Le prince cruel, tome 1.5 : Les soeurs perdues

Te regarder, c'était comme regarder dans un miroir et détester l'image qu'il me renvoyait.

“ Aïe de l’audace, aïe de l’audace, mais point trop d’audace, de crainte que dans ton cœur le sang se glace ”

Il était aussi beau qu'un cœur brisé.

“Commençons par une histoire d’amour.
À moins que ce soit une histoire effrayante. On dirait que c’est surtout la fin qui fait la différence.”

« Aie de l'audace, aie de l'audace, mais point trop d'audace, de crainte que dans ton cœur le sang se glace. »

Si tu oses te présenter à ma fenêtre, tu me trouveras en train d'attendre.

- Pourquoi es-tu fâchée contre Jude ? m'interrogea-t-elle, une fois nos chevaux à la même hauteur.
[...]

- C'est elle qui est fâchée, me défendis-je. Elle est tout le temps en colère. Et à cause d'elle, tout le monde nous en veut.

- Il est parfois plus facile d'être furieux contre ses proches que contre ceux qui le méritent, déclara Vivi.

Aie de l’audace, aie de l’audace, mais point trop d’audace, de crainte que dans ton cœur le sang se glace.

Et puis un jour, arrive un prince sur son destrier. Il voit la fille et la trouve belle - non pas en dépit de ses souffrances, mais à cause d'elles.

AIE DE L'AUDACE, AIE DE L'AUDACE, MAIS POINT TROP D'AUDACE, DE CRAINTE QUE DANS TON CŒUR LE SANG SE GLACE.