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sur 1455 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Si c'est ça l'avenir qu'on nous prédit, eh bien moi ! je retourne chez ma Mamie et mon Papi…

Deux androïdes, Carbone et Silicium, vont suivre cette humanité en perdition sur près de trois cents années. Un vrai cauchemar ! Mégalopoles inhumaines, réchauffement climatique et montée des eaux, crises migratoires et guerres civiles, pénurie d'eau, milliards d'humains égarés dans la toile. Corps difformes, masques effrayants, rictus de haine et de souffrance, dessins torturés, brouillés… N'en jetez plus !

Une bande d'androïdes aussi loqueteux que des va-nu-pieds en train de s'écarter pour laisser en paix une abeille butiner dans ce monde dévasté est le seul moment d'espoir et de ravissement au milieu de ce pessimisme noir. C'est très peu...

Cette longue BD sombre et dépressive a au moins le mérite de nous faire réfléchir sur les relations que nous entretenons avec notre corps quand on passe plusieurs heures par jour devant les écrans et dans les rets de la grande toile. Qu'en sera-t-il demain ? Ce corps aura-t-il encore une quelconque utilité ?

J'avoue ne pas avoir compris ce salut collectif prôné par les androïdes.

Une BD vraiment apocalyptique et anxiogène qui nous en met plein la vue. Trop, peut-être !
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J'ai lu que Mathieu Bablet avait travaillé sur Carbone & Silicium pendant 4 ans. Ce n'est pas étonnant, son oeuvre est complète et fait flipper !

Noriko est directrice de recherche à la Silicon Valley : elle travaille sur l'intelligence artificielle et les robots. Les 2 que nous allons suivre s'appellent Carbone et Silicium. Nous sommes à la fin du XXIe siècle et ces derniers ont une mémoire de plus en plus importante et leurs capacités de communication et de traitement de données s'accroissent de générations en générations. Contrairement aux humains, ils se renouvellent alors que leur durée de vie est programmée pour ne pas dépasser 15 ans normalement…

Carbonne et Silicium vont traverser le temps, l'espace, vont obtenir les mêmes droits que les humains, vont voir le capitalisme renversé, puis rétabli ; le niveau des mers augmenter, et engloutir les villes du futur. Les « 100% humains » vont se faire de plus en plus rares et de toute façon, ils n'auront plus la liberté de penser…
Les dessins sont très parlants, il y a d'ailleurs des planches entières sans bulle, ce qui oblige le lecteur à être attentif aux détails.

Comme je l'ai dit au début, cette histoire fait peur : elle remet en question la notion de temps, d'espace, la mémoire collective et individuelle, la rareté des ressources naturelles, la place des robots dans la société, le système politique et économique du monde entier…
Ce ne sont pas mes thèmes de prédilection mais je ne peux qu'être admirative face à l'ouvrage.
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BD qui propulse le lecteur dans le futur où l'avancée technologique et le développement d'androïdes prennent toute leur ampleur.

Carbone6 et Sillicium14 sont de la dernière génération. Ils ont des « sentiments », la haine, l'amour, l'empathie et sensés s'occuper des personnes âgées en EPHAD… Ils ont 15 ans à vivre avant d'être « déconnectés ». Et oui, ils ont une durée de vie… Mais tout ne va pas se passer comme prévu. Ils vont détournés cet état de fait et réussir à s'échapper de « Tomorrow Fondation ».

Ils ont deux personnalités bien différentes, l'une est plutôt sédentaire, l'autre, plutôt aventurier. Ils se croiseront et se retrouveront à plusieurs reprises à des époques différentes. Ils vivront des expériences différentes.

Ils se poseront bien des questions sur l'évolution du monde, sur le devenir des humains, en fait, il se poseront les mêmes questions, que nous… Et oui, il ne faut pas oublier que ce sont des « humains » qui les ont créés.

Lecture mitigée de cette BD. Je ne sais pas quoi en penser en fait. Est-ce dû au fait que, plus les années passent, plus les humains de détruisent, ils n'apprennent rien et continuent à se détruire ? Est-ce cela le devenir de l'homme ? Ce n'est pas très réjouissant, en fait.

La fin laisse présager que l'amour aura toujours le dessus, oui, mais combien de vies détruites autour.

De toute façon, je ne serai plus là pour voir l'évolution du monde.

Les dessins sont déconcertants, assez flous, les corps ne sont pas proportionnés, déformés. En fait, androïdes et humains se confondent. Enfin, c'est comme ça que je les perçois. le monde est « grisâtre », sale et j'ai l'impression qu'il fait toujours « nuit ». Enfin, pas tout à fait, mais presque, on ne sait pas à quel moment de la journée l'action se situe. C'est un peu perturbant.

