Enigma

Dans ce roman, nous retrouvons l'écriture bien noire et une ambiance assez glauque comme aime le faire l'autrice.
Néanmoins, je n'ai pas vraiment accroché à l'histoire car la première chose à savoir avant de commencer votre lecture, c'est que ENIGMA est la suite de SINESTRA. Par conséquent, j'ai eu de mal à rentrer dans l'intrigue car il me manquait beaucoup d'éléments pour comprendre les personnages. A cause de cela, j'ai failli abandonner ma lecture.
Mais, arrivée à la moitié du livre où nous avons une bride d'explications, on rentre vraiment dans le vif du sujet avec l'action au sein de l'orphelinat qui se met bien en route. Certaines scènes m'ont fait froid dans le dos.
A partir de là, j'ai littéralement dévoré le roman afin de connaître le fin mot de cette tragédie.
Quant à l'épilogue, je ne l'attendais pas du tout à ça.
Je conseille vraiment cette suite pour tos ceux qui ont lu SINESTRA.

Je remercie NetGalley et les éditions Fayard pour cet envoi.

Un orphelinat abandonné, un tas d'histoires circulent autour, plus effrayantes les unes que les autres…des spécialistes de l'URBEX … de quoi faire rêver…mais finalement, la magie n'a pas opéré comme je le souhaitais .

Si j'ai bien compris, Enigma est une suite de son roman Sinestra ( j'ai essayé de me le procurer en numérique mais il n'est pas disponible). Donc je n'ai pas lu Sinestra, ça ne m'a pas empêcher de comprendre Enigma. Armelle Carbonel resitue régulièrement l'intrigue donc je ne me suis pas sentie perdue, mais je pense que j'ai du perdre un peu sur le ressenti de l'intensité de l'intrigue . L'accroche avec les personnages principaux ne peut pas être la même quand on n'a pas lu le premier tome.

Enigma est un roman noir, un roman d'ambiance mais surtout une fin … sombre mais sombre, là dessus rien à redire.

J'ai passé un bon moment de lecture, mais il m'a manqué de l'attachement aux personnages, que j'aurais peut être ressentie si j'avais lu Sinestra.

BREF…LES LECTEURS DE SINESTRA SERONT RAVIS DE LIRE LA SUITE ET LA CONCLUSION DE CETTE HISTOIRE.

MERCI NETGALLEY ET LES EDITIONS FAYARD POUR CETTE LECTURE
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