Citations sur Brigade mondaine, tome 5 : Le marché aux orphelines (2)
le commissaire badolini
convoque Boris et aimé,
a la demande de lombard,
un ami du procureur.
son fils de seize ans doit passer son baccalauréat dans deux mois,et le père a trouver une lettre a teneur pornographique dans ses affaires.
et il veut pas que son fils revois la fille.mais le problème c'est qu'on sait pas qui elle ait.le seul indice c'est qu'elle a été posté de l,orphelinat des roses.
- Boris? qu' est ce qu'il y a?
- je ne sais pas encore,mais je trouve que ça sent brusquement le rance ! le concierge n'a pas
l,air clair du tout. et puis le
lombard avec sa gueule de
mec en place,de pourri j,
aime pas non plus.
Jamais, en entrant à la police, il n’aurait imaginé ça possible : un crack de la P.J. qui est en même temps un grand sportif. Victime lui aussi des préjugés enracinés en France depuis plus d’un siècle : un flic, croient les gens, c’est un court-sur-pattes, ventre rebondi, gros mangeur, gros buveur, sentant le tabac et le Ricard. Raconteur d’histoires salées avec des rires gras. Fermé aux nouveautés et aux initiatives. Replié dans la routine. Très « service-service ».