Mais ce n'est que mon avis. Chacun se fera son idée.
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Salut les Babelionautes
J'ai emprunté cet Album a mon Neveu car le thème développé dans cette BD m'interpelle, mais j'avoue que le futur imaginé par Mathieu Bablet n'est pas folichon.
Au début et la création des deux Androïdes, je me suis fais la réflexion qu'ils allaient se révolter et cela ne m'a donc pas surpris.
Mais très vite le monde est devenu fou et le passage du temps, accéléré par L Auteur, ne facilite pas la compréhension du lecteur de BD occasionnel que je suis.
Alain Damasio, dans la postface qui est en fin de l'album, a inventé un mot pour décrire l'oeuvre de Mathieu Bablet, la Solstagie.
Je vous copie sa définition ci après : la nostalgie d'une solitude qui ne serait pas totale, d'un lien entre humains qui ne serrait pas coupé, d'un tissage collectif qui pourrait être autre chose qu'un cluster d'atomes interconnectés par le réseau.
Bref cet album est à déconseillé au lecteurs qui dépriment car il décrit un monde ou je n'aimerais pas vivre.
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Je sors de cette BD assez dubitative et nauséeuse. Les thématiques sont très intéressantes : I. A., transhumanisme, dégradation de la Terre et survivalisme, mais rien n'est vraiment creusé. Les très récurrentes dégradations des corps m'ont rendues la lecture peu divertissante et assez écoeurante.

Carbone & Silicium sont 2 androïdes de première génération. Créés à l'image des humains, ils éprouvent des émotions, ressentent la douleur, peuvent avoir de l'empathie. L'objectif est qu'ils occupent des postes d'aides-soignants pour les personnes âgés, et qu'à travers leur "humanité", ils puissent leur apporter un soutien émotionnel. Mais les choses ne se passeront pas tout à fait ainsi et nous suivrons Carbone et Silicium sur plus de 200 ans, à travers leurs voyages et leurs rencontres. Sous leurs regards, nous observerons les conséquences du réchauffement climatique et la déchéance progressive de l'humanité.

C'est Mathieu Bablet, donc les dessins, les paysages et les couleurs sont magnifiques. Je ne suis pas toujours fan de la façon dont il dessine ses personnages mais c'est un goût personnel.

Cela dit, j'ai trouvé le pitch de départ assez bancal. Quel est l'intérêt de créer des androïdes exactement semblables à des humains ? D'autant que le prétexte des aides-soignants est évoqué au début mais jamais repris dans le reste de la BD. Je veux bien qu'il s'agisse d'une allégorie, mais que ce soit un minimum cohérent c'est mieux. La question des I. A., de leur statut, de leur rôle, de leur nature, est finalement très peu présente. Tous les androïdes réagissent exactement comme des humains. Ils ne sont pas programmés en fonction des tâches et des rôles auxquels on les destine, non, ils sont juste... des humains... avec des corps mécaniques... basta. Je ne suis pas forcément une amatrice de hard SF, mais j'avoue que je m'attendais à quelque chose d'un peu plus solide et réfléchi. Je ne sais pas si c'est le format BD qui ne permet pas vraiment de creuser les sujets, mais tout m'a paru survolé. Les dialogues pseudo-philosophiques de Carbone et Silicium m'ont, là encore, paru très simplistes et surtout vraiment mal amenés. Leur côté moralisateur et bien-pensant m'a vraiment agacé.

Ce qui m'a surtout rendue nauséeuse, ce sont les très nombreuses violences physiques que subissent les corps des androïdes, et particulièrement les corps féminins. OK ce sont des corps mécaniques, pourtant ils ressemblent énormément à des corps humains. Je sais que c'est voulu, que cette violence permet de choquer, de dénoncer, notamment de questionner le transhumanisme. À quel point serions-nous prêts à maltraiter nos corps pour aller toujours plus loin dans l'optimisation de nos capacités, pour être toujours plus connectés, pour prolonger toujours plus notre vie. Mais j'avoue que ça m'a parfois semblé un peu gratuit et certaines scènes sont particulièrement dérangeantes.

