont du domaine du possible.
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On demande "Hommes, 21-40, préf. célib., spéc. mil. ou tech., bonne santé, pour travail bien rémun., voyages loint. Soc. d'Entrep. Méc. 305 E. 45, 9-12 § 2-6."
"Vous comprenez qu'il s'agit d'un travail assez inhabituel, dit M. Gordon. Et confidentiel. Je pense que vous savez garder un secret ?
- Oui, en temps normal, fit Manse Everard. Cela dépend évidemment de la nature du secret".
M. Gordon sourit. Un sourire bizarre, une courbe serrée des lèvres qui ne ressemblait à rien que connût déjà Everard. Il parlait un américain courant et portait un complet d'affaires tout ordinaire, mais il se dégageait de lui une impression d'étrangeté qui ne venait pas uniquement de son teint bistre, de ses joues imberbes ou de l'incongruité de ses yeux mongols, effilés de part et d'autre de son nez mince d'homme blanc. C'était difficile à définir.
"Nous ne sommes pas des espions, si c'est à cela que vous pensez", dit-il...
(extrait de "La patrouille du temps" par Poul Anderson)
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Morniel payait pratiquement son loyer grâce à ce fauteuil, masse informe de velours élimé et crasseux, dont le siège était très haut à lavant et très bas à l’arrière. À peine y avait-on pris place que vos poches commençaient à se vider de leur contenu : menue monnaie, clefs, portefeuilles... disparaissaient dans une jungle de ressorts rouillés et de bois vermoulu.
Chaque fois qu’un nouveau venu arrivait chez lui, Morniel mettait un point d’honneur à lui offrir le « meilleur » siège. Et, tandis que l’invité se tortillait péniblement pour poser ses fesses entre les ressorts, Morniel le regardait avec des yeux brillants de bonne humeur et de convoitise. Il essayait aussi de le faire rire, parce que plus il se trémoussait, meilleure serait la récolte.
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Une machine à voyager dans le temps ne peut pas exister. C’est un paradoxe. Vos professeurs vous expliqueront que c’est impossible, parce que cela impliquerait que deux choses différentes occupent le même espace au même moment. Et qu’un homme pourrait retourner dans le passé pour se tuer quand il était jeune. Ce qui est complètement impossible.
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Je pense que cette machine vous fera faire un saut de deux ans dans le futur.
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La patrouille du temps de Poul Anderson

- Ainsi, vous venez bien de demain ", murmura Stane. La sueur brilla soudain sur son front. "Cela m'intriguait. Parlez-vous l'anglais du futur ? "
Whitcom ouvrit la bouche, mais Everard le devança, en improvisant, car sa vie était en jeu.
"Quelle langue voulez-vous dire ?
- Celle-ci" Stane se mit à parler avec un accent particulier, mais d'une façon reconnaissable pour les oreilles du XXè siècle. " Je veux savoir d'où et de quand vous venez, vos intentions et tout le reste. Dites-moi la vérité où je vous réduit en cendres. "
Everard hocha le tête.
"Non, répondit-il en saxon. Je ne vous comprends pas."
Whitcomb lui lança un coup d’œil, mais se tût, prêt à suivre la voie tracée par l'Américain. L'esprit d'Everard fonctionnait activement, sous l'aiguillon du désespoir ; il comprenait que la mort le guettait à la première erreur.
"A notre époque, nous parlions ainsi." Il se mit à débiter une tirade de jargon inspiré de l'espagnol du Mexique.
"Ainsi...une langue latine ! " Les yeux de Stane s'enflammèrent. Le désintégrateur tremblait dans sa main. "De quand venez-vous ?
- Du XXè siècle après Jésus-Christ. Notre pays s'appelle Lyonesse. il se trouve de l'autre côté de la mer occidentale...
- L'Amérique ! "
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