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sur 644 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
M.C. Beaton. Hamish McBeth. Qui prend la mouche. 2006. Albin Michel. 2019. 248 p. 4 étoiles. Excellente traduction de Karine Guerre.
On vit au rythme d'un village anglais au bord de l'eau.
Un crime est commis. le commissariat prend l'affaire en main.
Hamish n'est qu'agent de police mais…Il connaît tout le monde, il observe, il déduit, il est gentil, il rentre partout…Mais ce crime est une énigme. Son patron…je vous laisse le découvrir. Bref, la grosse armada débarque de la ville et traite Hamish comme le demeuré du coin.
Mais…il s'en fout. Il ne leur en veut pas, non. Simplement, ils savent qu'ils ont tort.
Et à son rythme, lent et doux, comme si de rien n'était il va aider à dénouer tous les fils de l'intrigue.
Très relax à lire. Un peu d'humour. Dépaysant. Une petite enquête. La première de cette série pour Hamish McBeth.
M.C. Beaton a écrit 3 séries : Agatha Raisin, Hamish Mac Beth, et les Chroniques de Bond Street.
Je vous recommande chaudement les Chroniques (babelio.com/livres/Beaton-Les-chroniques-de-Bond-Street-tome-1/1424655/critiques/3800630)

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Dans le passé, j'ai déjà lu un Hamish Macbeth sans Savoie que c'était une série. J'avais bien aimé le personnage principal et ça m'a donné envie de tour lire. Il tombe donc à pic dans notre #cosymysterybulle. Hamish est un homme typique : écossais de pur souche, roux, qui aime prendre son temps... J'ai trouvé que l'histoire se lisait facilement, même si l'intrigue est assez lente à s e mettre en place. Après il faut le dire mais la thématique de la pêche ne m'a pas passionnée. Il y a parfois de longues descriptions qui peuvent paraître un peu fade pour une non-inconditionnelle de la pêche. Lorsque l'enquête commence, le lecteur se rend compte petit à petit que chacun a des secrets plutôt bien cachés et qu'ils souhaitent conserver. J'ai apprécié la fin qui se déroule à la manière des grandes conclusions d'Hercule Poirot.

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Avec le premier tome de cette nouvelle saga, M.C. Beaton nous présente son tout nouveau personnage : Hamish Macbeth, un policier plus fidèle à la douce quiétude de son village des Highlands qu'à l'éclat des honneurs et au retentissement de la gloire. Tout comme Agatha Raisin, Hamish est doté d'une personnalité originale, sensible et attachante, teintée d'humour. Pour passer de l'excentricité tonitruante de notre légendaire détective en herbe à la discrétion déroutante de cet humble policier de métier, la romancière a utilisé une écriture beaucoup moins « tapageuse » afin de narrer les aventures de son nouvel enquêteur au tempérament taciturne mais au flair redoutable.

Ce roman est dans la même veine que les précédents, le suspense va crescendo et l'identité du coupable, qui n'est évidemment pas celui auquel on pensait, ne sera révélée qu'à la fin de l'ouvrage, avec en prime un épilogue à la Hercule Poirot. Chapeau bas Marion Chesney !

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Et voici le cosy mystery dans toute sa splendeur ! icon_smile On m'a longuement parlé d'Agatha Raisin, dont j'ai au moins le tome 1 en PAL, mais c'est sur l'autre anti-héros (cela dit sans savoir si Agatha est « anti », mais c'est un autre sujet) de cette autrice que s'est porté mon premier choix, pour un autre challenge… et même plusieurs autres dans la foulée !

