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3,7

sur 279 notes
René Boley était un homme comme on n'en fait plus, un homme d'une France désormais oubliée. Forgeron à 14 ans, champion de France de boxe amateur dans sa catégorie, réincarnation de Jésus au théâtre paroissial, chanteur d'opérette à ses heures perdues, il passait son temps libre à chercher des mots dans le Petit Larousse illustré et à tirer la luge de son fils, Guy. Celui-ci prend aujourd'hui la plume pour rendre hommage à ce père, illustre dans son enfance, puis ange déchu après le décès du petit frère. Il rattrape ces années où, jeune révolutionnaire en quête de liberté, il se moquait de ces parents vieille France, encroûtés dans leurs origines prolétaires et leur peine, et fais revivre de rares moments volés de communion avec ce père hors du commun.

Je ne suis pas tout de suite rentrée dans cette histoire, dans ce monde si différent du mien, dans le récit d'enfance de cet orphelin de père subissant les assauts d'une mère intransigeante. Les premiers chapitres m'ont laissée de marbre, n'ont créés entre ce livre et moi qu'une distance d'incompréhension, qu'une difficulté à saisir le sens de ces phrases si travaillées. J'ai délaissé Quand Dieu boxait en amateur quelques jours, puis je l'ai repris, guidée par toutes les critiques élogieuses que j'avais parcourues. J'ai laissé la poésie de Guy Boley m'envahir, j'ai oublié ma vie pour me plonger dans celle de René, j'ai fait un grand pas en arrière dans le temps – et la magie a opéré, j'ai finalement été transportée !

Amusée par le cynisme sans pitié de l'auteur, ses gentilles piques sur l'Eglise, la religion, l'électorat d'extrême-droite, et le monde prolétaire, j'ai bien ri des péripéties du père abbé pour imposer son spectacle, cette passion du Christ mêlée de boxe avec René en rôle-titre. Puis c'est dans la troisième partie, plus personnelle et plus sincère, que les larmes me sont venues, qu'un sourire attendri s'est dessiné sur mon visage à la lecture de ce père, ce grand enfant rêveur et passionné. J'aurais peut-être mieux compris si j'avais lu Fils du feu avant – il aurait peut-être fallu faire les choses dans l'ordre. Mais ça ne m'a finalement pas empêchée d'apprécier ce deuxième opus, que je n'arrivais plus à lâcher sur la fin, accrochée au style atypique, à ce don incroyable pour agencer les mots et détourner les expressions populaires, et plus accrochée encore à cet amour filial intense et rédempteur. Un « uppercut littéraire« , indéniablement.
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Parfois, dans la sélection des 68 premières Fois figurent des seconds romans… Allez comprendre !
C'est ainsi que je découvre ce livre de Guy Boley au titre prometteur, Quand Dieu boxait en amateur, mais sans avoir lu son premier livre, Fils du Feu.

Pour cette session de rentrée, ce roman est ma deuxième lecture…
Dès les premières lignes, je sursaute. On dirait du Balzac : « Besançon est une petite ville… ». le décor est posé, montré, décrit ; nous y sommes aux côtés de l'auteur et de sa famille, de son père surtout, dont il va nous parler.
Guy Boley écrit bien, très bien même ; il a le sens de la formule, de la phrase qui fait mouche, de la répartie. C'est un mélange subtil de poésie, de langage soutenu et familier, cru parfois. L'intime, le très intime, tout ce qui touche au corps dans les extrêmes du sport et de la dépendance nous est donné à lire ; pour les sentiments, c'est plus difficile, plus viril, dans les subtilités de la paternité, de l'amitié.
Si ce roman nous parle et nous touche, c'est parce qu'il met en lumière des souvenirs qui pourraient être les nôtres, à certains moments donnés. Personnellement, ma grand-mère citait souvent le poème de Victor Hugo, « Après la bataille », et mon propre père est aussi ce héros-là, à sa façon…

Sincèrement, je ne connais rien à la boxe ; sans aller plus loin, je n'aime pas ça ; dans mon univers, c'est peut-être juste quelques noms, Marcel Cerdan ou Mohamed Ali avec une bonne dose de Sylvester Stallone dans Rocky… et, pourtant, le récit du combat de championnat m'a marquée, avec la boxe comme métaphore de la vie, ou mieux comme eucharistie… Il fallait oser, tout de même…
Par contre, je connais un peu le milieu catho-caté et, là, j'avoue, j'ai jubilé ! Quelle justesse dans la caricature : le vieux père curé est assez savoureux dans ses réactions au concile Vatican deux ! Et surtout, quelle belle analyse de la Bible qui contient tout sur le plan de la dramaturgie : « courroux, délire, douleur, folie, amour, passion et trahison »… !

