Agatha Raisin enquête, tome 11 : L'enfer de l'amour

Tome 11 de la saga Agatha Raisin Enquête.👠


Agatha a enfin gagné ! James est officiellement son époux 💍 et toutes les veuves, célibataire des Costwolds ont bien intérêt à se tenir à distance ! Seulement, tout n'est pas rose... James en tant que célibataire endurci a énormément de mal à se faire à la vie à deux ; reprochant à sa compagne maintes choses comme son incapacité à tenir la maison, ses piètres talents de cuisinière, sa tendance à se maquiller excessivement, à porter des tenues trop courtes, des chaussures trop hautes... Bref, à être seulement Agatha Raisin.
Lorsque Melissa Sheppard (une ex) tourne autour de James, Agatha voit rouge ! Après les avoir surpris au pub ensemble, Agatha les menace de mort. Alors, lorsque l'on découvre la maison de James saccagée et des taches de sang un peu partout, et un James évaporé... les autorités se posent des questions. Et, quand le corps de Melissa est découvert, les soupçons se font plus pressants.

Agatha, persuadée que James est encore vivant, décide de mener l'enquête... quitte à enfin ouvrir les yeux sur sa relation... Heureusement, Sir Charles est là pour l'épauler.


Bon, soyons honnêtes. J'ai ouvert ce livre avec une énorme appréhension. 😓 Après la déception et l'ennui des précédents tomes, je pensais retomber dans une énième aventure avec une intrigue redondante et sans intérêt. Au final, le bilan est plus positif qu'au départ. La disparition de James permet de retrouver une Agatha Raisin plus piquante, plus décapante comme dans les premiers volets de la série. le personnage de James avait tendance à trop la limiter dans ses faits.
L'intrigue de départ est plutôt moyenne avec la mort de Melissa, la disparition de James et les suspects en pagaille. Heureusement, le personnage de Charles et les échanges verbaux qu'ils ont sont par moment comique et ramène à l'histoire son aura décapante.🙂


Certes, ce n'est pas de la grande littérature, il n'y a rien de transcendant dans cette série, mais ce nouvel opus permet de revenir aux fondamentaux de la série. La fin est humoristique et la conclusion dans la veine de la série. Espérons cependant que ce renouveau perdurera.🙂
A lire pour un moment de détente sans prise de tête. 😉

L'amour au coeur des Costwolds
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Ah cette chère Agatha.... Je ne me lasse jamais de ses frasques et péripéties.
Ce énième opus est comme les autres. On se dit toujours que c'est le dernier qu'on lit mais dès que le suivant sort en France, on ne peut s'empêcher de poursuivre notre lecture de cosy mystery.
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On avait laissé Agatha de manière assez misérable. Maintenant elle rayonne, elle est (enfin!) mariée avec le James de ses rêves. Tout est-il enfin idyllique ?
Vous aimeriez le savoir, n'est-ce pas?
C'est qu'Agatha a gardé des habitudes de célibataire et que James ne supporte plus ses façons trop cavalières. Alors il décide de prendre une maîtresse. Encore une fois, c'est une rumeur villageoise. Et vous connaissez ce genre de potins. Ca se répand plus vite qu'une pandémie de grippe !
Agatha décide de prendre le taureau par les cornes. Elle agit avec son tact légendaire. Mince, la maitresse est tuée! Savez-vous qui va enquêter?
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Encore une aventure rondement menée. Agatha a le don de m'agacer avec ses attitudes de midinette mais elle me fait rire. J'apprécie beaucoup les situations rocambolesques voire absurdes de cette saga.
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Le clap de fin apporte un petit twist qui donne envie de lire la suite.

Cette série a ceci de particulier qu'à la fin de chaque tome, je me dis que c'est le dernier que je lis car les intrigues sont répétitives et qu'Agatha, l'héroïne, a le chic pour m'agacer dans tout ce qu'elle fait, mais dès qu'un nouveau tome paraît, je l'emprunte aussitôt à la bibliothèque !
Agatha est désormais une femme mariée, elle a réussit on ne sait trop comment à épouser son voisin après lequel elle courait depuis des mois. Mais la vie maritale n'est pas toujours un long fleuve tranquille…
James trouve qu'elle s'habille vulgairement, qu'elle ne sait pas tenir une maison (il n'a pas tord!), qu'elle se maquille trop (pas faux!), qu'elle ne sait pas cuisiner (pas faux non plus!)... et les reproches ne font qu'augmenter au fil des jours.
Notre Agatha si indépendante et amoureuse en est toute chamboulée et le pire arrive quand elle soupçonne son tout nouvel époux de la tromper. Bien sûr la maîtresse présumée va être assassinée.
Agatha est encore une fois mêlée à l'enquête et elle va encore se mettre en danger alors que personne ne lui a rien demandé.
Malgré les péripéties nombreuses et les dangers qui rôdent, cette gourde continue à se soucier de sa petite personne même dans les moments les moins appropriés.
A t'on idée de se remaquiller 4 fois par jour alors qu'on va être interrogé dans un poste de police ou d'aller faire les boutiques de vêtements de luxe alors qu'on cours après un assassin ?
La fin apporte un bel élément de surprise et incite donc à attendre le prochain avec impatience.