Il n'y a pas de crime sanglant, pas de suspense haletant comme on pourrait trouver dans un polar aux accents de thriller par exemple. On est plutôt dans l'étude d'un microcosme particulier, l'autrice agissant presque comme le ferait un entomologiste avec une société d'insectes, à les analyser un par un sur son petit cheminement seul ou en groupe, dans ce décor majestueux des Highlands écossais (que je ne connais pas, mais espère bien découvrir un jour !), au sein d'un petit village perdu et à peu près oublié, si ce n'est son école de pêche à la mouche qui attire des stagiaires de tout le Royaume et même au-delà, chaque semaine. L'une des participantes cette semaine-là est imbuvable dès le tout début, et on se demande au fil des pages quand on va enfin la retrouver morte, si seulement quelqu'un finit par la tuer (car peu à peu ça devient improbable !) … car les sentiments que fait passer notre entomologiste à travers ses différents personnages bien typés, finissent par déteindre sur le lecteur ! Il faut pourtant attendre plus de 45% de lecture avant de trouver le corps. L'enquête qui en résulte ensuite semble presque décousue, partagée entre une équipe envoyée depuis la ville voisine, forte de ses certitudes mais assez peu efficace, et le policier local, notre fameux Hamish Macbeth.

Ah ! ce personnage ! contrairement à ce que j'aurais pu craindre, après avoir lu certains commentaires et entendu certaines mises en garde, je l'ai trouvé extrêmement sympathique dès sa 1re apparition ! Certes, il ne paie pas de mine, et passe limite pour le simplet du village, même pas capable d'arrêter les braconniers. Mais il est surtout d'un solide bon sens tout campagnard, d'un immense réseau de relations grâce à une famille tentaculaire, d'un sens de la dérision qui ne l'empêche pas de souffrir de la méchanceté de certains sans le montrer pour autant ; bref, d'un côté « humain » tout simplement, un peu profiteur peut-être, mais tellement ouvert aux autres, à l'écoute sans se mettre en avant, agréable… on voudrait l'avoir comme meilleur ami !

Ainsi donc, je ne vais pas le cacher : l'enquête n'a pas de véritable intérêt en tant que telle. Des indices sont semés mais tout le monde est suspect de toute façon, et ça se conclut de cette façon un peu abrupte où tout est révélé à la fin, comme dans le cas de ce que j'appelle un « mauvais policier ». Mais étonnamment, la résolution de cette enquête m'a bien moins intéressée, finalement, que toute cette étude des interactions entre ces inconnus qui se retrouvent à vivre en quasi-communauté pour une semaine, cette dynamique qui fait qu'on ne s'ennuie jamais, même dans les passages très descriptifs sur les techniques de pêche à la mouche – on ne peut pas dire que ça me passionne follement, mais c'était immanquablement, parfois même simultanément contrebalancé par la description de ces magnifiques paysages.

Pour moi c'est donc un tout bon premier roman d'une série qui s'annonce prometteuse, j'ai passé un très bon moment avec cette lecture-détente absolument savoureuse.
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Je continue d'explorer le « Cosy mystery » , après les deux premières aventures d'Agatha Raisin l'an dernier, la première enquête du duo Loveday et Ryder, l'approche des mystères de Honey Church puis la découverte de l'incroyable Lady Gorgiana alias Son Espionne Royale, je suis partie en Ecosse faire la connaissance d'un certain Hamish Macbeth, policier municipal de son état dans une bourgade au coeur des Highlands, Lochdubh.


Une école de pêche à la mouche qui organise régulièrement des stages de pêche au saumon pour les mordus de la canne à pêche, des stagiaires plus étonnants les uns que les autres et une ambiance tendue entre eux devient le terreau idéal pour une intrigue mordante.

Hamish, gaillard rouquin, est dépourvu d'ambition professionnelle tout en étant doté d'une intuition naturelle, il aime déambuler dans le village, vaguement sermonner les braconniers dont le terrain de jeu est le domaine d'un riche propriétaire foncier du coin, Sir Halburton-Smythe ; il aime jouer au pique-assiette, l'air de rien, toujours à se faire offrir un café ou un repas. Il aime aussi, sans peu d'espoir de retour, la délicieuse Priscilla Halburton-Smythe qui le secondera dans son enquête. Ne pas oublier son chien baveux, compagnon indéfectible répondant au nom de Towser.