En ce qui concerne la métaphore proprement dite reposant sur l'expérience du ring de boxe pour sublimer le combat que mène Jésus, je suis moins enthousiaste même si je salue son originalité.
Le volet biographique, l'hommage au père défunt m'ont touchée ; je reconnais l'effet cathartique de l'écriture qui permet d'immortaliser sur le papier ce que l'on n'a pas su ou pu dire… Mais j'ai préféré l'approche littéraire, le côté autodidacte face à la peur maternelle des livres, les références hugoliennes ou shakespeariennes

En conclusion : un bon livre, original.
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Guy BOLEY nous livre ici un récit semi-autobiographique plein de tendresse sur un père à la tête emplie de rêves qu'il n'est pas toujours parvenu à concrétiser.

Un style simple pour exprimer un sentiment d'amour des plus purs. Ponctuellement enrichi de touches de grande érudition sur le plan du vocabulaire. A l'image des efforts de ce père qui cherche désespéramment à s'élever tout au long d'une vie qu'il a forgée sur le possible et non sur ses aspirations profondes.

Guy BOLEY évoque un monde en noir et blanc, évanoui, avec son lot de maigres joies et de grandes peines. Son style soutient une prose robuste et imagée où l'émotion affleure à chaque phrase et ensorcelle notre coeur car, pour un grand nombre d'entre nous, ne sommes-nous pas cet enfant qui n'a pas toujours su dans l'adolescence discerner le grand homme qu'était notre père et qui "trimait", abandonnait ses rêves, pour nous permettre d'espérer un jour avoir un meilleur destin que le sien ?
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C'est le titre intrigant de ce livre qui m'a donnée envie de le découvrir. Je me suis donc lancée dans cette lecture sans vraiment en connaître le sujet.
Il s'agit d'un vibrant hommage d'un fils à son père, pour honorer et remercier ce héros, son héros, pour lui déclarer sa fierté d'avoir été son fils, pour lui demander pardon pour ses erreurs et évoquer ses regrets.
Il y a aussi la merveilleuse amitié entre René & Pierrot, la boxe et la passion des mots. La démarche est belle et honorable. C'est une véritable incursion dans une famille, dans son histoire, dans ses malheurs et ses bonheurs, ses échecs et ses réussites.
Malheureusement, je ressors sceptique de cette lecture, je n'ai pas réussi à rentrer complètement dans l'histoire. La répétition de certaines phrases a fini par m'agacer et j'ai trouvé que le récit manquait de fluidité. J'ai eu la sensation que les phrases étaient trop travaillées et manquaient de naturelles. Je pense tout de même que ce livre est à découvrir.
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"La vie n'est qu'une longue perte de tout ce qu'on aime" Victor Hugo.

Guy Boley raconte son père qu'il a mal compris, mal aimé durant son enfance. Un peu honteux parfois de ce père, forgeron-chanteur d'opérettes, boxeur.

Autopsie d'une enfance mal vécue, passage à l'âge adulte rédempteur. Il m'a manqué l'émotion dans cette énumération pragmatique, décorticage d'une vie d'artiste qui n'a pas pu s'exprimer pleinement. Amour sous exprimé ponctué de silences, pudique entre ce père et ce fils.

Pourtant, le sujet est touchant. le style parfois emphatique, la redondance des expressions même si le vocabulaire est particulièrement choisi m'ont fait manquer l'émotion.

Je ne connaissais pas cet auteur, peut-être aurais-je une autre opinion si j'avais lu son précédent roman encensé par les lecteurs ?

Un roman, un lecteur : une rencontre. C'est un rendez-vous manqué entre père-fils, romancier-lectrice. le charme de la plume n'a pas opéré. J'en attendais peut-être trop.
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La Feuille Volante n° 1309

Quand Dieu boxait en amateurGuy Boley – Bernard Grasset.

C'est souvent le cas pour un écrivain, le décès d'un proche est, par l'émotion qu'il suscite, par la naissance du besoin qu'il y a de mettre des mots sur le parcours de celui que la vie vient d'abandonner, par la nécessité d'être le complice de la trace que malgré lui il laissera, l'occasion de confier à la feuille blanche une somme de souvenirs diffus et confus au début, mais qui, avec le temps, s'organisent presque d'eux-mêmes. C'est en tout cas une action contre l'oubli qui est le propre de l'espèce humaine. Cet hommage de la mémoire se porte ici, pour l'auteur, sur son père, René Boley. C'est souvent une figure tutélaire, un exemple pour un fils qui, après un parcours cahoteux et surtout protéiforme, devient romancier et choisit de relater tout ce que son existence et parfois celle des autres lui ont apporté de richesses intérieures et d'échecs. C'est, dans l'Est rural de la France, la jeunesse de cet homme qui est d'abord évoquée, une vie d'orphelin, avec une mère pauvre et revêche, qu'un précoce veuvage a rendu acariâtre et méchante, pour qui le travail seul compte et qui se méfie des livres. C'est un garçon qui n'a pas pu faire d'études, mais qui est pourtant amoureux des mots et des livres et qui est vite confronté au travail manuel et à la boxe, pour l'endurcir et le préparer aux futurs épreuves de l'existence.