Agatha devrait être folle de joie, elle a enfin épousé son cher James. Hélas tout n'est pas rose et leur mariage tourne vite au vinaigre. Chacun vit dans son cottage accusant l'autre d'infidélité. Jalousie et orgueil font rage.
Mais James disparaît. Sa maîtresse présumée, Melissa Sheppard, est retrouvée assassinée. Les soupçons se portent bien évidemment sur James.

On tourne un peu en rond. Manque de crédibilité (maladie de James et la fin du récit). Pas le meilleur de la série.

A ce jour, ce tome est celui que j'ai sans probablement le moins apprécié *.
Probablement parce qu'il m'a paru moins ancré dans la société britannique, et de ce fait perd un petit côté exotique qui profite à certains autres tomes.
Agatha et son charmant voisin James, enfin mariés, ne vont pas profiter longtemps de l'idyllique vie conjugale qu'ils (ou que du moins Agatha) avaient imaginée. Chose impensable, James disparait dès le deuxième chapitre ; et ce, alors qu'il est vite soupçonné de meurtre.
Cette chère Agatha ne va bien évidemment pas rester les bras croisés. Epaulée par son ami Charles, elle se lance à corps perdu à la recherche de sa moitié. Il ne faut pas trop chercher de crédibilité dans l'analyse psychologique des personnages. C'est le cas dans n'importe lequel de ces courts romans, mais vraiment flagrant dans L'enfer de l'amour car l'intrigue repose sur les fêlures des personnages.
La présence de sir Charles apporte un plus à ce roman un peu bancal, moins cocasse que mes lectures précédentes.

(* Note à moi-même : c'était avant d'avoir lu le tome 13…)

Une aventure d'Agatha Raisin, ce n'est jamais une grande surprise, ça a plutôt le goût d'une petite gourmandise. On sait où on met les pieds. Ce tome ne fait pas exception. Quelques longueurs, un schéma classique, mais une solution qui reste cachée suffisamment longtemps. Parfait pour une petite pause entre deux romans.

Dans ce tome, on découvre une héroïne plus sensible et chagrinée par sa vie amoureuse qui va à vau-l'eau mais qui ne perd pas le goût de l'enquête policière. Distrayant.

Un peu comme le Pamplemousse, à la fin de chaque tome je me dit "pfff...elle pourrait se renouveler quand même", et puis à chaque nouveau tome...je craque !
Ma critique sera rapide, parce que c'est pour moi un roman de transition, vu la fin qui promet des cartes un peu rebattues. Et franchement tant mieux, parce que j'avoue que la relation Agatha/James commençait à être hyper lassante.
Donc on est loin de la fraîcheur et de l'humour des premiers, mais j'avoue que le cliffhanger final me donne envie de lire le prochain...dans quelques temps, pour ne pas saturer !

Agatha et James sont mariés ! Enfin, Agatha a réussi à passer la bague au doigt de James. Mais, en célibataire endurci, James a du mal avec cette nouvelle vie accumulant les reproches souvent sexistes envers Agatha.
Mais le pire reste à venir lorsque James se fait agresser, qu'une voisine se fait tuer et que James disparaît.
Heureusement Charles sera là pour soutenir Agatha et l'aider à résoudre tous ces mystères… surtout celui de James… qui nous laisse sur une fin inattendue.

Un 11ème tome réussi pour moi. Une lecture fluide, des personnages sympathiques, une conclusion « surprise » qui donne envie de lire la suite.

Dans ce tome, Agatha fait équipe avec Charles ( Suis-je la seule à trouver qu'ils font une belle équipe ces deux-là?) afin d'innocenter James, qui est le suspect principal dans l'affaire du meurtre de Mélissa Sheppard. Non seulement doit-elle admettre que son mariage avec son voisin est un échec, mais elle doit composer avec la disparition de celui-ci. S'il semble avoir été lui aussi assassiné, l'absence de corps et l'abandon de sa voiture font plutôt pencher la balance pour une fuite. Afin de comprendre ce cas mystérieux, Agatha enquête sur Melissa, sur son passé et son profil. Son investigation conjointe avec le Sir la mène dans l'univers de la maladie mentale et de la drogue.

Les choses ne sont définitivement pas simples pour Agatha avec ce salaud de James. Oui, oui, je ne cache pas que ce bellâtre ne m'inspire aucune sympathie! C'est le typique célibataire beau, mystérieux, pas facile d'approche et au tempérament franchement détestable. Mais merci à M.C Beaton, c'est un personnage crédible et non l'archétype de ce genre qui fini par se découvrir une soudaine vocation de mari parfait, comme c'est souvent le cas dans les romans d'amour. Je suis contente de voir qu'une autrice ne tombe pas dans ce piège grossier. Un homme qui se sait beau, qui se la joue mystérieux et brutal, ça ne fait pas un bon conjoint, ça fait un contrôlant et un batteur de femme, dans la vraie vie. En fait, dans ce tome, on découvre que James est tout sauf un mari parfait, et ce malgré l'arrivé d'un grave problème de santé. C'est un infidèle, un égocentrique et finalement, un lâche. Heureusement, Agatha présente les premiers signes de lâcher prise. Y a pas à dire, avec son mari qui la traite mal et son ami aristocrate qui a plus en commun avec un chat qu'avec un Lord, heureusement qu'il y a Bill Wong! C'est définitivement le plus charmant des personnages masculins de cette série et à ce jour le seul qui n'ait jamais nuit à Agatha.

En somme, un autre roman rapidement lu et une Agatha toujours efficace.