Comme dans le précédent livre de Véronique de Bure,
Un clafoutis aux tomates cerises, nous retrouvons le personnage attendrissant d'une femme, mère et grand-mère. Au crépuscule de sa vie, elle retrouve son premier amour. Un récit qui nous est conté par sa propre fille, avec le souhait de s'adresser directement à sa mère. D'où une narration peu courante à la deuxième personne du singulier.
Il manque tout de même à ce récit une certaine délicatesse que l'on trouvait dans le précédent livre de Véronique de Bure.