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J'ai adoré (le mot est faible) ce nouvel ouvrage d'Anne-Laure Bondoux. J'avais beaucoup d'attentes car je suis fan de nombreux de ses romans depuis ma tendre enfance et je n'ai pas été déçue. J'y ai retrouvé ce style doux, poétique, envoûtant, cette façon de décrire les liens et les paysages et les relations avec à la fois de la noirceur et de la lumière. Toujours un fond de mélancolie et une lueur d'espoir. Ici, je distinguerai globalement 3 parties dans ma lecture pour mieux la décrire car on y suit une famille sur plusieurs générations.

Dans la "première partie" (selon moi), je situerais les deux Guerres Mondiales. Elles sont abordées dans cette famille qui vit dans une ferme. Ce passage est très fouillé. On y comprends les enjeux historiques, la violence, le rapport à la maladie mentale, la façon dont tout cela vient moduler, influencer cette famille qui tente de survivre à ses épreuves. On y comprends aussi la place des femmes des enfants, forcément influencée par ce contexte historique. Anne-Laure Bondoux a fait un travail magistral dans la description de la ferme, du village, des outils... On a l'impression d'y être et de comprendre un peu ces personnages qui sont pourtant si anciens et si éloignés de notre époque dans leurs comportements parfois !

Je distonguerais ensuite l'histoire d'Aloes, personnage qui m'a profondément touché. On le suit dans l'enfance à l'âge adulte, on traverse ses traumatismes et ses forces. On voit aussi dans son histoire l'évolution des moeurs... J'ai adoré que la Guerre d'Algérie soit évoquée car c'est encore un sujet tabou donc Anne-Laure Bondoux a encore dû faire un travail d'historienne (je suis psychologue auprès d'anciens combattants de la guerre d'Algérie et j'y ai retrouvé beaucoup de cohérence dans la façon dont elle était rapportée même en terme psychologique). Je ne veux pas entrer trop dans les détails pour éviter de divulgacher mais le parcours d'Aloes témoigne d'un vrai parcours militant dans sa vie personnelle également... J'y ai compris beaucoup de choses car Bondoux met encore en lien actualité avec sa vie personnelle...

Enfin, la dernière partie est bien plus proche de l'époque actuelle. La diversité des thèmes est très grande : réussite sociale, rapport aux études, relations amoureuses, violence conjugale, dépression, choix de lieu de vie, choix d'orientation... Là encore, avec des personnages très attachants et sur des fonds de paysage et une façon divine de décrire la complexité des sentiments humains... Sur cette dernière partie, j'ai un peu moins apprécié en tant qu'adulte car il y avait de nombreux rebondissements que je n'ai pas toujours trouvé réaliste et j'ai trouvé qu'elle s'adressait plutôt à des adolescents. Toutefois, je suis restée accrochée tout le long, et j'ai aimé aussi la note d'espoir et la chute à la fin...

