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3,89

sur 1930 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Une grosse déception que ce livre. Il y a des années, j'avais lu et aimé La cour des grandes. Aujourd'hui je lis Frangines et quel ennui. Est-ce que mes goûts ont évolué ? Bonne question.

Comme le titre le suggère il s'agit donc d'une histoire de soeurs. Elles sont trois. Mathilde, Violet et Louise. Nous avons droit à un chapitre pour chaque soeur, un de plus pour leur mère et un encore pour la fille de Violet, Clarisse. Et ainsi de suite jusqu'à la fin. Si le côté frais et vacances est bien au rendez vous au début de ce livre, je n'ai pas compris pourquoi cette histoire manquait à ce point d'interractions, de dynamisme et de pep's. J'ai lu la moitié de ce livre avant de l'abandonner car en plus de n'avoir aucun fil conducteur, ni queue ni tête, la plume est sans saveur.

Que voulez vous, certains restent fidèles au même style de littérature alors que d'autres comme moi, passent à autre chose. Je ne suis personne pour juger ce livre de mauvais, je me rends juste compte que les histoires sans histoire à décrire en rond des frangines sans panache sous le couvert d'une plume banale, ce n'est pas pour moi. Au suivant.
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Voilà un roman qui va partir dans une boîte à livres sans avoir été lu jusqu'au bout. J'ai hésité avant de prendre cette décision pour plusieurs raisons, d'une part car les histoires de soeurs me sont chères, d'autre part car les critiques sont plutôt élogieuses , celle d'iris m'avait particulièrement plue et enfin car , comme beaucoup d'entre nous, je n'aime pas abandonner un livre. Mais je me suis ennuyée dès les premières pages. L'enchaînement des courts chapitres, un par personnage m'a très vite lassée. Je n'y ai trouvé aucune originalité, peut-être qu'elle vient par la suite mais je n'ai pas persévéré car je n'ai pas non plus pris plaisir à l'écriture qui est fade, sans saveur, "plate". Ma note reflète l'ennui mais j'insiste bien sur le fait que je l'ai abandonné, mon avis est donc biaisé.
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Attention, le diabète nous guette !
Car vous allez ouvrir des pages, sucrées, rose bonbon, 100% guimauve. Un scénario bien huilé et sans trop de surprise. On se love dans l'histoire comme dans un canapé moelleux. Mais vraiment c'est un peu trop sucré, un peu trop moelleux à mon goût. Personnellement ça m'a un peu agacée. Avec l'envie de mettre 2 tartes à la soeur ainée. Vous y trouverez un beau panel de sujets 100% d'actualité qui affectent les personnages : deuil, cancer, homosexualité, divorce, tromperie. Et comme la vie est bien faite dans les romans, un tour de passe-passe du destin et tout se résout en un claquement de doigts. C'est top non ?
Petite précision pour la prochaine réédition : le Touquet n'est pas au bord de l'océan, mais de la Manche. Je sais c'est un détail, mais ça m'a agacée aussi. En fait, plus que d'être agacée par ce roman, je suis agacée par la librairie où je l'ai acheté. Où finalement les romans poche (oui, je préfère le format poche pour les vacances) étaient tous rangés par date d'édition, mais pas par type. du coup je me suis retrouvée avec une guimauve et vous l'aurez compris, même si je suis romantique, je ne suis pas cliente de guimauve. Mais comme je suis positive, je ne vais pas citer le nom de cette librairie peu encline à guider ses lecteurs. J'aurais du me méfier. Mais je vais vous donner un indice pour savoir si vous êtes dans une bonne librairie ou pas : si quand vous êtes sur place vous ne savez pas quoi acheter, vous tournez en rond sans trouver l'inspiration, ressortez. Si au contraire vous ne savez plus où donner de la tête entre tous ces titres qui vous font de l'oeil et que vous n'aviez jamais remarqués jusqu'alors, restez : vous êtes au bon endroit.
Alors, faut-il lire ce roman ? Si vous adorez les guimauves type Une famille formidable, 1ers baisers, oui. Sinon passez votre chemin, c'est trop sucré. Préférez un bon Françoise Bourdin : c'est plus équilibré entre sucré et pimenté.
Par chance, la lecture de fait pas grossir…
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Entre les gendres qui se " font la malle",le père Yves,qui après 48 ans de mariage se fait lui aussi la " malle" avec une copine d'enfance de sa femme,et la petite derniere: Louise ,qui avoue à la fin du roman appartenir au monde de Lesbos, lecture plus que légère ente le genre Arlequin et les inconditionnels de : plus belle la vie.Vous l'aurez compris pas vraiment ma tasse de thé ,je n'ai rien contre ce genre littéraire à condition que ce soit un peu moins " eau de rose".
Ah! Nous sommes loin des manifestations d'hier de milliers de personnes qui luttent pour garder des droits durement acquis par nos parents ou grands-parents.
Rien à voir ,vous allez me dire ,c'est vrai,mais s'il est des livres feel-good que j'ai appréciés , car en plus bien écrits parlez -moi de : Solène Bakowski.
Et toute cette histoire se déroule dans une grande bâtisse : "La Garrigue "à St Remy-de-Provence.
Un décor de rêve.
Personnages touchants et crédibles ( sic!)pour le magazine ELLE,désolée pas pour moi, beaucoup trop léger de par le fond et la forme.⭐⭐
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Le titre et la couverture m'ont attirée, soit.
Les premiers chapitres de ce livre, je les ai avalés sans peine, regrettant seulement cette propension à sauter d'un personnage à l'autre, d'une époque à l'autre...
Trois soeurs, devenues grandes, viennent chaque année rejoindre leur mère dans une belle maison à St Rémy de Provence. Outre leurs valises, les deux aînées apportent avec elles leurs rancoeurs, leurs chagrins, leurs secrets, leurs jalousies d'enfance.
La troisième vit non loin de la maison familiale et se joint à la famille au cours de ces vacances d'été, pour évoquer les souvenirs, et soutenir leur mère, depuis que leur père l'a quittée pour une autre femme.
Trop léger, trop de guimauve, et des clichés à chaque page...
L'écriture m'a vite ennuyée, et j'avais hâte de trouver dans ce roman la petite étincelle qui fait la différence. Mais je ne l'ai pas trouvée, dommage.
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Il y a un public feel good et un public qui ne l'est pas, je fais partie de la seconde catégorie. Il s'agit ici d'une lecture imposée puisqu'elle s'est déroulée dans le cadre du Prix des Lecteurs Poche. FRANGINES est le 3ème roman de la sélection Poche dans ce registre.