Enfin, le traitement très genré des androïdes, et surtout de Carbone et Silicium m'a géné. Carbone passe parfois d'un corps de femme à un corps d'homme, pourtant elle est clairement identifié comme femme notamment dans son aspect immatériel. La question de la non-binarité potentielle des androïdes n'est jamais posée. de même, Carbone répond à tous les stéréotypes féminins, elle est altruiste, optimiste, sociable, empathique, elle aime les humains, elle leur rend service. Quant Silicium est un globe trotteur, solitaire, cynique et individualiste. Pourquoi faire de ces 2 personnages des clichés ?
J'ai lu dans de nombreuses critiques que la relation entre Carbone et Silicium était vue comme une romance. Pourquoi ? Parce qu'il s'agit d'un "homme" et d'une" femme", alors ils sont forcément amoureux ? Pourtant absolument rien dans la BD ne l'indique. Il n'y a aucune raison de penser que leur relation soit autre chose qu'une profonde amitié, et n'est-ce pas suffisant ? N'est-ce pas déjà magnifique ?

En bref, cette BD présente de très belles planches. Elle est définitivement une sacrée prospective et une sacrée mise en garde de ce qui nous attend. Mais elle a beau être encore assez récente (publiée pour la 1ère fois en 2020), j'ai l'impression que beaucoup de choses ont depuis été apportée en SF sur les mêmes thématiques. Et que beaucoup de romans, surtout, m'ont déjà permis d'aller plus loin dans ma vison de ces sujets.


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Grosse déception. Je suis vraisemblablement passée à côté de ce "Chef d'oeuvre" dont j'attendais la lecture depuis des mois (le temps que la médiathèque l'achète, que ce soit mon tour de l'emprunter...) Quand j'ai reçu le mail m'annoncant que Carbone et Silicium m'attendait, j'ai cru que j'avais gagné un Oscar. Limite si je ne me suis pas achetée une robe de cérémonie pour aller la chercher!
Bref, je la rapporte chez moi et, je l'ouvre... Et, première grosse déception: les dessins sont affreux. Je n'ai jamais vu des personnages aussi laids de ma vie. Même la femme enceinte est repoussante. Ça commençait très mal niveau crédibilité. Qui peut croire en effet que des androïdes ultra sophistiqués et destinés à assister des vieux dans des EHPAD soient formés d'une tête minuscule posée sur un énorme corps gras gelatineux ?
J'ai essayé de passer outre mais sans succès. J'ajoute que plus le temps passe plus ils sont laids.
Bon, je me concentre alors sur l'histoire et, rebelote: grosse déception: c'est un plagiat de Real humains mâtiné de Blade runner lié avec une bonne dose de moraline bienpensante. Et c'est glauque, mon Dieu ! Jamais un sourire, jamais une once de joie ! C'est bien la peine d'être supra intelligent pour être aussi malheureux, soit immensément seul (Silicium) soit droguée au réseau (Carbone). Et puis ce n'est même pas visionnaire. Tout est présenté à l'aune ne nos préoccupations actuelles (migrants, droits des minorités, recherche de connexion). Pas non plus de pari fou (l'Afrique reste sous-développée au XXIIIeme siècle, les Péruviennes sont toujours des mamitas coiffés de chapeaux en alpaga).
Ce n'est que vers la moitié que ça a commencé à me plaire, quand enfin (!!!) le paradoxe de la condition humaine a été abordé (liberté et solitude vs société et aliénation, quête de soi mais volonté d'appartenance) dans une double problématique de surpopulation (surtout si on ajoute les robots) et de réchauffement climatique.
L'histoire d'amour entre les 2 androïdes est touchante mais bon, ça ne m'a pas suffi.
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Si vous aimez les ambiances post-apocalyptiques et le cyberpunk, vous pouvez jeter un oeil à cette histoire d'amour entre 2 robots qui traversent les âges et époques et parle en filigrane de notre finitude et notre rapport au monde/corps.

Dans la postface, Alain Damasio la définit comme une saudade mue par une "solstalgie" qui serait la "nostalgie d'une solitude qui ne serait pas totale, d'un lien entre humains qui ne serait pas coupé" et je trouve que ça situe bien l'atmosphère très particulière de la BD.

Pas le chef d'oeuvre ou coup de coeur annoncé de mon côté mais plaisant malgré tout.
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Une histoire de SF qui commence à notre époque, qui s'étire dans le temps, et qui pourrait tout à fait être un prolongement de notre évolution. La projection est très très pessimiste, je ne nous la souhaite pas !

L'histoire est d'une densité incroyable et les sujets nombreux: philosophie, écologie, politique, social…

Ce qui me fascine chez Mathieu Bablet c'est sa thématique récurrente sur le besoin de suprématie des humains sur d'autres créatures (comme dans Shangri-La) avec ici des robots auxquels on bribe leur intelligence pour toujours les garder à notre service.