Comme cela arrive souvent, René rencontre Pierrot, aussi timide, malingre et intellectuel qu'il est fort et bricoleur, une authentique amitié que les livres souderont. Pour Pierre ce sera la Bible en passant par toutes les mythologies, alors que René aura une fasciation pour les mots inusités et rares du Dictionnaire Larousse ! L'un deviendra forgeron et l'autre prêtre ! L'âge adulte les réunira mais pas la religion qui sera toute la vie de Pierrot que son ami, même s'il continue à le tutoyer, ne pourra plus nommer désormais que « Père Abbé », à cause de la fonction, de la soutane ou de je ne sais quelle raison ! René pratiquera la boxe au point de devenir champion de France dans la catégorie amateur mais ne goûtera du catholicisme ni les rites ni les pompes, découvrira l 'opérette mais surtout le théâtre, ce qui couronnera cette histoire d'amitié et donnera tout son sens à ce titre de roman quelque peu abscons. le temps passe et les temps changent et même si René n'entend rien au christianisme, c'est pourtant Pierrot qui va lui offrir un rôle de vedette, une sorte de carrière de comédien local, certes amateur, quand, jusque là, on ne lui avait offert que des rôles obscurs ou de figuration. Mais le personnage qu'il doit incarner ne souffre pas la médiocrité et sa force physique, sa beauté, sa notoriété de boxeur ne sauraient tenir lieu de talent. Être bon sur un ring ou dans une forge n'implique pas de l'être sur les planches ! A force de travail, de répétitions, il finira par habiter le personnage, par littéralement l'incarner.

Jusqu'à ce moment du roman, fortement inspiré par la biographie de cet homme, j'avais trouvé les choses intéressantes, non seulement par son parcours mais aussi par la façon qu'à l'auteur de le raconter. Il y a les épreuves, les résiliences, les déchéances, les abandons, les démissions, rien que de très normal après tout puisque, contrairement à ce qu'on nous dit, cette vie n'est pas si belle, Il faut que chacun se réalise, tente sa chance, fasse son parcours, comme on dit et les enfants qu'on a ne sont pas destinés à nous appartenir. J'ai eu le sentiment que l'auteur a écrit ce roman non comme un acte de mémoire comme il semble vouloir le dire au début, mais comme un véritable acte de contrition laïc et surtout éminemment personnel, s'excusant face au vide du néant où vont tous les morts, de tout ce qu'il n'avait pas su faire ou su dire du vivant de ce père, de tout ce qu'il a pu faire contre lui. On ressemble toujours à quelqu'un, à un géniteur proche ou à un lointain ancêtre, la roulette de la génétique a des initiatives parfois étonnantes ! J'ai fini par me dire que l'auteur, en choisissant de rendre hommage à son père, voulait finalement parler de lui, de sa lente descente vers l'alcool, expliquant que la déchéance de René, pas forcément due uniquement à l'âge, était un peu la sienne, comme s'il se livrait ici à une confession intime à l'absolution hasardeuse. L'écriture a-t-elle ce pouvoir ? Je n'en suis pas bien sûr et même si Guy Bolet puise dans cette histoire finalement authentiquement émouvante la matière d'un roman, s'il souhaite exorciser avec les mots si fascinants pour René des erreurs, des douleurs et des malheurs, c'est aussi un peu pour lui qu'il le fait

C'est écrit dans un style spontané, presque populaire, avec cependant des moments émouvants et même poétiques, surtout dans ses évocations et descriptions, avec un sens de la formule où se mêlent, l'air de rien, l'humour, le dérisoire, la sensibilité, l'irrévérence et la tendresse, une façon d'écrire qui à la fois fascine par son côté simple et impertinent, mais qu'on a tendance à rejeter parce que, instinctivement, et sans peut être se l'avouer ni savoir pourquoi, on attend autre chose d'un écrivain.
C'est le hasard d'une bibliothèque qui m'a fait connaître cet auteur. Alors, pour les mots, pour les images, pour le ton et la démarche d'écriture, oui, j'ai bien aimé ce livre.
©Hervé GAUTIER – Janvier 2019.http://hervegautier.e-monsite.com
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René ne connaît pas son père, mort avant sa naissance . Sa mère pense qu'il doit aller travailler jeune , à 14 ans. il sera forgeron. Il est ami avec Pierrot qui lui va épouser Dieu.
René adore l'opérette, sa forge , et coller des bourre pifs sur un ring. Pierrot est désespéré du spectacle monté par le curé de la paroisse à Pâques et rêve d'un show où Garou aurait pu tenir le premier rôle. Les deux amis ne se quitteront pas malgré leur parcours divers. Mieux que ça, ils vont collaborer...