L'histoire de ces 3 soeurs et de leur famille qui se retrouvent en vacances dans la maison provençale achetée par leurs parents pendant leur jeunesse m'a ennuyée. Beaucoup de palabres qui ne font pas avancer le récit. Ce dernier n'a rien de captivant et est assez (trop) ordinaire, j'ai trouvé certaines scènes inutiles. le tout fait que je n'ai ressenti aucune émotion.
J'aime être exaltée quand je lis un roman, m'interroger sur la suite qui sera donnée aux lignes que je lis, j'aime les intrigues, le suspens, les situations parfois alambiquées, des personnages au caractère affirmé, j'aime quand l'auteur nous interpelle sur des sujets, quel que soit leur nature et suscite notre réflexion. Je n'ai trouvé que palabres sans fin et grande envie d'en finir au plus vite.
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Je n'ai pas écouté les commentaires négatifs en voulant finir ce livre, lisant en diagonale à la fin. Je me suis un peu identifié à la cadette, et j'ai vu ma soeur et mon frère dans les autres soeurs.

Pour le reste, c'est le livre pour ceux qui ne veulent pas lire. Une succession de dialogues plats et mal construits (je me suis souvent demandé "Qui parle ?"), mais c'est vrai que des dialogues en groupe, c'est dur à écrire. Aucune description ou une succession de clichés sur la Provence. Aucune émotion, c'est normal à force d'embrasser tant de thèmes.

Le comble de la mièvrerie est atteinte dans les remerciements. Si je les avais lus avant, je n'aurais pas lu ce livre.