Bd à la fois magnifique, choc et plombante ; à lire quand tout va bien pour vous!
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Plusieurs semaines ont passé depuis la fin de ma lecture, et pourtant cela ne m'a pas véritablement aidé à démêler mon ressenti à propos de ce roman graphique. Je vais tenter de mettre des mots dessus, en espérant être suffisamment compréhensible. Mais ce qui est sûr, c'est que la lecture de Carbone & Silicium est une expérience en soi, et très personnelle à mon avis parce qu'elle comporte une grande part de poésie qui induit une interprétation subjective du sens de l'histoire.

Dans un premier temps, la patte graphique de l'auteur ne peut manquer d'intriguer ou de faire réagir. Alors on aime ou on n'aime pas, mais je trouve qu'elle colle vraiment bien à l'oeuvre : le côté organique des dessins rappelle que ce que l'on suit tout au long de l'histoire ce sont des êtres qui bien qu'artificiels, sont par beaucoup d'aspects très semblables aux humains. Les paysages sont magnifiques, la Terre qui évolue au cours du temps, les villes qui se transforment, qui s'effondrent. Tout cela est empreint d'une sensation de grandeur, parce que l'on prend du recul sur notre avenir. Enfin … un de nos avenirs plausibles. On reste quand même du côté pessimiste des possibles, quoique … l'espoir transparait de temps en temps. Mais je ne nous souhaite pas d'emprunter ce chemin là pour autant.

Nos deux androïdes, Carbone et Silicium, vont être témoins de l'évolution de l'humanité dans son ensemble au cours de leur existence. Leur voyage amène de nombreuses réflexions sur la fatalité, l'espoir, les choix qui comptent vraiment. L'un décidera d'arpenter le monde, l'autre de créer des liens avec ceux qui le peuplent. Malgré tout, au cours de leur périple ils ne cessent de se croiser et c'est leur divergence de point de vue qui initie toute la réflexion sur la vie et son sens. En effet, malgré leurs différences avec leurs créateurs, les robots ont eux aussi un destin à choisir. Presque comme deux humanités qui évoluent en parallèle et s'influencent mutuellement, toutes deux condamnées à rester sur la même Terre qui se meurt.

Très poétique, plutôt pessimiste, mais surtout beaucoup de questions sans réponses. C'est une des choses qui m'a manquée : loin de moi l'idée d'obtenir des solutions toute tracées en lisant une histoire, mais je n'ai finalement jamais réussi à capter la direction dans laquelle nous emmène l'auteur. Pourquoi tout ça finalement ? J'en ressors plus confuse qu'à l'arrivée. Peut-être que je suis passée à côté d'un sens plus profond, mais la fin me laisse un sentiment d'inachevée.

Certains questionnements m'ont plus intéressée que d'autres, par exemple le choix du temps de vie accordé aux IA. La question est lancée au début de l'histoire lors d'une réunion entre scientifiques, et la perspective de pouvoir choisir sa durée d'existence nous interroge aussi sur ce que nous gagnons à être mortels. C'est une piste très intéressante que j'aurais aimé voire creusée de manière impactante, malheureusement il me semble qu'elle aurait pu l'être davantage. Des interrogations parfois sans suite, d'autre qui m'ont semblé plus futiles, mais tout de même cela transmet la vision de l'auteur sur le monde. En choisissant d'aborder ces questions, il pointe ce qui a de l'importance pour lui.

Bref, en résumé je garde un sentiment assez nébuleux de ma lecture. Je ne pense pas avoir réussi à capter tous les messages que l'auteur a voulu transmettre, même si le cadre de l'histoire a tout de même réussi à m'enchanter. Si vous êtes intrigués, je vous conseille finalement de vous faire votre propre avis : peut-être que le périple de nos deux androïdes résonnera plus clairement en vous.
Lien : https://ecla-temps.fr/carbon..
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Carbone et Silicium sont les deux premières IA fortes : elles ont accès à la totalité du savoir humain emmagasiné depuis l'invention de l'écriture. On suit l'histoire de ces deux androïdes, la relation qui les unit, leurs aspirations, leur compréhension du monde, pendant plus de deux siècles. Avec, en toile de fond, l'évolution de la société, la place des robots, l'état de la planète qui se dégrade...

Je n'ai pas réussi à accrocher à ce roman graphique. Ni aux dessins, ni au scénario, pourtant prometteur et qui suscitait mon intérêt. L'histoire m'a paru longue... à maintes reprises, je me suis demandée où diable l'auteur voulait nous emmener... Les quelques réflexions philosophiques sur la société humaine et l'écologie m'ont paru communes et sans réelle profondeur.

Bref, à ma grande déception, je n'ai pas été emportée.
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