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EAN : 9791069970854
244 pages
Xaver Mouille (01/12/2020)
4.3/5   10 notes
Résumé :
« Ce récit autobiographique nous emmène de la Côte d’Azur en Roumanie. On découvre comment une histoire familiale peut prédestiner un de ses descendants et comment l’histoire personnelle de celui-ci peut entrer en résonance avec son histoire familiale. La boucle est bouclée. Mêlée à de nombreuses références d’événements contemporains, oubliés ou méconnus en fonction de l’âge du lecteur, cette histoire, truffée de détails, impressionne tant par l’émotion de certaines... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Je tiens à remercier, l'éditeur @Xavier Mouille pour ce livre ! le titre interpelle « de Saint-Tropez à Sibiu » (Sibiu est une ville de Roumanie)… (on imagine plutôt le voyage dans l'autre sens !) le premier chapitre de ce livre relate un départ qui a tout l'air d'une fuite ! Ce n'est pas par hasard que l'auteur (issu d'un milieu aisé et d'un niveau intellectuel très largement au-dessus de la moyenne) , ingénieur, diplômé de l'IC.P.E (ex institut de chimie et physique industriel dépendant de l'Université Catholique de Lyon), dirigeant de sociétés a choisi la Roumanie, comme lieu d'exil…
Au cours de 244 pages (illustrées de photographies personnelles), l'auteur confie de façon précise et chronologique, ses origines, sa famille, son enfance, ses études, ses débuts dans la vie active, la création de ses sociétés et finalement son départ hors de France. C'est concis, c'est net, pas de grandes phrases « alambiquées ».
C'est un récit, sans fioriture de sa vie que nous livre l'auteur, avec ses joies et ses peines, de ses combats, de ses victoires et ses défaites ; à chaque fois, il a su rebondir, faire face à l'adversité et finalement, prendre cette décision de s'expatrier (à l'époque, la Roumanie ne faisait pas partie de U E), et toujours la foi en Dieu !
J'ai vécu à Sainte-Maxime (face à St Tropez), j'habite Lyon, j'étais en « terrains connus »…. L'évolution technologique à laquelle il est fait référence m'a replongée dans le passé, je suis née en 1949, j'ai vu l'évolution de la TV, de l'informatique ces mastodontes qu'étaient les premiers ordinateurs… de toutes ces nouvelles technologies !
Honnêtement, si j'avais une petite appréhension au départ, elle a vite été balayée ! j'ai dévoré ce livre, j'ai aimé cette leçon de vie d'une personne qui ne baisse pas les bras devant l'adversité, qui a des valeurs qui, hélas, semblent être devenues « accessoires » aujourd'hui ! il faut bien vivre avec « son temps » et parfois on a de bonnes surprises comme ce livre que je n'aurai jamais découvert sans les réseaux sociaux !
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En découvrant cette autobiographie, je suis loin de mes lectures habituelles. Toutes inscrites dans le registre de la romance, je me suis laissée tout de même porter par l'écrit de cet auteur.

Il nous dévoile sa vie, sans tabou, les bons, ses réussites, comme les mauvais moments, ses défaites. Un récit chargé d'histoire, d'évènements, dont certains m'étaient inconnu étant née en 1972. Ils se sont déroulés, bien avant ma naissance, et qui ne figurent pas dans les livres d'histoire de mon époque. Cela grâce à sa mémoire fabuleuse que je lui envie. (J'avoue, je suis allée sur internet pour découvrir certains évènements, plus en détail)
Nous allons suivre l'évolution de la technologie à travers son vécu. Alors c'est certain, il y a énormément de détails techniques dans le récit et je m'y suis parfois perdue. Mais l'envie de découvrir ses aventures m'a fait passer outre et continuer ma lecture.
Nous allons parcourir avec lui, des milliers de kilomètres à bicyclette, découvrant la carte de France et des pays limitrophes dans les moindres détails.
Parfois son texte est agrémenté de titre de chansons, que je suis allée écouter durant la lecture, pour moi, un petit plus.
Il n'en reste pas moins, qu'après cette lecture sans les moyens qui nous sont aujourd'hui disponibles, nous retournons dans la simplicité de la vie, écouter la radio, se retrouver avec des camarades, séjournée en auberge, qui se perdent aujourd'hui, mais dont nous entendons parler par les anciens. Faire de vraie connaissance était bien plus simple, alors que maintenant, nous nous contentons parfois de connaissance virtuelle.
Un récit à découvrir, si vous aimez les biographies…ou pas !
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Avant tout, je tenais à remercier Xavier Mouille, pour l'envoi de ce livre il y a quelques semaines !
J'avoue d'abord avoir été surpris par cet envoi.
De Saint-Tropez à Sibiu”, je savais que Sibiu se trouvait en Roumanie, et de prime abord, ce n'est pas du tout le genre de lectures auxquelles je suis habitué. J'ai très vite été embêté…
Pourquoi moi ?
Je l'ai mis de coté ! (On verra plus tard…)
Puis au bout de quelques jours je me suis mis à la place de Xavier qui avait eut la bienveillance de me faire cet envoi. J'ai repris le livre et me suis rendu compte que c'était “son” histoire !
Je l'ai donc glissé dans la PAL de mes livres “Surprises dans la boîte aux lettres”…

Et grand bien m'en a pris !

