AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,32

sur 169 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Quand on aime, on ne compte pas !

Découverte sur le tard, j'ai une tendresse particulière pour l'écriture de Marion Brunet, dont je remonte à rebours les différents livres depuis quatre ans. C'est ce qui m'a amené (merci Eva) à me plonger dans Ce qu'elles ne savaient pas, précédemment titré La gueule du loup.

Cette plongée à Madagascar dans la foulée de Lou et Mathilde, deux jeunes amies d'enfance aux caractères opposés mais aux liens solides, se laisse lire d'une traite sans déplaisir. Et ces vacances en forme de pause avant la vie adulte vont s'avérer particulièrement marquantes.

Car passé les bains dans le lagon, c'est une autre tournure que prend ce road-trip lorsque Lou et Mathilde viennent en aide à Fanja, jeune malgache vivant sous la coupe sexuelle et violente d'un mac local sordide. Démarre alors une fuite dangereuse dans la jungle hostile…

Lu d'une traite, ce livre est difficilement comparable aux plus récents de Brunet et ne m'a pas passionné plus que cela. Mais pourquoi faudrait-il les comparer alors que les cibles sont totalement différentes ?

Ce qui est sûr, c'est que Marion Brunet est aussi à l'aise en littérature ado qu'en littérature adulte, s'attachant toujours à travailler ses personnages. Des personnages qui ont généralement en commun – et ici encore – d'être à des moments charnières de leurs vies, des « passages » décisifs à négocier.

Et dans cet exercice, elle est particulièrement douée, Marion Brunet !
Commenter  J’apprécie          390
Je n'ai lu que de bons avis sur ce livre, livre qui est assez court (avec une taille de police bien grande). Je lis vraiment très peu de thriller, voire quasiment jamais car ce n'est pas trop ma tasse de thé mais j'ai quand même voulu lire La Gueule du Loup qui m'attirait de par son titre, la couverture et son résumé plutôt accrocheur.

Mathilde et Lou, 18 ans, le bac en poche, sont parties en vacances sur l'île de Madagascar. Deux meilleures amies qui vont enfin remarquer à quel point elles sont différentes l'une de l'autre, à quel point un rien peut les séparer mais qui en même temps, vont être plus soudées que jamais avec les situations qu'elles vont vivre. Cela aurait dû être des vacances bien méritées, le temps de se trouver, de se préparer pour leur "avenir'' mais ces vacances vont littéralement virer au cauchemar. Mathilde et Lou vont voir les bons et les mauvais côtés de l'île. Elles vont se mêler d'une affaire et elles en payeront les pots cassés. Elles auraient dû poursuivre leur chemin sans se retourner, sans une once d'hésitation. Elles vont être liées à une jeune fille originaire de l'île, du même âge qu'elle, Fanja, qui a de bonnes raisons de fuir avec elles et qui va les guider dans leur périple.
Elles vont rencontrer un homme qu'il aurait mieux valu ne jamais croiser, ô grand jamais! Mathilde, Lou et Fanja ne vont pas que fuir et affronter cet homme, mais aussi l'île en elle-même.

Dès le début, on se demande qui est le "loup" car c'est forcément une personne, et puis, pourquoi parle-t-on de loup? Ici, le mot loup est très "négatif" alors on se doute bien que le gars n'est pas n'importe qui.
Il aura fallu des vacances au loin, loin de la civilisation pour que tout éclate entre les deux amies, elles qui se disent leurs quatre vérités, Lou en ayant assez de vivre dans l'ombre de Mathilde en quelque sorte. Mais leur mésaventure va les lier l'une à l'autre à jamais.
J'ai eu aussi quelques accrocs avec les personnages. Mathilde m'a été assez antipathique dès le début, je me sentais un tout petit peu plus proche de Lou qui est un peu plus en retrait, plus simple que son amie. Mais il n'empêche qu'elles m'ont plutôt laissé de marbre, je ne me suis pas attachée à elles et ce même avec ce qui leur arrivait.
J'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire, ce n'est pas vraiment à cause de la plume de l'auteure. Enfin si... à cause du langage familier présent tout du long, les filles s'exprimant familièrement, ce qui m'a gêné, c'était lourd en fait.

