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C'est le premier roman que je lis de Juliette Benzoni, auteure spécialisée dans les récits historiques. Les joyaux de la sorcière fait partie d'une série de 15 romans mettant en scène le prince Aldo Morosini, antiquaire spécialisé dans les joyaux anciens.

Le point de départ de l'intrigue est un portrait sur lequel la baronne d'Ostel pose avec une somptueuse parure de rubis dont il ne reste aucune trace dans sa succession. le prince Morosini est prié par les héritiers d'enquêter. Il semblerait que les joyaux en question font le malheur de leurs propriétaires et soient aussi rouges que le sang qu'ils ont fait couler à plusieurs reprises déjà…

L'essentiel de ce livre n'est pas dans l'investigation mais dans la découverte de la société particulièrement aisée à laquelle appartient notre prince. Vénitien et également petit neveu d'une marquise vivant à Paris, les décors sont toujours fastueux que ce soit dans un hôtel particulier ou à bord du transatlantique l'Ile-de-France. Descriptions d'oeuvres d'art, d'architecture, ou encore des toilettes de ces dames, l'auteure s'y connait et maitrise son sujet. Les personnages ne sont pas en reste et la tribu entourant le personnage principal est bien sympathique… Madame la marquise prend son quatre-heures au champagne et le meilleur ami d'Aldo est un égyptologue sympathique quelque peu naïf en ce qui concerne la gente féminine.
L'ensemble ferait presque oublier la recherche des bijoux. Ce fut mon cas, j'ai eu un petit coup de mou dans la partie du récit qui se passe à Rhode Island mais la lecture reste sympathique.
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De rouge joyaux

Les joyaux de la sorcière est l'une des quinze aventures du Prince Aldo Morosini, antiquaire vénitien spécialisé dans les joyaux anciens, écrite en 2004 par Juliette Benzoni, journaliste française et auteure de romans historiques.

L'histoire se passe au début de l'année 1929, peu de temps avant la construction de l'Empire State Building et le krach boursier d'octobre 2029.

Evrard Dostel fait appel aux services du Prince Morosini pour retrouver des bijoux présents sur un portrait de sa tante, la baronne d'Ostel, et dont il n'a pas hérité à son décès : une grande croix de diamants, perles et rubis assortie à de longs pendants d'oreilles. Aiguillonné par la curiosité de retrouver ces bijoux qui auraient appartenu à Bianca Capello, maîtresse puis seconde femme de François Ier de Médicis, il part à leur recherche à Londres puis en Amérique. D'une simple recherche de bijoux, la mort de plusieurs femmes ressemblant à Bianca Capello emmènera notre héros sur la trace d'un odieux personnage Aloysius C. Ricci pour tenter de l'empêcher de commettre plus de crimes.

Même s'il apparait difficile de rentrer dans l'histoire dans un premier temps, on finit par avoir l'envie de savoir si notre héros va réussir à éviter un nouveau meurtre. Finalement la recherche initiale de bijoux finit par passer complètement au second plan par rapport à l'aventure, rendant l'histoire plus palpitante. L'auteure a une écriture assez plaisante et une manière d'aborder un sujet historique compréhensible même pour un néophyte. C'est un ouvrage que l'on lit facilement mais sans saveur particulière.
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Je découvre Juliette Benzoni.
Il faut que je l'avoue, je ne suis arrivée à elle que par dépit de ne pouvoir me procurer (acheter) le dernier Ken Follett. J'ai donc réclamé un roman historique à ma bibliothécaire. Et comme j'étais vraiment dépitée, j'en ai pris deux.
En rentrant chez moi et en prenant enfin le temps de me renseigner, j'ai alors découvert que les deux romans censés me consoler faisaient partie d'une série de 15 livres racontant les pérégrinations d'un prince antiquaire vénitien, Aldo Morosini.
J'ai pioché les numéros 7 et 8. Ça aurait pu être pire... style 3 et 10. Encore que…
Je dis « encore que » parce que ça raconte une aventure bien distincte à chaque roman.
Pour ce numéro 7, on devine que l'aventure se déroule entre 1921 et 1929.
Aldo est beau, Aldo est intelligent, Aldo a un grand coeur, Aldo est classe, et Aldo est intègre (sauf quand il s'agit de rester fidèle à sa femme, mais un aventurier italien sans aventures ça ne doit pas être crédible).
Là, je me rends compte que vous devez penser à Aldo Maccione… Mais oubliez.
Notre prince Aldo, lui, est « principalement » à la poursuite de fabuleux bijoux historique. Il nous fait découvrir, entre autres, le paquebot « l'île-de-france » et le Newport de l'époque. Et surtout il rebondit de découvertes en indices, faisant face à de nombreux dangers.
Évidemment, Aldo s'en sort in extremis. Ouf !

