Grâce à Babelio, j'ai appris que "
Vipère au poing " avait une suite; Folcoche n'était pas morte!
Dans mon commentaire de "
Vipère au poing" j'avais écrit:"On aboutit ainsi à la destruction d'une enfance!!Comment se remet-on d'une éducation aussi rigide, aussi autoritaire?Quel adulte devient-on?"
Notre enfance nous laisse une trace indélébile qui suit, voire poursuit jusqu'à la mort.
Hervé Bazin essaye d'y répondre dans "
la mort du petit cheval".
L'enfant devenu adulte traîne avec lui un bagage qui peut-être rempli de revanche, alors vaut mieux le laisser à la consigne et repartir...
En tout cas, l'écriture d'
Hervé Bazin ne manque pas de causticité.
Il me reste à lire "
Cri de la chouette" troisième et dernier volet de cette saga familiale. Folcoche n'est toujours pas morte.
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