Un livre à offrir à Tata Lulu pour la plage. Je n'ai rien contre les romans de gare, au contraire, mais qu'ils soient bien écrits. J'ai cherché une belle phrase, une belle citation pour la publier, impossible.
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Je ne me souviens pas comment ce livre s'est retrouvé dans ma PAL.

Comme ces derniers temps, en principe, celle-ci se nourrit des conseils ou recommandations lus ça et là, je me suis plongée en confiance dans ce bouquin.
Bon, c'était pas très malin, parce que le titre, déjà, aurait dû m'alerter.
Frangines
J'aime pas ce mot. Je n'ai jamais aimé.
Je ne sais pas. Il sonne cruche.
Dans mon esprit, c'est un peu le mot que glousserait ma grand-mère, étonnée de sa propre audace de s'encanailler à proférer ces mots si décalés …

A la mode de cette famille bien sous tous rapports, mais qui, en fait cache des secrets honteux – et quand je dis honteux, c'est évidemment avec double paire de guillemets..

Tous les bons sujets de société actuels y sont. Ne manque que la pandémie. Mais gageons que si le livre était sorti un an plus tard, nous aurions eu dans la famille, la soeur qui ne sort plus de peur du virus, la soeur complotiste, la soeur qui fait « quelques petits écarts parce qu'il faut appliquer les règles avec bon sens » etc …

Nous avons donc

Vraiment, je ne comprends pas l'enthousiasme autour de ce livre. Les personnages sont à la limite de la caricature. C'est pas ça, il se lit facilement et (heureusement) vite. Mais sans grand intérêt.
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La couverture affiche « Prix des lecteurs -sélection 2021 » et un : » « Lu et dévoré! » ELLE ». J'étais en vacances, j'avais justement dévoré un livre sur la route reliant le Morbihan à la Vendée. Ma mère m'a proposé ce livre sans vouloir s'étendre sur ce qu'elle en avait pensé. J'ai compris après. Déçue, elle aussi, par ce roman facile.

Que la vie , ça tenait à ces choix minuscules qui pouvaient tout changer. Qu'il ne fallait pas se laisser enfermer dans la colère, l'entêtement, le doute. Parce qu'on n'a qu'une vie, et qu'on est finalement seuls à l'écrire. «
P.309

« Frangines » comme son titre l'indique, sans surprise, parle de soeurs. Trois pour être précise. Deux vivent à Paris l'essentiel de leur vie et la petite dernière a choisi de vivre en Provence, à Saint-Remy, près de sa mère, Jeanne, seule depuis que leur père a abandonné le foyer. Elles sont aussi différentes que possible autant dans leur caractère que physiquement. L'ainée, Mathilde, est la jolie blonde aux yeux bleus (très cliché), mince et svelte, toujours tirée à quatre épingles, qui tient à tout maîtriser, dominatrice, un brin stressante pour son entourage, qui a réussi financièrement et a fait un beau mariage, heureux. Deux enfants. Une fille et un garçon. La seconde, Violette, est une ronde pulpeuse, à la chevelure rousse, qui a longtemps était éclipsée par la beauté de sa soeur mais dont l'intelligence et les résultats scolaires compensaient pourtant largement. Puis son corps s'est métamorphosé à l'adolescence et elle a enfin plu aux garçons. Mais comme on l'apprendra, une mauvaise expérience, fait qu'elle manque de confiance en elle et en la vie. Violette est donc divorcée et a une fille. La benjamine, comme la brebis galeuse, ne s'est jamais mariée. Une jolie jeune femme brune avec une frange, qui lui vaut le surnom de Milou. Un visage recouvert de tâches de rousseur. Enfant, elle a toujours admiré ses soeurs. Louise est infirmière, elle s'occupe des autres et de sa mère. Elle a souvent droit à des remarques lors de leurs retrouvailles. Des moments qu'elle apprécie autant qu'elle appréhende. Chaque été, depuis l'enfance, elles se retrouvent à La Garrigue, une vieille bâtisse que leurs parents avaient acheté à Saint-Remy-de-Provence sur un coup de coeur. C'est elle qui doit faire les allers et retours pour les chercher à la gare, gérer les emplois du temps de chacune et en plus de son travail.

