Les savants ne sont pas riches. Ils sont tellement passionnés par leur travail qu'ils oublient de gagner de l'argent pour le rapporter à leur famille
Azouz, le " gone " du bidonville de Chaâba, a grandi d'un coup. Pour montrer à ses copains de l'immeuble qu'il est un homme, il les suit dans le cambriolage rocambolesque d'une bibliothèque. Les quatre " voleurs d'écritures " découvrent alors un vrai trésor : la caverne d'Alivres Baba... Quelque part dans la forêt, deux gamins capturent des courants d'air et des étoiles... Deux nouvelles tendres qui content les rêves et les espoirs de l'enfance.
J'ai trouvé le livre court et intéressent, pas mal à lire pour les enfants comme pour les parents. L'ambiance était légère et l'histoire passionnante.
Si t'as vu de l'or, il est forcément dans les livres. C'est toujours plein de richesses dans les livres
Les savants meurent pauvres. Comme mon père. Et les riches, qui ont beaucoup de sous, vivent plus longtemps. Ils achètent le temps de voir plus de choses sur la terre. La douceur de vivre. (p.22)
Quand mon père est devenu DCD, j'ai vu que la vie c'était comme les lettres de l'alphabet qu'on pouvait réciter en s'arrêtant aux premières lettres : A, B, DCD... Après c'est plus la peine, on est mort.
ça sert à rien d'apprendre tout de A à Z quand on n'est pas sûr de dépasser le D. (p.20)