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Citations sur Psychose (47)

"Mère avait raison. Ce sont des chiennes. Mais qu'y faire? Surtout quand une chienne est aussi adorable que celle-ci et qu'on sait qu'on ne la reverra jamais."
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Les résolutions, c’est comme les migraines, on les oublie quand la douleur part.
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- Si je ne t'aimais pas, sais-tu où tu serais aujourd'hui ?
Il n'avait pas voulu le dire, mais il ne put s'en empêcher :
- Tu serais à l'asile d'aliénés, dans l'aile des fous criminels. C'est là que tu serais.
Il coupa la lumière, tout en se demandant si elle l'avait entendu, et si elle l'avait compris.
Apparemment, oui. Car, lorsqu'il eut refermé la porte, elle lui répondit. Sa voix était d'une douceur trompeuse dans les ténèbres, mais pourtant les mots s'enfoncèrent dans sa chair plus profondément que le rasoir dans la gorge de M. Arbogast.
- Oui, Norman, tu as sans doute raison. C'est là que je serais, probablement. Mais je ne serais pas toute seule.
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C’est curieux, se disait Sam, on est toujours persuadé de tout savoir de la vie de quelqu’un d’autre simplement parce qu’on voit cette personne fréquemment ou parce qu’on lui est sentimentalement attaché.
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- Je me demande dans quel trou nous sommes, murmura-t-elle. On cambriole une banque et le shérif est à l’église. Qu’est-ce qu’il fait ? Il prie pour que quelqu’un attrape les bandits à sa place ?
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Tuer quelqu’un est une chose terrible. Et même si l’on a la tête dérangée, on le sait parfaitement.
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Comment peut-on connaître les autres alors qu’on ne se connaît pas soi-même ?
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A la vérité, il y avait deux êtres en lui : l'enfant et l'adulte. Chaque fois qu'il pensait à sa mère, il redevenait un enfant
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Je sais ce que tu penses, Norman, je sais tout de toi, mon petit. Plus que tu ne le crois, car je sais même ce que tu imagines. Tu penses que tu voudrais bien me tuer, n’est-ce pas, Norman ? Mais tu ne peux pas me tuer. La force, c’est moi qui l’ai. Je l’ai toujours eue. J’en ai eu pour nous deux. C’est pourquoi tu ne te débarrasseras jamais de moi, même si tu le voulais vraiment. Bien sûr, en ton for intérieur, tu n’en as pas véritablement le désir. Tu as besoin de moi, mon petit. C’est ça, la vérité, n’est-ce pas ?
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Et soudain Mary se regarda dans son miroir : elle y vit un visage ravagé, aux traits tirés. Elle jeta contre la glace le premier objet qui lui tomba sous la main et le miroir se brisa en mille morceaux. Mais elle comprit que ce n’était pas si simple, car elle venait de se briser en mille morceaux, elle aussi.
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