Chaque lundi le couple John et Heather Cartwright accueille un groupe de stagiaires pour leur apprendre les subtilités de la pêche à la mouche et ferrer ainsi saumons et truites dans les lochs des environs. Certains « moucheurs » reviennent régulièrement attirés par la beauté des lochs et des paysages et surtout intéressés par les tarifs très raisonnables appliqués par l'école.

Fait surprenant, l'ambiance entre les stagiaires est tout de suite tendue ce qui n'augure rien de bon aux yeux de John Cartwright : ces derniers se regardent en « chien de faïence » sans piper mot. La glace sera-t-elle difficile à briser ?

Le ton est rapidement donné par une des participantes, une dame à l'allure imposante et à l'air revêche, Lady Jane Winters, langue de vipère notoire du milieu journalistique londonien. Que vient-elle faire dans ce coin perdu des Highlands ? Un reportage incognito ? Toujours est-il qu'elle met mal à l'aise les participants par ses remarques cruelle et vipérines, agaçant sans cesse les uns et les autres. Seul est épargné le benjamin de la bande, le jeune Charlie âgé d'une douzaine d'années.

Les stagiaires forment une galerie de portraits hétéroclites : le couple new-yorkais, Jeremy le jeune homme riche et séduisant, Daphné une jeune femme issue d'un milieu aisé, un colonel vantard, Alice une jeune femme de milieu modeste, timide et d'une grande naïveté à la recherche du prince charmant et Lady Jane Winters artiste en matière de saupoudrage de givre dans les relations humaines.

Tout est réuni pour que la situation de délite lentement mais sûrement. L'intrigue s'installe doucement, tisse les liens possibles entre chaque personnage, elle orchestre les situations qui apporteront, subtilement, le chaos. Ce dernier survient lorsqu'on découvre le corps de Lady Jane lors d'une leçon de pêche. Qui a pu perpétrer ce crime épouvantable ? le Colonel Moutarde, le Docteur Olive, Mademoiselle Rose, Madame Pervenche, Madame Leblanc ou le Professeur Violet ?

Quant à l'arme du crime...



Le pauvre Hamish est très vite mis sur la touche par l'équipe de détectives chevronnés d'Edimbourg et relégué au rôle de spectateur. Or, c'est sans compter son caractère bien trempé tapi sous une apparente désinvolture et oublier l'intuition qui le taraude et l'amène à enquêter de son côté et à son rythme.

Grâce à sa très grande famille dispersée aux quatre coins du monde, Hamish réussit à rassembler divers renseignements sur la victime et les stagiaires qui pourraient avoir tous une bonne raison de faire taire la très mordante Lady Jane, terreur des tabloïds et célèbre pour ses portraits au vitriol des gens rencontrés lors de ses reportages à sensation. Son domaine ? Découvrir les petits secrets que chacun garde bien cachés dans ses placards. En quelques coups de plume, Lady Jane peut ruiner la plus enviable des positions sociales.

Le dénouement aura lieu grâce à la perspicacité et à la sagacité d'Hamish qui ridiculise l'équipe de gros bras diligentée au village.

Ce qui fait le charme de ce « Cosy mystery » est l'art de dentellière de l'auteure, M.C Beaton, dans les interactions de ses personnages qui se croisent, s'éloignent pour de nouveau de rapprocher dans des concours de circonstances dictés par des motivations peu élégantes. Ainsi en est-il avec le beau gosse Jeremy, séducteur irritant, et ses conquêtes, Daphné et Alice. La première étant plus aguerrie que la seconde qui ne voit pas combien le bellâtre – vraiment ce personnage m'a agacée et je n'ai éprouvé aucune empathie envers lui – la manipule pour obtenir ce dont il a envie.