Guy Boley vient ici témoigner son amour à son père, René. Cet amour qu'il lui a si peu donné un fois adulte.Avec la maturité , il vient dans ses 174 pages , rendre hommage à son Dieu , celui avec qui il partage l'amour de la boxe, celui qui a sombré après le décès d'un enfant.
le roman est touchant , sans aucun doute. J'ai été gêné par le changement de style . Entre un style très ampoulé parfois et plus simpliste .
Même si j'ai passé un moment agréable , j'aurais aimé que certains points soient développés , comme le traumatisme de la perte de l'enfant , la mise en scène théâtrale, la dureté de la boxe, ou tout simplement que l'on vive un peu plus avec ce père, cet underclass hero.
Il n'empêche , L'auteur rend un bel hommage et s'offre une jolie thérapie .
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Il y a deux ans, j'avais eu du mal à trouver les mots (et le talent) pour pouvoir décrire les émotions que m'avait procurées le premier roman de Guy Boley « Fils du feu ». Ça avait été une flamboyante expérience dont je garde un très bon souvenir de lecture.

Alors qu'il s'intéressait la dernière fois à un enfant des forges, il se propose dans « Quand Dieu boxait en amateur » de nous parler de son père. Il nous raconte sa jeunesse dans la campagne profonde. On va suivre toutes les choses qui ont fait de lui un homme et un père à part entière. de son éducation particulière, bercée par les convictions de l'époque, à sa grande amitié, capable de combattre les différences, en passant par ses passions sportives et artistiques, l'auteur développe toute l'admiration qu'il porte à cette figure paternelle.

La plume de Guy Boley fait mouche une nouvelle fois. Cet auteur a un véritable talent pour mettre en forme ses histoires. Sa langue est belle, nouée de magnifiques tournures et phrases. En très peu de pages, il sait exalter les sentiments et libérer une certaine poésie. Il offre donc un formidable roman hommage à son patriarche. Comme tout récit familial, j'ai l'impression qu'il est plus utile à l'auteur qu'à ses lecteurs, mais puisque c'est fait avec virtuosité, le plaisir est quand même au rendez-vous.

Le seul petit bémol que je pourrais mettre à ce deuxième roman, découle en fait de la lecture du précédent. En effet, celui-ci dégageait de telles émotions, presque palpables, qu'il en devenait sensoriel. C'était un moment de grâce particulièrement marquant. Ce nouvel opus est toujours de très bon niveau, mais les sensations sont plus effacées. le récit est plus pragmatique, s'en tient aux faits et se révèle donc moins mémorable.

Toutefois, ne vous y trompez pas, ce livre est un bon livre. N'hésitez pas à découvrir Guy Boley qui vous ravira si vous aimez la belle littérature. de mon côté, à l'instar d'Agathe The Book, je reste légèrement frustré, en raison des grands espoirs que j'avais mis dans cet ouvrage.
Lien : http://leslivresdek79.com/20..
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Guy Boley a choisi un titre provocant pour illustrer son récit, hommage à son père René, forgeron, comédien et boxeur amateur. C'est ce titre qui m'a accrochée au premier abord et bien sûr, les commentaires favorables qui défilaient sur ma page d'accueil. Une lecture agréable, au propos sensible rendu par l'écriture fine de Guy Boley, un auteur que j'ai découvert avec bonheur. On s'identifie à ce fils regrettant de n'avoir pas su apprécié à sa juste mesure et de son vivant un père solide et fiable.
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J'ai découvert, j'ai ri, j'ai pleuré, j'ai commenté.
Une époque, des "mondes", celui de la boxe amateur, celui du théâtre paroissial, celui d'un temps qui bascule (fermeture du "Dépôt", de la Forge, déstabilisation d'une certaine classe ouvrière, disparition progressive des croyances naïves...).
Ce tout est raconté dans un hommage sans concessions par un fils aimant.
Destruction et auto-destruction d'êtres à fleur de peau, d'êtres oscillant entre rêves et réalités, d'êtres brisés par la pire des "injustices" : la mort d'un enfant, point de départ d'une descente aux enfers.
La dernière demande du père à son fils est emblématique et provoque une profonde émotion. Tout s'éclaire.
L'écriture est juste, lucide, sans concessions.
Rien n'est gratuit, rien n'est perdu comme si le tout formait une grande boucle.
Ce livre laisse en nous une résonance émotionnelle parce que, traitant d'un passé révolu, il touche à l'éphémère de la condition humaine.
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