En bref, je m'attendais à tout autre chose, à une histoire encore plus sombre, encore plus dure, plus poussée, enfin... quelque chose qui me prenne aux tripes. J'en attendais peut-être trop d'où ma part de déception. Néanmoins, ça reste une bonne lecture, un bon petit thriller contemporain, plutôt parfait pour l'été.
Commenter  J’apprécie          180
Un contexte un peu particulier pour moi dans la lecture de ce livre puisque comme j'ai été totalement convaincue (subjuguée même !) par le magnifique " l'été circulaire ", j'ai décidée de lire tous les livres de Marion Brunet. Je fais donc le chemin à l'envers !!!
Nous sommes loin avec ce livre de l'immense qualité de l'été circulaire : l'histoire est quelque peu cousue de fil blanc, rien que dans le pitch de départ des deux jeunes bachelières, Mathilde et Lou, qui partent à Madagascar à 18 ans tout juste en dehors de toute organisation. On a du mal à y croire d'emblée...(là c'est la maman qui parle)
Et puis le méchant est quand même très caricatural, dans son aspect physique comme dans son caractère complètement diabolique. Tout cela est simpliste.

Toutefois, la plume de Marion Brunet est déjà là, à commencer par sa capacité à saisir une atmosphère et des impressions, par exemple dans la restitution très juste du désarroi des deux jeunes femmes face au contraste entre la vitrine qu'offrent les lieux touristiques et la réalité de l'extrême pauvreté des habitants à quelques minutes des hôtels de luxe. Elle capte subtilement aussi la relation entre les deux amies, avec cette face parfois pesante de l'amitié, ce déséquilibre qui s'instaure quand l'une des deux personnes dévore l'espace de l'autre.

C'est dans tous les à côtés de l'histoire que l'auteure fait déjà très bien le job.
Je pourrais dire que le livre est prometteur mais je sais déjà que les promesses seront tenues avec l'été circulaire.... Ce serait donc tricher ! Je vais en tout cas continuer mon chemin à l'envers repérer chez Marion Brunet tous les signes annonciateurs de son immense talent littéraire.
Commenter  J’apprécie          100
Bac en poche, Mathilde et Lou s'offrent un voyage à Madagascar, des vacances sensées être paradisiaque. Elles s'installent en bord de mer, mais Lou ne supporte plus les insectes et l'absence d'eau courant. Alors elles partent vers la capitale, Tananarive. Elles en appréhendent le fracas et la pauvreté. Mais une mauvaise rencontre et tout bascule, les forçant à une fuite qui les entraînera au coeur de la forêt tropicale…et plus encore ?


Ce roman est bel et bien un thriller, il y a des passages haletants où l'on tourne les pages à toute vitesse et où l'angoisse nous serre le ventre. le danger est là, la violence et le sang également. Les jeunes filles traversent des épreuves terribles. Pas de doute, ce n'est pas un conte de fées, même si l'ogre les poursuit dans la forêt. Mais c'est aussi un roman initiatique, puisque les deux amies sont à l'aube de leur vie d'adulte, l'heure des choix. Si Lou a peur de se tromper, Mathilde a le vertige devant les choix qui s'offrent à elle et voudrait les embrasser tous. Elle rêve d'autre chose que d'une vie rangée, et ce voyage nourrit cette envie. Les événements mettent à l'épreuve leur amitié et marqueront la fin de leur enfance.


Marion Brunet nous plonge littéralement dans Madagascar, on a l'impression d'y être. L'auteure a vécu sur l'île et la connaît intimement, cela se ressent. Les cinq sens sont sollicités. On voit Madagascar, on la touche, on la hume, on la sent sur notre peau, on en découvre les sons, les chants. On la découvre à la fois sublime, dans sa végétation, ses baleines, ses lagons, mais aussi dangereuse et étouffante, désespérément pauvre mais toujours en mouvement.


