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déjà lu il y a quelques années. on me l'a offert et c'est en cours de relecture que j'ai retrouvé quelques images; qu'importe, j'ai poursuivi, et je crois avoir moins aimé que la première fois. bien sûr, la tournure sicilienne des phrases m'a toujours intéressée, le vocabulaire aussi; mais le côté glauque... heureusement reste le côté très humain des personnages, et la discrète description des paysages siciliens. partagée je suis :)
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Un très bon Camilleri : à lire, bien sur !!!

Le commissaire Montalbano est égal à lui-même : entier, humain, perspicace !
L'intrigue est simple, mais il y a un beau rebondissement final, auquel on ne s'attend pas, malgré certains indices évidents !
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Les erreurs judiciaires sont souvent la cause du ralentissement d'une enquête. Elles sont le résultat d'une méprise, d'une négligence ou alors d'un réseau de circonstances qui les rend inévitables. La police italienne (en l'occurrence, celle de Vigata, une petite ville imaginaire de Sicile) n'échappe pas aux pressions de la hiérarchie, des médias, sans parler des guerres d'égos au sein de l'organisation. Il y a les policiers du commissariat et la Criminelle (pour une fois, les carabiniers n'entrent pas dans la danse). Et c'est dans ce milieu professionnel qu'évolue Salvatore Montalbano ; il n'échappe à personne que son prénom veut dire « sauveur ». Mais cette fois-ci, lors de l'enquête, il baisse les bras (il a l'esprit ailleurs) et l'erreur judiciaire se produit. Il lui faudra donc ruser pour parvenir à récupérer l'enquête et, finalement, démasquer le coupable pour le pousser dans ses derniers retranchements.
Comme d'habitude, Andrea Camilleri profite de l'intrigue policière pour nous peindre le portrait d'un homme honnête, faisant son boulot avec sincérité mais qui rééquilibre les événements qui ne lui plaisent pas. Et au-delà de Montalbano, c'est le portrait d'une société où la corruption, le jeu d'influences, la Mafia jouent un rôle important.
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Dans la série des Montalbano, ce 4eme opus est une forme de charnière qui clôt une séquence avec le scénario élaboré dans la relation entre Salvo et Livia autour de l'adoption de François. Plusieurs personnages apparaissent et évoluent : le questeur, le chef de la Police Scientifique, le procureur Tommaseo, Catarella commence à manifester de façon inattendue son talent pour "l'informemathique".

L'intrigue policière est bien menée, suffisamment ficelée pour mettre la puce à l'oreille tout en gardant le plaisir du suspense. L'enquête permet d'aborder les thèmes dans lesquels Camilleri est à mon sens le plus convaincant : les conflits de valeurs dans la Police (une bavure policière notamment), le rôle des journalistes, l'omniprésence de la mafia. Mais aussi une gamme de sentiments et d'émotions très humaines.
L'ensemble constitue une harmonieuse partition et pour moi un des épisodes les plus réussis (mais je ne les ai pas encore tous lus...)
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J'aime beaucoup les romans policiers, ils me permettent de m'évader en faisant fonctionner à fond mon cerveau pour anticiper et résoudre l'enquête.
Je n'ai jamais réussi à entrer dans l'histoire et au final ce livre me laisse comme une impression de perte de temps alors qu'il y a tellement d'ouvrages géniaux. Vivement mon prochain livre.
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Certains le trouverons vulgaire. Moi je le trouve grossier ce Montalbano, mais dans le bon sens du terme. Camilleri et son argot sicilien, moi ça me botte. C'est un peu mon Marseillais à moi. Un commissariat de bras cassés au grand coeur, des histoires loufes, des forbans et des corrompus. Sous le cagnard de cette fin d'été parisien, je trouve ça parfait.
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Pas assez aguerrie à l'exercice de la langue Sicilienne je me suis très vite lassée de ce policier au demeurant sympathique mais qui n'a pas réussi à me séduire.
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Camilleri Andrea, - "la voix du violon" - Pocket, cop. 2001 pour la version en français (ISBN 978-2266115681)

Du roman policier écrit au kilomètre, sans prétention, qui délasse les neuronnes. Pourquoi pas ?
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