Les chroniques de Dunia, tome 4 : Dysterre

Extrait 1 : « L'être humain, cette irascible petite bête qui, vexée ou mécontente, avait ou allait raser une planète entière à coup de bombes pour un lopin de terre qui ne devait être aujourd'hui qu'un cuisant souvenir. L'homme, ce monstre capable, par abus de confiance, d'appuyer sur un bouton rouge juste pour avoir un dernier mot qui, au final, ne serait rien d'autre que la fin de l'humanité. »
Comment pourrais-je vous décrire cette lecture de ce dernier opus qui vous fera comprendre tellement de choses ? Plongé sans préambule dans un monde inconnu peuplé de différent peuple, Nanie sait comment s'y prendre pour nous laisser muet ou muette. Chaque détail, petit est-il, chaque moment, situation, décision et conséquence ne sont pas là par hasard.
Une plume aussi libre que l'esprit qui la contrôle et pourtant à eux deux ils nous offrent un panel illimité de couleur et d'émotions bien plus vaste qu'un océan. Comment ne pas l'aimer ? Comment en devenir addicte après cette lecture qui pour moi n'est pas la première ? Oh que non j'ai lu toutes ses histoires, enfin presque il me manque un tome 2 (ha ha)
Nanie, n'est pas un genre, un thème, une plume, elle est un tout qui nous envoie des uppercuts psychologique et émotionnel démentielle. À chacun de ses livres, je me sens tellement moi seule.
La saga de Dunia, est encore une fois une aventure EXTRAORDINAIRE qui ne faut pas ignorer même si le genre fantasy vous fait peur ou ne vous intrigue pas. Je peux vous dire qu'après ces oeuvres vous changeraient votre vision des choses.
Extrait 2 : « L'être humain n'était qu'un monstrueux fiasco. Ma vie était un échec. J'avais voué mon existence à une chimère ».
Un coup d'âme monumental pour la totalité de la saga !
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