M.C Beaton décortique avec humour, teinté d'ironie, la nature humaine avec ce qu'elle a de pire et de meilleur en elle. Ainsi Alice comprendra-t-elle que la richesse appelle la richesse, que le Prince Charmant n'existe que dans les contes et qu'elle vaut mieux que tout le clinquant qui attire le misérable bourdon Jeremy.

« Qui prend la mouche » est un roman dont l'intrigue se déroule un peu à la manière de la pêche à la mouche : on lance la ligne avec une délicatesse alliée à une maîtrise du poignet pour effleurer l'eau avec la mouche et attirer peu à peu sa proie. le lecteur se laisse attirer par les petits détails, les trouvailles au bon moment ce qui le fait avancer et surtout ne pas lâcher le livre.

« Qui prend la mouche » est aussi ce qui arrive aux personnages : qui prend la mouche peut perdre beaucoup plus qu'il n'y a à gagner. Aussi est-il plus sage d'ignorer les piques venimeuses de Lady Jane à moins qu'on ne soit trop impulsif comme un saumon ne pouvant résister à l'appel scintillant d'une mouche au ras de l'eau.

J'avoue avoir craqué pour la nonchalance teintée de fausse désinvolture d'Hamish Macbeth : il est drôle, il est intuitif, il est amoureux d'une étoile hors d'atteinte, il aime sa vie et surtout il aime les gens.

Il a un goût de revenez-y auquel je succomberai avec joie parce que Hamish Macbeth est un peu l'inspecteur Colombo écossais : il semble un peu niais, lent à agir et joue avec subtilité sur ce qui paraît et le faux-semblant. Il joue à être benêt alors qu'il est loin de l'être... comme Colombo.


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Une nouvelle série de M.C. Beaton avec Hamish MacBeth, une série antérieure à la série Agatha Raisin. Hamish Macbeth est l'unique policier du petit village de Lochdubh situé à l'extrême nord-ouest de l'Écosse, dans les Highlands. Un policier qui n'a pas beaucoup de travail, en général, le braconnage et les beuveries du week-end. Et avec diplomatie, Hamish règle la plupart des conflits à l'amiable. Physiquement Hamish MacBeth est grand, maigre, son uniforme est trop court et ses cheveux roux flamboyant dépassent de son képi… C'est l'aîné d'une fratrie de sept enfants, et Hamish était devenu policier non pas par vocation, mais pour aider financièrement ses parents agriculteurs.
Ce premier tome nous fait découvrir la pêche à la mouche lors du stage organisé John Cartwright et son épouse Heather. Pour cette cession les participants sont très variés, un couple de New-Yorkais, Mr et Mrs Roth, une jeune fille londonienne, Alice Wilson, lady Winters, veuve, Charlie Baxter, un garçon de douze ans, hébergé chez sa tante pendant la durée du stage, Jeremy Blyth venant de Londres, Daphné Gore d'Oxford et un commandant à la retraite, le major Peter Frame. Nous allons suivre avec eux les différents apprentissages et les relations qui se nouent entre les stagiaires… En particulier, le caractère fort et désagréable de lady Winters avec à peu près tout le monde… Chacun à ses petits secrets et lorsqu'un beau matin, le corps sans vie de Lady Jane Winters est découvert dans un étang, de nombreux présumés coupables sont possibles…
Hamish n'est pas dépourvu d'intuition et son sens de l'observation va l'aider à découvrir le coupable.
Cette nouvelle série est très amusante, Hamish MacBeth est un personnage attachant et j'ai très envie de continuer à le découvrir un peu plus dans les futurs tomes de la série…
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Je ne connaissais pas l'univers de M.C Beaton avec Agathe Raisin. Et oui je sais je dois être l'une des rares à ne pas l'avoir lu.
Alors grande surprise et belle découverte, je ne vais pas vous le cacher, j'ai adorer Hamish.
🕵️‍♂️La première enquête, Qui prend la mouche nous emmène dans un petit village Lochdubh situé au beau milieu des Highlands en Ecosse.
Un stage de pêche à la mouche est organisé par John et sa femme Heather Cartwright dans le village.
Parmi les stagiaires, Lady Jane Winter qui profite de chaque instant pour lancer des piques au groupe. Une vraie langue de vipère qui met plus d'un mal à l'aise et en colère jusqu'à lui souhaiter sa mort.
Son sort est donc scellé, son corps est retrouvé dans la rivière. Alors qui l'a assassiné ?
Hamish Macbeth accompagné de son chien et de son acolyte Priscilla Halburton-Smythe vont démêler le vrai du faux pour démasquer l'assassin.
🕵️‍♂️ Cette enquête est une lecture tout simplement rafraîchissante qui se déguste avec un thé of course !
Le personnage Hamish est juste top, sous son petit air sympathique, il a de la verve et un regard cynique sur l'humain. Et c'est drôle.
🕵️‍♂️Quand à l'atmosphère qui nous rappelle Agatha Christie (la mise en place du décors et ses personnages, le dénouement), on en redemande... Ne vous fiez pas aux apparences derrière cette couverture sympathique, il y a de vrais sujets comme les apparences sociales, la condition des femmes.
Vous l'avez compris, j'ai adoré Hamish. J'ai donc enchaîné le tome 2,
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Je ne sais pas pourquoi mais j'ai été très vite attirée par cette couverture et ce résumé. Les Highlands, paysages que j'aime! En plus Hamish me semblait marrant.

