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Rick Holman tome 11 sur 37
EAN : SIE109176_140
Gallimard (30/11/-1)
3.38/5   4 notes
Résumé :
Hou, le vilain psychanalyste !
Quand ses patients, les illustres vedettes de Hollywood, lui confiaient leurs angoisses et lui relataient, avec tous les détails, leurs exploits amoureux - généralement collectifs - lui, il branchait son magnétophone. Et le soir, à la chandelle, il se repassait les enregistrements. Il en bichait comme un pou.
Il en est mort. Mais les enregistrements n'ont pas été perdus pour tout le monde. Vu ?
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Quand j'ai lu ce livre, je n'avais qu'une image en tête : le détective avec son chapeau comme dans les polars à la gamme chromatique jaune. le détective qui parle aux gens en fumant sa cigarette et qui se laisse pas faire. le détective qui raconte toute l'histoire avec un ton que je ne saurais décrire mais qui lui est propre. Et Rick Holman, le détective de cet histoire y ressemble réellement. La cigarette en moins je pense. En effet, c'est lui qui raconte l'histoire, qui va voir tout le monde sans trop parler à la police et qui fait tout, tout seul. Je l'ai beaucoup aimé, surtout sa façon de parler assez amusante, et le fait qu'il ne se laisse donc pas faire. Il met son nez partout sans hésiter, se prend des insultes en pleine tête et reviens pourtant à la charge à chaque fois. Puis il trouve le coupable, va le voir et l'arrête facilement. Pour les personnages, il y a surtout des femmes, charmantes, sulfureuses pour certaines, et qui semblent toutes avoir une chose à cacher et avoir des raisons de tuer le docteur "Sexe" comme il est si bien surnommé. Je les ai toutes appréciés, mais j'ai quand même une préférence pour la môme Faber si c'est bien son nom, notamment quand elle a sorti une expression amusante comme : "Je crois que vous avez le citron sérieusement dérangé" ça m'a fait rire. Les hommes qui sont avec elles sont assez peu présent sauf Leroy qui sert juste de gorille du corps pour Faber, et donc je l'ai trouvé sans plus. En fait, le défaut de ces personnages là, c'est que j'ai eut du mal à tous les différencier, je me trompais dans les noms, je comprenais pas de qui ils parlaient, du coup à certains passages j'étais un peu perdu parce que je croyais qu'on parlait d'une autre personne alors que non. Mais ce sont tous des personnages assez communs à ce genre de polar bien noir : Des stars avec un secret. Enfin, c'est l'impression que ça m'a donné. L'enquête est assez complexe, ou tout du moins, j'ai eut beaucoup de doutes et je n'ai pas vraiment trop deviné qui était le coupable, quoique. Il faut dire qu'on nous présente peu d'indices à part verbaux ou bien les avis de Rick, mais sinon... J'ai même été surprise de découvrir qui était finalement le coupable final. Et puis le dénouement de l'affaire est pas mal quand même. J'ai apprécier l'écriture qui était je trouve agréable, mais là encore, j'ai en quelque sorte reconnu celles des romans noirs, bien que ce n'était pas aussi exagéré que je l'imaginais dans ma petite tête. En fait il y avait des expressions marrantes, des tournures sympas comme tout, donc ça m'a plu. Je me suis rendue compte que Carter Brown avait écrit d'autres livres, et j'ai bien envie de les découvrir pour voir ce qu'il a pu mettre en oeuvre.
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
La compagnie est une tigresse blonde dont les charmes rebondis doivent hanter tous les rêves de puberté de toute la gent féminine. La compagnie porte un chemisier de soie vert clair suffisamment déboutonné pour aérer une vallée profonde qui sépare deux mamelons glorieux, fermes et agressifs. Le pantalon d’ottoman blanc adhère étroitement aux hanches en forme de sablier, à croire que chaque minuscule fibre de coton a au préalable été renforcée séparément.
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Il appartenait à la pire espèce de voyeurs, parce qu’il ne se contentait pas de regarder furtivement par les trous de serrure pour voir les gens se déshabiller… Il pénétrait dans les cerveaux qu’il déshabillait jusqu’aux derniers replis de leurs âmes… en admettant qu’ils en aient eu une !
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Une blonde ravissante, au corps voluptueux… pas très grande, mais faite au moule, avec des courbes généreuses réparties aux bons endroits.
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Il y a une théorie qui prétend combattre le feu par le feu… mais cet excellent whisky n’a pas la moindre chance de venir à bout des flammes qui me brûlent par tous les bouts.
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Un argent ignoble, dégoûtant, soutiré de façon tout aussi ignoble et dégoûtante ! Il ne fait pas long feu quand on l’obtient de cette manière.
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