Bref, pour récapituler, c'est un roman merveilleux, qui parle de la transmission car on suit plusieurs membres de leur famille, leurs silences, leurs trauma, les repercussions sur leur vie. Cela m'a permis de mieux comprendre les liens entre des évènements historiques, l'évolution des moeurs, les éducations des enfants et des relations interpersonnelles. En le refermant, j'avais à la fois l'impression d'avoir appris plein de choses et d'avoir découvert de merveilleux personnages. En y repensant plus tard, certains messages implicites me sont mêmes venus à l'esprit. Ce qui fait que je le considère comme un chef-d'oeuvre.
Et pour précisions, j'avais été un peu déçue auparavant par "Valentine" et "l'Aube sera grandiose" donc je le recommande très vivement pour ceux qui hésitent !
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"Fan" de cette auteur, je me suis empressée d'acheter ce nouveau roman ;-)
Encore une fois, il ne ressemble pas aux autres : c'est fou ce qu'elle est surprenante, à la fois dans ses thématiques et dans sa façon d'écrire !
La famille dont elle parle trouve des résonnances particulières je suppose chez le lecteur de plus de 30 ans : car cette traversée d'un siècle, certaines de nos familles l'ont connue : un arrière grand-père qui a fait la guerre de 14, un grand-père qui a fait celle de 39, un oncle qui a fait celle d'Algérie... Alors nous suivons ces vies d'hommes qui ont un point commun : la violence. S'ensuit forcément une réflexion sur cette violence : innée, acquise ? le poids des non-dits et des secrets familiaux ? Violence envers les autres, envers soi-même ?
Ce livre est vraiment intéressant : bien sûr on retrouve ce style poétique et puissant, sans longueurs, sans perte de temps descriptive, au rythme soutenu ; mais plus encore on traverse un siècle avec tous les changements sociétaux (place de la femme dans la société , acceptation de l'homosexualité et apparition du sida par exemple) avec quelques détails historiques que j'ignorais (le fait que les soldats allemands aient été dopés pour inhiber la peur pendant la deuxième guerre mondiale). Et l'angle choisi qui est celui d'une ferme à la campagne change aussi les perspectives...
Tous ces personnages au nom d'arbres (Charme, Aloès, Olivier, pour finir par celui à qui ce roman est destiné, Saule) ne me laissent pourtant pas de traces : j'ai lu le livre trop vite sans doute, je finis par tout confondre, il faudra le relire.
Une chose cependant m'a gênée dans la mise en page, c'est le placement des indications de temps : "deux mois plus tard", "3 ans après" qui sont situés en fin de chapitre au lieu d'ouvrir les nouveaux...
Mais l'alternance de narration à la fois des personnages + les passages en italique qui ancrent le récit dans L Histoire en retraçant les évènements principaux avec parfois des clins d'oeil (à des chansons, des artistes) m'ont beaucoup plu.
Encore un roman très réussi pour Anne-Laure Bondoux ! Bravo !
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Il faut savoir que choisis mes livres, en général, car la 4ème de couverture me plait, mais il faut aussi savoir qu'avant d'en entamer un, je ne la relis jamais. Et comme il peut se passer plusieurs mois entre les 2 … des fois j'oublie ! c'est donc toujours une surprise pour moi de débuter un livre car je ne sais jamais vraiment trop sur quoi je vais tomber.
Dans celui-ci on suit la famille Balaguère à travers les générations et sur une période qui couvre l'année 1914 à l'année 2022. On suit la vie de chaque personnage principal, ses joies, ses peines, ses questionnements, mais aussi les peurs, les mensonges … tout en y (re)découvrant des évènements politiques, des faits d'actualités, l'évolution du monde, des comportements, des opinions, l'arrivée au fur et à mesure de la technologie.
J'ai tout simplement adoré ce livre, je l'ai dévoré en peu de temps. J'avais hâte de découvrir chaque histoire, comment elle allait débuter, comment elle avait se terminer et passer à la suivante. J'ai souris, j'ai été émue et j'ai été un peu triste d'arriver à la fin de quitter cette famille.
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"C'est l'histoire d'une famille, d'une maison et d'un pays."
C'est l'histoire de la famille Balaguère et de la ferme Les Chaumes sur quatre générations, plus d'un siècle. En près de 500 pages, Anne-Laure Bondoux dessine une fresque familiale dont les principaux personnages portent tous des noms d'arbres : Charme, Aloès, Olivier ou Saule, comme pour dire leur attachement à une terre à laquelle, toujours, ils reviennent. Il y a pourtant ceux qui partent, volontairement ou non, ceux qui meurent... chaque génération qui suit porte les lourds secrets de la précédente. Guerres, chagrin, alcoolisme, culpabilité, violence... 
Avant de raconter sa propre histoire, ne faut-il pas raconter d'abord celle de ses parents ? et même celle de ses grands-parents ? Comprendre - et accepter- l'impact de ce qui s'est produit des décennies auparavant (et que l'on considérait jusque-là comme une malédiction) aide peut-être à trouver la sérénité, c'est le beau message de cette impressionnante saga.

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Saga familiale, Nous traverserons des orages est aussi une véritable fresque historique qui retrace, sur quatre générations de la famille Balaguère, un siècle d'Histoire, de la Première Guerre Mondiale à aujourd'hui. En cherchant à comprendre la violence qui l'anime, la narrateur en vient à chercher l'origine de la violence en général. Est-elle ancrée en chacun d'entre nous ? Se transmet-elle génétiquement ? Est-elle l'expression de quelque chose de plus important ? Trouve-t-elle son origine dans les atrocités du monde telles que les guerres ?

En un peu moins de cinq cents pages, Anne-Laure Bondoux balaie donc les grands événements de l'histoire à laquelle ses personnages participent. A une échelle plus locale, elle aborde les changements sociétaux qui peuvent faire tellement plus que les guerres. On assiste ainsi à l'évolution des droits des femmes ou des homosexuel.le.s tout en regardant le progrès simplifier le quotidien de tout un chacun, les campagnes se vident et les villes se remplissent, la mondialisation est en marche ainsi que les bouleversements climatiques ou l'émergence de nouvelles maladies.

Et c'est parce que la grande histoire s'insère dans la petite, celle de la famille Balaguère, que cela nous la rend si forte et intéressante car tous ces événements nous concernent tous et ont touché toutes les familles. Avec ses secrets de famille, ses non-dits mais aussi ses amours contraints ou passionnels et ses traumatismes divers, la famille Balaguère prend l'apparence d'une famille ordinaire portée par des hommes et des femmes terriblement humains.