En fait, les aventures d'Aldo m'ont fait penser aux aventures de Sydney Fox, version début XXe. J'ai lu ce livre comme j'ai pu regarder les épisodes de Sydney : malgré le fait de n'être ni surprise, ni décontenancée, ni amusée, et je n'ai jamais songé à arrêter en cours de route.
Bref, c'était pas la panacée.

J'ai maintenant le numéro 8 sur mon bureau et je crois que je vais le lire.
Je suis toujours dépitée.
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Après "La Perle de l'empereur" que j'avais trouvé un peu décousu, revoici notre Prince Morosini au meilleur de sa forme dans ce 7ème épisode.

Fini les Indes, c'est cette fois ci aux USA que sa quête perpétuelle de bijoux historiques fameux (et son penchant à jouer les Don Quichotte) vont l'amener. Après la démesure des maharadjahs, c'est dans celle tout aussi insolente des milliardaires Américains que notre Prince antiquaire va se plonger. Mais sous la fortune de certains se cachent les tentacules de la Mafia qu'il semble bien vain de vouloir affronter tout seul. Et oui seul, car pour la seconde fois une femme a fait tourner la tête de ce pauvre Vidal-Pellicorne et causé une certaine brouille entre les deux "presque frères".

Toujours bien intégré à un background historique que Juliette Benzoni nous sert à merveille, ce nouvel épisode, un peu prévisible au niveau de l'intrigue, nous fait encore passer un bon moment, et dès la dernière page refermée, l'envie de s'attaquer à "Les larmes de Marie-Antoinette" m'a taraudé.
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J'ai trouvé ce livre dans une boite à livres (très belle idée que ces boites à livres...) pour le Challenge Solidaire 2022, sans savoir qu'il faisait partie d'une série d'enquêtes du prince antiquaire Aldo Morosini. Quelques références aux livres précédents n'empêchent pas de comprendre le déroulement de l'histoire.
Dans cette aventure, Aldo Morosini part à la recherche de joyaux qui auraient appartenu à Catherine de Médicis, et se retrouve aux prises avec la mafia.
Après un démarrage un peu lent, l'intrigue et surtout l'environnement dans lequel elle se déroule, m'ont fait passé d'agréables moments. Les descriptions des toilettes, des paysages et des décors nous plongent dans la société aisée des années 1920, en France et aux États-Unis.


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Livre lu à la base pour le Challenge SOLIDAIRE 2022, mais, n'ayant pas terminé à temps, j'ai quand même poursuivi afin de connaître le dénouement de l'histoire.

Il s'agit d'un tome faisant partie d'une série de 15 appelée le Boiteux de Varsovie.
Cette série met en scène le prince antiquaire vénitien Aldo Morosini, qui accomplit différentes missions pour dénicher des pépites anciennes.

Dans ce tome, Les joyaux de la sorcière, il est appelé à la rescousse pour lever le voile sur le mystère entourant un tableau : la baronne d'Ostel qui vient de mourir, s'est faite représenter en peinture avec une sublime parure de joyaux qu'elle n'a jamais portée ni possédée. Pourquoi ?
C'est ce que ses héritiers cherchent à savoir.

Aldo paré de ses plus beaux habits vénitiens mène l'enquête et fait des découvertes macabres concernant l'histoire de ces bijoux, liés à différentes femmes et à un homme très riche et suspect N°1.
Il voguera de France à Angleterre pour finir aux États-Unis où se situera le dénouement, non sans prendre de risques, et quelques petits plaisirs des yeux et du corps au passage.
Le tout avec son ami égyptologue Adalbert qui a fait une rencontre féminine un peu particulière.

L'environnement fastueux décrit par Juliette Benzoni prend vite le dessus sur l'enquête en elle-même.
Entre des paquebots de luxe, des demeures sublimes aux décorations ornementées avec goût, en passant par des soirées dignes de Versailles, on en prend plein les yeux.

Beaucoup de longueurs descriptives dans ce tome.
Les derniers chapitres révèlent une histoire un peu farfelue.
Cependant, l'humour et l'environnement de l'époque sont un atout à ce roman.
Ce tome est indépendant des autres et, même s'il y est fait référence à des aventures d'autres tomes (ce qui est parfois pénible), cela n'empêche pas de suivre l'histoire.
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Une littérature plaisir qui nous emmène sur la piste d'un criminel et de bijoux "rouges" en compagnie du Prince antiquaire Aldo Morosini en ce début de 20è siècle. Une lecture sans prétention, agréable, divertissante et rythmée malgré quelques longueurs dans le texte.
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