« Rien ne change en fin de compte. On croit devenir adulte mais à part le corps et les soucis, on reste les mêmes qu'il y a trente ans. »

Cet été sera particulier, le premier depuis le départ de Yves, ce drame, qui les a toutes dévastées et en particulier leur mère. Personne ne s'y attendait. Mais il y a d'autres changements, Violette a un petit ami qu'elle voudrait leur présenter. Cela va-t-il matcher avec le mari de Mathilde? Et avec les frangines? Et on s'aperçoit que chacune, en plus de leur sacré caractère, garde pour elle certaines révélations jusqu'à ce qu'elles soient enfin dites au grand jour. Cette maison de vacances est la gardienne des secrets de plusieurs générations mais peut-elle les protéger infiniment? Un jour, la vérité doit être dite et cela ne se fait pas sans maux.

« Elle tape sur le volant et elle gueule. Sur ces mensonges, ces secrets, ces petits arrangements avec la réalité. Sur ces repas de famille, ces coups de fil censément complices, ces anniversaires, ces vacances où tout le monde vient avec son masque, son beau sourire, ses petites conversations légères avant de repartir vers la réalité d'une existence que les autres ne connaîtront sans doute jamais. »
P. 249-250

Ce que je n'ai pas aimé

Des personnages clichés, beaucoup trop caricaturaux. le roman est cousu de fil blanc. le drame n'est pas dit au départ mais on devine comme le reste. Sans surprise! Et les rares éléments qu'on ignore, sont tellement fait pour éveiller l'émotion, c'est d'un niais! Je n'ai pas été émue un seul instant. Cela manque de finesse dans l'écriture. L'auteur a cherché à mettre différents ingrédients pour éveiller l'émotion et ça marche pour certains lecteurs, tant mieux pour eux. Et la fin, c'est tellement nullisime! Désolée, mais là, c'est vraiment le happy end à l'américaine too much pour moi. J'aime quand ça finit bien mais là, elle se fout légèrement du monde. Sans vous révéler l'intrigue, un gars très amoureux a été éconduit brutalement et il reste cool et proche de la soeur malgré tout… Enfin je peux pas vous donner tous les éléments mais si vous le lisiez, vous comprendriez, ce n'est juste pas crédible! Ou encore, les sales coups qui leur tombent dessus, la façon dont ils retournent ça… C'est le monde des bisounours… Ou la vie de Louise, les révélations déjà, ça fait vraiment: « je cherche à être dans l'air du temps » côté auteur et dans l'évolution du roman, on le sent à dix kilomètres, aucune surprise. Aujourd'hui, c'est ça, justement, qui devient cliché. Et surtout la façon dont Adèle Bréau l'a traité (oui, je sais, c'est assez flou pour vous mais je ne peux pas vous dire quoi…), d'autres auteurs en parlent tellement mieux. Après la grand-mère, qui est complice avec sa peut-fille, pourquoi pas? Mais pareil, la façon dont c'est traité, sans profondeur. Ces termes pourraient résumer ce livre: superficiel, cousu de fil blanc, sans finesse, caricatural.

Ce que j'ai aimé

Pour le savoir, rendez-vous sur mon blog: https://blogapostrophe.wordpress.com/2021/08/26/frangines-dadele-breau/
Lien : https://blogapostrophe.wordp..
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Un roman "feel-good" comme on les nomme. Dernier livre de ma PAL, vous vous douterez que mon avis est hautement subjectif, car en effet je n'apprécie pas ce genre de roman, dont "Frangines" est un fier représentant.
Histoire mielleuse, trajectoires de vie des personnages toutes aussi exagérées les une que les autres, personnages hétérogènes pour plaire au chaland, qu'importe ce qu'il apprécie, il y trouvera son compte dans l'un ou l'autre personnage.
Les gentils et les méchants ne sont pas ce qu'ils semblent être, les histoires d'amour s'emberlificotent au point de créer un noeud incompréhensible. Un décor sublime, des trésors que l'on croit perdus mais que l'on retrouve dans sa poche, j'exagère à peine, mais voilà tout ce que l'on retrouve dans ce roman qui plaira à ceux qui aime les noeuds et les paradoxes.
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