J'ai trouvé les personnages de ce roman extrêmement vivants, Lou et Mathilde m'ont vraiment semblé réelles. Je me suis beaucoup retrouvée dans la première, craignant de faire les mauvais choix, refusant de gaspiller le temps qui lui est alloué en erreurs, mais désirant devenir un peu plus audacieuse. Quant à Mathilde, elle fonce, quitte à se cogner à la vie, mais elle découvre ici qu'elle pourrait se brûler les ailes. Autre personnage marquant, la jeune malgache Fanja, qui a une culture très différente, régie par l'honneur et guidée par les esprits.


En ce qui concerne l'écriture, le ton est résolument jeune, dynamique. le style n'est pas familier, mais direct et spontané, vivant. Il n'est pas très littéraire mais colle très bien à ce que l'auteure veut raconter. Mention spéciale aux descriptions qui font prendre vie à Madagascar nous nos yeux.


Ainsi, ce nouveau roman de Marion Brunet est une réussite, entre thriller et roman initiatique. Il est bien mené, les personnages sont vivants et on tremble avec eux. On respire Madagascar, on la goutte, on la hume, on l'aime et on la craint. Un livre que je conseille aux jeunes adultes, et aux grands ados à partir de 16/17 ans.
Commenter  J’apprécie          90
Je connaissais déjà Frangine de Marion Brunet qui fut pour moi une lecture merveilleuse. Alors évidemment, je me suis lancée dans La Gueule du Loup du même auteure. D'ailleurs j'en avais également entendu parler sur Booktube ( je ne me rappelle plus sur quelle chaîne littéraire).
Au niveau de sa taille, il fait environ 230 pages. Pour moi, ce n'est ni trop court ni trop long. de plus, c'est quand même écrit assez gros.
Au niveau de l'histoire, nous sommes sur une île d'Afrique; Madagascar. Mathilde et Lou deux meilleures amies s'y sont rendues pour des vacances après le bac. Petit moment de détente sympathique après une période de stress. Malheureusement, les vacances ne se passent pas comme elles l'imaginaient...
Aventure, révolte, mystère sont au rendez-vous...
L'histoire était bien partie mais la le déroulement ne m'a pas spécialement plu. Ce qui est vraiment dommage. Bon, je ne voudrais pas vous spoiler, donc je vais en rester là.
J'aime bien l'écriture de Marion Brunet qui parfois "choque" par sa brutalité des mots, par son vocabulaire mais qui finit par nous emporter... Elle m'a captivé et m'a fait voyager avec les deux protagonistes sur cette île.
Elle a un style bien à elle que j'apprécie beaucoup!
Si vous voulez vous lire un de ses lives, je vous conseille fortement Frangine qui est un roman poignant sur la famille, l'homosexualité, la tolérance et l'amour.
J'ai un assez bon avis dans l'ensemble. Ce livre est correct sans être une déception ni un coup de ♥.
Je mettrais 12/20 à ce roman.


Commenter  J’apprécie          60
Je ne connaissais pas Marion Brunet et je la découvre avec ce roman.
Alors en ce qui concerne la plume, je ne m'étalerais pas. Je n'ai pas spécialement d'avis. Je n'ai ni aimé ni détesté. Plutôt une écriture neutre pour moi déjà vue et lue ailleurs.
Pour l'histoire, on a deux toutes jeunes femmes d'à peine 18 ans qui décident, une fois le bac en poche, de partir vivre l'aventure au soleil. Elles découvriront alors que le monde n'est pas celui des bisounours et que le danger peut roder n'importe où. Elles en perdront leur innocence mais sortiront grandies, chacune à leur façon.
J'ai lu après avoir refermé la dernière page que ce roman était plutôt un youngadult et honnêtement je suis assez d'accord.
Par contre c'est vrai que c'est dépaysant que l'action se situe à Madagascar et l'autrice a su parfaitement nous immerger dans cette ambiance tropicale suintante et collante.
Il y a aussi un aspect sur les croyances malgaches (ça c'est très sympa) mais qui part un peu sur les superstitions, voir le surnaturel. Mouais.
Conclusion, heureusement que ce roman était court car j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire, puis des passages qui m'ont ennuyés, et enfin une fin pas ouf.
Bref un roman qui sort de ma PAL, c'est chouette ça mais qui sera vite oublié certainement.
Commenter  J’apprécie          40
Pour aller directement au but, je suis passé à côté de cette lecture. A sa décharge, j'ai lu Ce qu'elles ne savaient pas de Marion Brunet juste après avoir terminé un monument dépassant les mille pages (Un monde sans fin de Ken Follett), et forcément ce n'est pas le même niveau.

