Le prince cruel, tome 1.5 : Les soeurs perdues

Aie de l'audace, aie de l'audace, mais point trop d'audace, de crainte que dans ton cœur, le sang se glace.

Il vaudrait peut-être mieux que tu ne me confies pas ton cœur. Je pourrais le briser.

Ni toi ni moi n’avons jamais été douées pour lire l’avenir dans le ciel. Ni toi ni moi n’avons une vision de nuit assez bonne pour interpréter précisément le mouvement des étoiles.

AIE DE L’AUDACE, AIE DE L’AUDACE, MAIS POINT TROP D’AUDACE, DE CRAINTE QUE DANS TON CŒUR LE SANG SE GLACE.

Quant à moi, je vais rester là, à m'entraîner face au miroir, jusqu'à ce que tu cesses de me regarder ainsi.

"Je peux te montrer une autre version de toi-même, Taryn. Une version que tu n'as jamais imaginée. C'est terrible d'être une jeune fille prisonnière d'une histoire. Tu peux être plus que ça. Tu peux être la conteuse. Tu peux inventer l'histoire. Faire en sorte d'être aimée de tout Terrafæ"

Il est parfois plus facile d'être furieux contre ses proches que contre ceux qui le méritent.

Tu sais ce qui me fascine chez toi ? Tu es comme quelqu'un d'affamé devant un banquet, et qui pourtant s'interdit de manger.

Tu vas vivre éternellement. Si tu m'aimes, je ferai partie de ton histoire. Je continuerai à vivre à travers elle.

Commençons par une histoire d’amour. À moins que ce soit une histoire effrayante. On dirait que c’est surtout la fin qui fait la différence.