Cette deuxième rencontre avec l'écriture d'Anne-Laura Bondoux me permet de vraiment en apprécier la forme même si ce n'était pas gagné. En effet, si dès le début le texte se lisait très bien, il manquait d'émotions ; l'auteure maintenait une certaine distance, énonçant des faits, énumérant des événements sans s'impliquer émotionnellement. Mais je crois que j'ai fini par comprendre que le point de vue étant celui du narrateur, quatrième génération de la famille, il ne pouvait en être autrement. L'émotion s'invite peu à peu, quand l'histoire se rapproche de la sienne et implique des personnes avec lesquelles il a ou a eu une vraie connexion. C'est vraiment fort et parfaitement maitrisé dans l'écriture et la narration.

De même, les sauts dans le temps sont parfois déroutants en prenant la forme d'une liste d'événements qui se sont déroulés pendant que les enfants grandissait, les parents vieillissaient, les grands-parents mourraient… Cela manque définitivement d'émotions mais appuie le fait que le temps ne s'arrête pas et que l'Histoire est en marche, quoi qu'il arrive à l'échelle individuelle. Cela met aussi en avant la travail de recherches de l'auteure pour ne passer à côté de rien et donner du relief à son récit en montrant aussi l'importance que les événements traversés, selon l'époque vécue, peuvent impacter notre existence toute entière, nos émotions, notre caractère en faisant parfois ressurgir ce qu'il y a de pire en nous.
Lien : https://sirthisandladythat.c..
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Existe t'il des formes de malédiction familiales ? Est-ce que naître dans un foyer précis peut jouer sur ton destin?

Ce sont ces deux questions qui me sont venus lorsque j'ai terminé ma lecture. Anne Laure Bondoux nous livre une fresque familiale déroulée sur plusieurs décennies, de la guerre de 14-18 aux années 2020.

J'ai adoré ce roman, c'est un vrai coup de coeur. Les personnages sont justes, émouvants et on finit presque par ressentir de la pitié pour eux. le récit donne vraiment l'impression d'une forme de fatalité. Quoi qu'il arrive, ils auront doit à ces fameux orages...

J'ai beaucoup aimé la diversité des sujets abordés : événements historiques, tabous sociétaux, émergence de culture... Tout passe sous la plume envoutante de l'autrice. On voyage d'une époque à l'autre en priant pour que les personnages se retrouvent, évoluent et parfois survivent.

Un roman de 460 pages qui se dévore.
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Ce roman est à mi-chemin entre la saga familiale et le roman historique. Il court de 1914 à 2022 et suit quatre générations de la famille Balaguère. L'histoire est cependant en arrière plan, il ne faut pas s'y attaquer en pensant lire un roman historique.

Il est édité chez Gallimard jeunesse et conseillé dès 14 ans mais il a aussi toute sa place dans la littérature pour adultes.

C'est une saga familiale qui dépeint les différents drames qu'ont traversé les hommes de la famille Balaguère. En effet, dans cette famille installée dans le Morvan, on va rencontrer tour à tour Cytise, Anzême, Marty, Charme, Aloès, Saule. Tous sont nés aux Chaumes et portent, selon la coutume de la famille, des prénoms d'arbres. Ce sont les grands-pères, les pères, les fils de la famille Balaguère.

L'autrice nous captive ici avec une intrigue mêlant Histoire, liens du sang et secrets de famille avec une plume poétique et délicate, se révélant parfois drôle et bouleversante. Elle y mêle avec brio les grands événements du XXe siècle, nous faisant revivre notamment la guerre 14-18, 39-45 et la guerre d'Algérie, à travers les yeux de ses personnages.

J'ai été totalement emportée par cette histoire et je n'ai pas vu passer ses 500 pages. Ses personnages m'ont parfois agacée et parfois profondément touchée. En tout cas, ils sont particulièrement bien travaillés et humanisés. On les découvre à travers les années, les conflits, les orages que traverse la famille, les secrets et les non-dits. Anne-Laure Bondoux cherche ici à comprendre ce qui nourrit la violence des hommes, de père en fils et c'est magnifiquement abordé.

C'est un roman difficile à lâcher, que je vous encourage vivement à découvrir car il est passionnant et de toute beauté. Il a d'ailleurs remporté le prix de la Pépite d'or au dernier Salon du livre et de la presse jeunesse en Seine-Saint-Denis.
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Anne-Laure Bondoux dresse l'histoire familiale des Balaguère, de la veille de la première guerre mondiale à aujourd'hui. Une histoire racontée par un narrateur pour lequel il est nécessaire de remonter aux sources pour expliquer, pour comprendre. Durant ce siècle nécessaire à la représentation des équilibres et forces qui régissent cette famille, elle interroge la relation père-fils sur plusieurs générations.
Depuis Saule, premier de la lignée de ce récit, au narrateur, tous les hommes portent le nom d'un arbre.
Le décor oscille entre le Morvan, lieu de la demeure familiale des Chaumes, l'Algérie ou Paris. La grande Histoire heurte de plein fouet la petite, les progrès sociaux comme les horreurs de la guerre trouve leurs ancrages dans les destinées, les relations ou confrontations entre les personnages.

