Chargée de communication, je me fais le relais d'un message reçu pour
Bertrand Boileau de la part d'un fan, Bernard Leprince, vieux soixante-huitard mi-anarchiste, mi-punk qui n'utilise pas les "réseaux sociaux numériques". Je le cite :
" BERTRAND, J'écris ton nom en MAJUSCULES tant «
le champ des possibles » fait partie des grandes oeuvres de la littérature de ce début du siècle.
Zelda ne m'a même pas manqué (pardon à elle !), mais je la retrouverai avec plaisir certainement dans un prochain ouvrage. Merci pour les décortications musicales professionnelles des morceaux d'AC/DC, les conseils avisés aux fondateurs de sectes, les petites histoires de la Californie ... On en oublie parfois l'histoire elle-même qui parait insignifiante devant le chef d'oeuvre littéraire de l'ensemble de tes connaissances.
À relire bien sûr, je l'ai lu bien trop vite impatient que j'étais de dévorer le chapitre suivant, à relire pour pouvoir le savourer, à relire aussi car ma petite mémoire ne m'a pas permis de retenir tant de détails et descriptions, à relire enfin pour ma culture personnelle car ce livre est culturellement très riche.
Merci à toi de l'avoir écrit."
Merci monsieur Leprince !