"
Tous les hommes désirent naturellement savoir",
Nina Bouraoui, 2018, Lattès
L'auteure raconte son enfance en Algérie, ses difficultés à vivre son homosexualité. Elle évoque les violences en Algérie, avant leur départ, puis après. Elle dit ses difficultés à trouver sa place parmi les "Filles de la nuit" à Paris.
Elle parle d'un homme rescapé des camps que ses grands-parents hébergent et qui se glisse dans le lit de sa mère petite fille tôt le matin (info qui arrive comme un cheveu sur la soupe… et alors… on en conclut quoi ?).
Un grand rien de 264 pages, que j'abandonne à la page 150, n'espérant plus y trouver l'apothéose qui me fait supporter ce calvaire.
Une belle psychanalyse au frais du lecteur, qui devra débourser 19 € pour la lire et voir l'auteure déverser son mal-être. le ton est froid. Il n'y a aucune universalité. L'écriture est quelconque.
Je suis particulièrement choquée de l'excessif gaspillage de pages blanches de haute qualité, qui, si on les fait sauter, nous ramène à un roman de 150 pages maximum. Il y a une conscience écologique chez Lattès??
Allez! on envoie tous notre psychanalyse de 150 pages chez Lattès!! Ha non… ça marchera pas… on n'est pas connus…
Lien :
https://carpentersracontent...