Et je ne fus pas déçue. J'ai été séduite par l'ambiance du roman et les paysages, ça se passe au bord des lochs, dans les rivières, il y a du vocabulaire sur la pêche à la mouche.

L'ambiance est très présente, plus que l'enquête elle-même. le meurtre arrive assez tard, l'auteure prend le temps de poser son décor et ses personnages et ensuite l'enquête est assez rapide, mais en ce qui me concerne rien de gênant.

J'ai trouvé un humour bien présent, c'est assez léger, même si certains personnages méritaient quelques baffes...

En bref: une très bonne lecture et je lirai la suite avec plaisir
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Je viens de finir la série d'Agatha Raisin et je découvre celle d'Hamish Macbeth. Après l'Angleterre, nous voici en Écosse, deux pays où j'ai eu la chance de séjourner. Belle surprise ! J'aimais bien Agatha, mais je préfère Hamish. Je sens que je vais dévorer les 15 tomes suivants.
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Dans un village, un couple organise un séjour pêche. Un groupe de 12 individus arrive pour s'adonner à la pêche et visiter mais rien ne se passe comme prévu… Je vous laisse découvrir la suite.

C'est un livre bien écrit, qui se lit facilement. le lecteur rentre très rapidement dans l'histoire. L'auteur a fait un gros travail de recherches sur l'activité de pêche qu'elle décrit à la perfection. le seul reproche que l'on pourrait lui faire est que l'on connaît très vite l'identité de la victime. On pourrait également lui reprocher d'attendre presque la moitié du livre pour lancer la scène de crime mais au bout du compte ce n'est pas dérangeant car le lecteur est pris au jeu de l'auteur. L'auteur découd son histoire comme dans un huit clos car tout le monde est suspect à un moment ou un autre et on les innocente au fur et à mesure. On devine quand même l'identité du meurtrier avant la fin. Les personnages sont toujours aussi haut en couleur avec cet humour grinçant que l'on connaît à l'univers de M.C. Beaton. Comme d'habitude c'est frais, sans prise de tête et le livre se lit avec beaucoup de légèreté.

Je conseillerai ce livre à un public adulte et adolescent voulant commencer gentiment dans l'univers du polar mais également pour les amateurs du style Agatha Christie.
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Comment est perçue lady Jane Winters par les participants du stage de pêche ?

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Thème : Hamish Macbeth, tome 1 : Qui prend la mouche de M.C. BeatonCréer un quiz sur ce livre

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