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Critique de Acidus
Si je connais mieux Serge Brussolo à travers ses ouvrages de science-fiction, j'avais déjà pu lire un de ses polars médiévaux, en l'occurrence « Le château des poisons ».
La quatrième de couverture de ce « Pèlerins des ténèbres » présageait une intrigue faisant la part belle aux mystères et au suspens. le genre de lecture qu'il est difficile de raccrocher tant il nous tient en haleine et dont on a hâte de connaître le fin mot de l'histoire. Cette dernière, justement, s'avère plutôt décevante. le roman commence pourtant bien mais l'enthousiasme du début s'effrite progressivement au fur et à mesure de la lecture. Les promesses ne sont pas tenues puisqu'il n'est pas question ici d'un suspens insoutenable mais plutôt d'une intrigue bancale dont l'absurdité trouve son point culminant durant le dernier quart du livre (avec l'histoire de l'arche). Il faut dire que Brussolo n'y met pas du sien. Ses personnages manquent cruellement de profondeur psychologique (notamment Marion) tout comme cet univers médiéval centré sur la religion et les superstition dont on ne ressent pas la dimension spirituelle, ésotérique. En un mot, c'est plat.
Heureusement, le format court fait que ce livre se lit bien. Et s'il m'ait arrivé de souffler devant certaines incohérences et face aux directions prises par l'auteur, je dois admettre avoir lu « Pèlerins des ténèbres » sans déplaisir. Bref, un roman moyen qui ne présente rien de mémorable.
La quatrième de couverture de ce « Pèlerins des ténèbres » présageait une intrigue faisant la part belle aux mystères et au suspens. le genre de lecture qu'il est difficile de raccrocher tant il nous tient en haleine et dont on a hâte de connaître le fin mot de l'histoire. Cette dernière, justement, s'avère plutôt décevante. le roman commence pourtant bien mais l'enthousiasme du début s'effrite progressivement au fur et à mesure de la lecture. Les promesses ne sont pas tenues puisqu'il n'est pas question ici d'un suspens insoutenable mais plutôt d'une intrigue bancale dont l'absurdité trouve son point culminant durant le dernier quart du livre (avec l'histoire de l'arche). Il faut dire que Brussolo n'y met pas du sien. Ses personnages manquent cruellement de profondeur psychologique (notamment Marion) tout comme cet univers médiéval centré sur la religion et les superstition dont on ne ressent pas la dimension spirituelle, ésotérique. En un mot, c'est plat.
Heureusement, le format court fait que ce livre se lit bien. Et s'il m'ait arrivé de souffler devant certaines incohérences et face aux directions prises par l'auteur, je dois admettre avoir lu « Pèlerins des ténèbres » sans déplaisir. Bref, un roman moyen qui ne présente rien de mémorable.
