Psychopathes&Cie : La soif pathologique de profit et de pouvoir

C'est pour une poignée de pain que j'ai eu ce livre soit 0.50$ autant dire, rien du tout. Malgré qu'il soit très petit, ce petit livre rouge, fait moins que deux cent pages. Donc, vous apprendrez en lisant que la corporation ne date pas d'aujourd'hui mais elles ont commencé au 18 siècle en Angleterre. Qu'avant notre mondialisation, les sénateurs de là-bas avaient tenté de trouver des lois afin de rendre les compagnies au même niveau que les individus afin pouvoir arrêté les individus sans scrupules. Cela a marché en partie, mais depuis les temps on changé les lois avec et nous dans tous ça on essaie d'y voir plus clair. Malgré qu'il date de 2004, c'est très actuel, comme par exemple lorsqu'on apprend que Walmart avaient près de deux cent compagnies en Chine pour la fabrication des vêtements, Pfizer qui durant les années 90 a voulu rendre un peu de ses profits à la communauté tandis qu'en ce moment, on se jete sur leur vaccin du Covid-19. Goodyear qui a voulu montrer son côté plus humain durant les années 1908 jusqu'en 1930, etc... Pour moi, la nouvelle qui ma le plus marquée dans ce livre fut lorsqu'un enfant a insisté a son père pour qu'il achète une caisse de vingt-quatre bières afin d'avoir la coupe Stanley ou celle des chips ainsi que toutes les publicités faites aux enfants. Si tout comme moi, vous en connaissez peu sur les véritables motivations des compagnies et que vous voulez en savoir d'avantage ce livre est pour vous. À lire absolument !

Joel Bakan est professeur d'université canadien. Son livre décrit la pathologie de la 'corporation' (=la société commerciale) qui ne serait faite que pour enrichir les actionnaires. Cette vue étriquée de la 'corporation', résultat d'un rétrécissement dramatique de l'"esprit du capitalisme" à la recherche du profit financier, vous laisse perplexe: que faut-il faire pour sortir de cette ornière? L'homme n'est pas incapable d'assumer une responsabilité dans la construction d'un monde commun 'durable'. L'homme n'est pas que ce prédateur avide de gains et de jouissances qui n'a aucune estime de lui-même ni des autres.