Ce n'est pas un roman. C'est une tranche de vie, un roman autobiographique qui m'a fait voyagé, pas seulement grâce au photos disséminées le long des pages mais tout simplement par un texte touchant, comme peut l'être la vie.
J'ai traversé la France mais aussi l'Europe, parfois en vélo parfois en voiture.
Plutôt doué à l'école, notre “héro” fait des études un peu poussées et s'oriente très vite vers tout ce qui tourne autour des mathématiques et des sciences. C'est un “technique”. Ce sera ensuite un enchainement d'anecdotes, tantôt drôles, tantôt moins et puis la vie professionnelle, avec des hauts, des échecs, de la prison, et oui… les injustices, la vie de couple et de papa. La vie quoi !

J'ai finalement passé un moment agréable de lecture avec une préférence sur la première partie jusqu'au service militaire, mais le reste n'en n'est pas moins intéressant.

Malgré mon appréhension, une belle “surprise” vers laquelle je ne serai jamais allé !
Lien : http://leressentidejeanpaul...
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Retour sur: "de Saint-tropez à Sibiu" de Christian Avreix.

Merci à xavier mouille pour l'envoi.

Un roman autobiographique qui nous fait voyagé et connaître l'auteur dans son intimité.
Cette histoire ou devrais-je dire "SON" histoire est la fois : touchante, drôle et triste...

Il se livre sans tabou, il se met à nu devant nous..

Son enfance, adolescence, sa famille, ses amis, sa vie professionnelle, tout y passe.

Avec des anecdotes, ses échecs, les injustices subies et ses réussites nous sont retranscrites avec émotion et nous touchent en plein coeur.

Quand une vie lambda devient une bataille de tous les jours et que l'on est obligé de fuir sa famille et son pays pour vivre, cela donne un formidable roman et une belle leçon de vie..

Merci pour se très très bon moment de lecture.
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J'ai aimé cette lecture autobiographique.
La vie de l'auteur est un sacré parcours touristique qui donne envie de suivre ses aventures à travers les cartes de France et du monde.

Le texte est touchant, triste et drôle.
Grâce aux photos, tout au long de ce roman, nous sommes plongé dans son univers, dans sa vie qu'il nous partage, la vie de cet homme que rien n'arrête.
L'auteur, ce héros, est un battant. Il a su se relever à chaque fois.
Nous faisons connaissance avec sa famille, ses amis (es), ses victoires, ses défaites, ses joies, ses malheurs.
Quelques passages un peu trop techniques (à mon goût) rend ce récit quelques fois longuet.

A découvrir


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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Cette particule, que les frères Bogdanov appellent « la particule de Dieu », permet d’expliquer comment ce serait passé la création du monde. Selon Albert Einstein, la fission de la matière crée de l’énergie, et réciproquement, l’énergie que transporte la lumière peut créer la matière, et cette particule, le « boson de Higgs » est indispensable pour effectuer la transformation dans ce sens là.
On pourrait donc expliquer la création de l’univers il y a environ quinze milliards d’années par la transformation de la lumière en matière. Il est étonnant que dans plusieurs religions on assimile depuis longtemps Dieu le créateur à la lumière !
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Au contrôle des passeports, le fonctionnaire m demande pour quel motif je rentre en Roumanie, et il examine le contenu de la voiture. Quand je lui dis que je viens m’installer à Sibiu pour y créer une entreprise, il a l’air très heureux, ne fait aucun commentaire sur le matériel que je transporte et me souhaite une bonne chance. Je ne parle pas la langue roumaine, mais il comprend bien le français, comme un grand nombre de citoyens roumains depuis plus de trente ans. En effet, de 1947 à 1989, sous le régime communiste, la langue française été choisie par de nombreux parents, qui ne souhaitaient pas que leurs enfants apprennent la langue russe, seule alternative offerte. Depuis la révolution, la langue anglaise est proposée et majoritairement choisie comme première langue étrangère, la langue française choisie comme deuxième langue, ou, selon les régions, la langue allemande ou hongroise, en particulier en Transylvanie.
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Comme l’année précédente, le mois de juillet se passe à Saint-Tropez, où notre grand-mère nous amène à la plage le matin et nous fait faire les devoirs de vacances l’après-midi. Les mois d’août et septembre se passent à Amélie-les-bains. Dans cette ville, j’ai accès à la bibliothèque municipale, et je prends goût à la lecture de nombreux romans d’aventures et d’anticipation, entre autres ceux écrits par Jules Verne, dans la collection originale de l’éditeur Hetzel. Le premier livre est « les enfants du capitaine Grant », passionnant Roman qui raconte la recherche de leur père disparu par ses enfants autour du trente-septième parallèle de l’hémisphère sud.
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