Ce court roman de 236 pages porte sur une histoire d'amitié entre deux jeunes filles tout juste diplômées du bac et qui décident pour fêter ça de partir seules à l'aventure sur l'île de Madagascar. Tout ne va pas se passer comme prévu et leur excursion va virer au cauchemar.

Je pense avoir du mal avec les romans courts : je ne suis pas entré dans l'histoire dont le scénario est assez simpliste, et je n'ai pas non plus accroché au duo de personnages. le style de l'écriture ne rattrape pas les choses, lui aussi trop simple et sans grand intérêt. J'ai l'impression d'avoir survolé toute l'intrigue qui aurait mérité des dizaines de pages en plus.

Deux points positifs toutefois : d'une part, l'ambiance à Madagascar est bien retranscrite (je suppose car je n'y suis jamais allé). Malheureusement étant donné l'épaisseur du roman, on ne s'y habitue pas trop. D'autre part, l'amitié entre Mathilde et Lou est bien creusée, avec deux caractères bien définis.

En conclusion, j'ai été déçu par cette lecture, mais pour autant je pense lire Plein Gris de l'autrice dont je vois de bons retours.
Commenter  J’apprécie          40
Séduite par de nombreux ouvrages de Marion Brunet, L'été circulaire, entre autres, que j'ai lu comme on découvre un joyau, j'ai été plutôt déçue par La gueule du loup republié sous le titre : ce qu'elles ne savaient pas.
L'histoire est peu crédible, mais avec un peu d'imagination, ça peut passer.
Les trois premiers quarts du livre sont assez improbables mais je me suis laissée emporter quand même.
En revanche, le dernier quart est complètement décevant.
Commenter  J’apprécie          40
Ne vous laissez pas avoir par la couverture, ce roman est un thriller, un vrai, un de ceux qui vous mettent mal à l'aise dès les premières lignes !

La couverture à tout de la photo prise pendant des vacances entre copine, mais à côté il y a ce titre, qui interpelle, sa typographie rigide, son trait repassé encore et encore comme si on s'était acharné à graver les lettres. Tout est dit.

C'est ce décalage qui m'a interpellé ainsi que le genre : un thriller, si décalé au rayon adolescent. La curiosité m'a piqué et ni une, ni deux, j'ai commencé ma lecture.

Les premiers chapitres sont idylliques : Madagascar, ses paysages, sa faune, sa flore, son « paysage de carte postale », ses habitants. Puis lentement, sans crier gare, au détour d'une page, quelques phrases en italiques en début de chapitre. Des phrases qui font froid dans le dos, si bien qu'on se demande ce qu'elles font là, entre le sable chaud et l'océan azur. Et voilà le malaise qui s'installe tranquillement à côté de vous, à croire qu'il n'a pas l'intention de vous quitter de si tôt. C'est le moment où le lecteur se dit : « ah oui, c'est un thriller… ».

Il ne vous reste plus qu'à suivre, impuissant, le périple des deux jeunes filles. Haleter avec elles, trembler avec elles, car l'auteur ne fait pas dans la demi-mesure, un thriller si ce n'est pas réaliste, ça n'est pas effrayant et ça n'a plus d'intérêt. Alors pour commencer, Marion Brunet vous jette au détour d'un paréo, l'envers du décor de la carte postale, aie ! Puis avec une écriture simple et efficace, elle vous retourne l'estomac au détour d'une conversation anodine. La machine thriller est lancée.

