Infestation

J'apprécie toujours autant tout ce qui concerne l'évolution de ces araignées d'un autre genre ; l'auteur s'est un peu plus recentré sur cette partie de l'histoire plutôt que sur le relationnel de ses différents protagonistes, donc il y a du progrès de ce point de vue.

Par contre j'ai toujours un soucis avec l'abondance de personnages, d'autant plus que la plupart (inclus les principaux) me donnent l'impression d'êtres écrits sur des modèles de base similaire type Mary Sue et Gary Stu. Je l'ai un peu moins ressenti au fil de ma lecture mais je ne me suis jamais complètement départie de cette sensation de fausseté chez eux.

Heureusement je suis toujours complètement accrochée et fascinée par tout ce qu'il se trame avec et autour des arachnides donc évidemment je lirais la suite rien que pour le plaisir de les retrouver.

Ce tome est intense, on suit beaucoup de personnages dans des endroits et des situations différentes. Je pense que c'est la façon d'écrire de l'auteur. Ils sont tous face à une infestation de bébêtes poilus a 8 pattes. Si, comme moi, vous n'êtes pas fan des araignées attendez vous à avoir des frissons et les poils qui se dressent ! Il me tarde de savoir la fin. le monde va-t-il être sauvé ?
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L'intrigue est fort intéressante, bien qu'elle retourne à des dehors classsiques entre prises de pouvoir et tentatives de régler le problème.
La menace arrive et puis, s'efface au fur et à mesure de l'intrigue. Avec des personnages très dévouées à leur présidente, elle promet une soirée sympathique.

Quantité de personnages et autant d'intrigues dont il faut savoir nouer les brins sans perdre sa concentration et, surtout, l'intérêt pour l'histoire. le motif de l'araignée tisserande puis dévoreuse d'hommes est toujours fertile, mais aussi quelque peu éculé, surtout si on le mesure - métaphoriquement parlant - à l'aune de l'épidémie de COVID-19, un terreau (In)comparablement (plus) riche ! Pas sûre, de ce fait, que cette trilogie parvienne seulement à se hisser au même niveau que la terrible réalité qui « infeste » le monde en ce moment, et pas sûre non plus qu'elle (la trilogie) présente un véritable intérêt littéraire - en dehors des incessantes ruptures narratives, induisant un suspense mécanique et plutôt dépourvu d'élégance.

Cette suite tient les promesses du tome précédent.
Si la multitude de personnages ne fait pas avancer l’histoire très vite, le rythme est malgré tout soutenu grâce aux chapitres courts, qui créent l’addiction.
On espère un troisième et dernier volume à la hauteur, qui saura apporter les réponses.

Bon c'est parti, sur ce deuxième tome de la série avec les araignées.
Nous retrouvons Mélanie spécialiste des araignées, qui les étudie et doit trouver un moyen de les détruire et cherche à mieux les comprendre.
Il y a Bobby et Macer qui sont deux mafieux, qui se sont habibocher pour pouvoir servir les gens coincé dans la zone de quarantaine à Los Angeles. Bobby s'apprête à faire discours. Tous deux veulent apporter nourriture et de l'eau à ces mêmes personnes.
Nous verrons Mike l'agent du FBI et père de Annie, en plein démêlé avec des oeufs. Lui aussi va devoir aider, mais ce sera sa fille, son ex-femme est le mari de cette ex-femme.
Manny, chef de bureau à la maison Blanche qui est au centre des opérations avec Stéphanie Pilgrim, la présidente des États-Unis. L'exécutif dois gérer cette crise, et tout ce petit monde ne s'entend pas forcément bien.
Aonghas et Thuy le couple de jeunes mariés qui est sur l'île de Caidh en Ecosse, la demeure du grand-père d' Aonghas.
Le peloton de Kim Bock qu'on trouve au poste de contrôle de quarantaine à l'extérieur de Los Angeles, et qui contrôle les passants et bien sûr tout ce petit monde se questionne.
Et bien sûr le couple Shotgun et Fred qui ont accueilli Gordo et Amy dans l'abri. Shotgun étant survivaliste avait prévu depuis de longues dates un abri pour se protéger de la fin du monde. N'oublions pas Claymore le labrador. Tout ce petit monde s'ennuie dans cet abri et vous trouvez quelques moyens de s'occuper.
Nous avons quitté le tome 1 en découvrant que les araignées se replier sur elle-même et mourrait. Pour quelle raison ? Cette question tous se la pose.
Après la découverte de nouveaux oeufs, tous vont essayer de survivre.
Entre le Maryland, Chicago, Los Angeles, l'Écosse et le Japon l'auteur nous fait vivre son récit à travers du paysage et tout un panel de personnage. Grâce à ça nous pouvons voir le quotidien vécu par plusieurs aspects de la société. Que ce soit des militaires, scientifique, policier ou mafieux, chacun de ces personnages va avoir son rôle à jouer pour la survie de tous.
C'est toujours un plaisir de lire cette écriture rythmée que l'auteur nous délivre.

L' « arachnocalypse » continue dans ce deuxième tome de la série.

La première vague est passée, et l'Amérique se demande bien pourquoi. Les araignées sont-elles vraiment toutes mortes, ou se préparent-elles pour la deuxième phase de leur plan? Mélanie et son équipe arriveront-ils à comprendre le mode de fonctionnement de cette nouvelle espèce, et Shotgun et ses compagnons vont-ils trouver un moyen de les tuer? L'invasion évitera-t-elle les bulles de répit que se sont créées Mike et Aonghas? La présidente des États Unis trouvera-t-elle une solution fiable pour protéger son peuple?
Autant de questions qui habitent ce tome de transition, et donnent envie de lire la suite!

Un épisode 2 bien mené, toujours aussi facile à lire et addictif.

Second tome de la trilogie débutée avec "Eclosion". Aussi soudainement qu'elles sont apparues, les araignées tueuses semblent avoir disparues. Seuls restent des foyers infestés de cocons que les gouvernements s'emploient à détruire aussi méthodiquement que possible. Mais tout cela semble un peu trop beau. Et pour cause ... Si la première vague a été ravageuse, la seconde s'annonce plus terrifiante encore.
Le rythme de ce second tome est un peu plus lent que le premier ; sans doute parce qu'on connaît déjà les personnages. On a tout de même envie de lire le 3ème tome pour savoir ce qu'il restera de l'humanité si ce qui semble sur le point d'éclore n'est pas stoppé à temps.