Difficile de résumer ce roman. Il y a des drames et des grandes joies, des malentendus et des rendez-vous manqués, des gens de gauche comme de droite, des citadins et des ruraux, des allers-retours entre les rêves, l'ambition et la réalité crue de l'existence, il y a de grands touts et des petites riens, et il y a des émotions (beaucoup) et des larmes (tout autant). de l'Amour aussi, ou plutôt des amours, furieux et passionnés, réciproques ou non, des amours perdus et retrouvés.
Dedans, il y a la Vie.

Ce roman est un bouleversement. Coup de coeur ému pour ce texte et ses personnages auxquels il est si facile de s'attacher. le livre a beau être très épais, j'en suis ressortie frustrée de ne pas pouvoir poursuivre, mais quelle suite lorsque le livre atteint notre contemporanéité ?

Avec intelligence et finesse, l'autrice interroge la violence et sa transmission intergénérationnelle.
Est-elle inscrite dans notre ADN ? Est-elle affaire d'époque, de guerre, de milieu social ? Est-elle pardonnable ? Toujours avec la même approche, elle évoque traumatismes et secrets de famille dissimulés, mais qui trouvent toujours un moyen de s'émanciper, de se révéler dans ces petits riens dont je parlais plus haut.

Personnage après personnage, Anne-Laure Bondoux aborde les époques avec leurs difficultés, leurs problématiques et leurs possibilités, orages dehors et orages dedans, au diapason. Magnifique fresque historique, qui permet avec justesse (comme le siècle de Follet) de traverser les tempêtes du XXème siècle et ses conséquences dans le quotidien des hommes.

Bilan :
Un grand roman sur la transmission à la fois pour les jeunes (15ans+) et les adultes. Ne vous y méprenez pas, il est classé au rayon jeunesse mais mérite une place identique au rayon adulte !
Magnifique épopée romanesque mettant en scène des personnages admirablement vrais et justes, je ne peux que vous conseiller de partager le temps d'une lecture l'histoire de cette famille. Elle vous restera en tête, c'est certain !

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Chez les Balaguère, on n'aime pas la guerre mais quand on nait dans la France au tournant du XXe siècle, on n'a pas trop le choix et ce sur plusieurs générations... Des hommes aux noms d'arbres plutôt que de saints qui volent trop haut. Des hommes qui vont se heurter à la violence, celle du front, celle du monde, celle qu'ils ont en eux. Des hommes qui dans leur tourmente n'épargnent ni les femmes, ni les enfants.
.
Comme c'est beau... Anne-Laure Bondoux ne doit plus prouver son talent de conteuse. Elle ne se lance dans des arabesques compliquées ou des métaphores tonitruantes, le style elle l'a un point c'est tout. J'ai adoré lire "Nous traverserons des orages", une saga familiale sombre et évocatrice de ce XXe siècle si rude sous son vernis de modernité. Pourtant, je m'étonne sincèrement de sa parution en jeunesse tant le propos me parait sombre. Loin de moi l'idée de prendre les ados pour des petites choses fragiles mais ce roman a un côté asphyxiant où la lumière ne semble percer que dans les 15 dernières pages. Ainsi, il y a aspect angoissant dans ce titre qui, je le sais, rebutera certains jeunes lecteurices mais pourrait bien captiver leurs adultes.
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Cette oeuvre fut GRANDIOSE!!! Je n'étais pas convaincue par le roman à succès de Anne Laure Bondoux mais alors, là!!! Une vraie pépite!!! Nous parcourons tout un siècle, de 1914 à 2022 'oui, les maths et moi, ça fait deux!!!) au sein de la famille de Cityse. Tous les fils portent des noms d'arbres et tous traverseront des orages. Mais nous n'avons pas le récit que de leurs orages personnels: ce roman est idéal pour comprendre tous les grands événements depuis 1914 (en France mais aussi dans le monde) qui ont pu impacter les hommes (la guerre, 1968, la libération de la femme, la situation des homosexuels, l'invasion du SIDA...) C'est LE roman que je voudrais confier à mes élèves de 3ème!!! Seul défaut (mais comment faire autrement?!): l'épaisseur du pavé, qui en effraiera plus d'un, malheureusement. J'espère que ce livre sortira en poche et que les éditeurs auront pensé à la finesse des pages... Parce qu'en plus, les chapitres, courts, se lisent tellement vite, nous laissant souvent sur notre faim, avec l'envie de poursuive la lecture... Allez-y tête baissée, sans appréhension! Je n'étais pas attirée et j'ai juste écouté les avis dithyrambiques Que j'ai bien fait!!!
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