Pour autant, que le parent lecteur de thriller se rassure, Marion Brunet n'a pas oublié qu'elle écrivait de la littérature jeunesse, même si on serait plus tenté de parler de young adult ici. Quoiqu'inattendue, la fin est assez décevante pour le lecteur initié : trop facile. Malgré tout, je conseille sans hésitation ce titre à ceux qui veulent s'initier au thriller sans se jeter dans la fosse aux lions. C'est le titre parfait pour un début tout en douceur et en frémissements (de peur).
Lien : https://belykhalilcriticizes..
Commenter  J’apprécie          40
Mathilde et Lou sont la représentation de cette amitié. Elles ont dix-huit ans, le bac en poche, et sont parties à Madagascar, prêtes à vivre de folles aventures avant d'entrer à la fac. Ça, c'est le plan qu'a monté Mathilde ; les folles aventures, c'est son truc. Mathilde vit à cent à l'heure, part dans tous les sens, ne s'arrête jamais. Etourdie par le vaste champ des possibles, elle voudrait pouvoir tout faire, ne rien écarter, tout décider – et emmerder un peu sa mère au passage.

Lou râle derrière mais fini toujours par la suivre. C'est rassurant, tout compte fait, de se laisser porter par la vague, emportée par la tornade Mathilde. Elle est plus calme, Lou, plus réservée, paraît plus peureuse aussi. Peut-on vraiment le lui reprocher ? On ne peut que comprendre sa peur de se tromper de chemin, sa peur de découvrir dans dix, vingt, trente ans, que ce n'est pas la vie qu'elle voulait.

L'aventure ne va pas tarder à arriver. Une aventure comme on ne voudrait pas en vivre, personnifiée par un Loup, un homme blanc brutal, violent, sadique même. Il aime faire mal, il joue de la peur qu'il procure aux filles. En voulant aider une jeune malgache, Mathilde et Lou vont devenir les cibles de cet homme dangereux. Leur été prend alors des allures de thriller, elles se retrouvent dans une course effrénée, une fuite dans l'intérieur des terres pour survivre. Et nous, lecteurs, nous courons à leurs côtés, tournant les pages de plus en plus vite pour ne pas les lâcher, comme si nos yeux rivés sur les mots pouvaient les sauver.

Marion Brunet sait créer des personnages attachants. Mathilde et Lou, c'est nous, c'est la personnification de nos doutes. Elles ont parfois l'air un peu caricaturales, ces deux amies, mais je les vois comme la personnification de nos contradictions. La fin du lycée est autant excitante qu'elle n'est angoissante et c'est peut-être la première fois qu'il nous faut prendre une grande décision qui pourrait bien influencer notre vie entière. Et comme à chaque décision, le coeur et la raison se chamaillent. Voilà ce que sont Mathilde (le coeur) et Lou (la raison). Sacrées filles !

Un très bon roman, donc ? Presque. Je reste mitigée quant à la fin du roman. Je ne m'étendrai pas pour ne pas la dévoiler mais je la trouve un peu facile, un peu trop simple. Peut-être mon coeur s'est-il mis en silencieux pour laisser parler la raison mais j'aurais aimé que l'aventure se termine avec une réalité noircie et non rayonnante comme si de rien n'était. L'été laissera quelques séquelles, je n'en doute pas, et peut-être aurait-il fallu suivre les filles pendant quelques pages encore ? Ou bien peut-être faut-il tout simplement les laisser vivre et accepter de les quitter à ce moment ? C'est vrai que ces temps-ci, mes lectures m'invitent de plus en plus à préférer cette option.
Lien : http://milleviesenune.com/la..
Commenter  J’apprécie          40




Lecteurs (289) Voir plus



Quiz Voir plus

Frangine de Marion Brunet

Pourquoi Laura se fait-elle harceler au lycée?

Car sa mère est handicapée physiquement
Car son père sourd-muet
Car elle a deux mères
Car elle a deux pères

10 questions
42 lecteurs ont répondu
Thème : Frangine de Marion BrunetCréer un quiz sur ce livre

{* *}