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Citations sur Ce si joli trouble (44)

— Je t’ai entendu, c’était le jour où je suis venue dans ton bureau pour m’excuser. Tu étais au téléphone avec quelqu’un de Philadelphie, tu as dit que c’était fini, que ça n’avait été qu’un incident de parcours…
Il m’a posé un doigt sur les lèvres.
— [spoiler]Cette fois, je t’arrête, Bliss. Notre relation n’a rien de simple, mais tu n’as jamais été un incident de parcours. Et je ne serais jamais parti, même si je m’étais fait renvoyer. J’étais trop amoureux de toi[/spoiler].


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J’allais être lamentable…Plus lamentable que je ne l’avais jamais été. Si lamentable qu’il ne voudrait plus jamais me revoir (or je voulais vraiment le revoir). Et l’expérience allait se montrer si désastreuse tellement traumatisante que je ne voudrais plus jamais la tenter ; toutes mes relations futures allaient échouer et je finirais vieille fille aigrie et malheureuse, avec neufs chats et un furet.
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Comment peut-on savoir avec qui on veut passer le reste de sa vie ? Je n’étais même pas capable de savoir ce que je voulais pour dîner !
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— Bliss ! s’est-il exclamé visiblement soulagé. Je pensais passer chez toi dans une heure, mais j’avais peur que tu n’aies des invités.
— On ferait peut-être bien d’échanger nos numéros de téléphone.
— Tu vas m’enregistrer sous un nom de code, pour que personne ne sache d’où viennent les textos libidineux que je vais t’envoyer ?
Je l’ai regardé, les yeux écarquillés
— Parce que tu as l’intention de m’envoyer ce genre de textos ?
Une lueur amusée a dansé dans son regard et son sourire éblouissant s’est étiré sur ses lèvres.
— Je ne l’exclus pas.
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Dans la vie, ai-je répondu, les choses les plus terrifiantes sont parfois les plus gratifiantes.
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— Tu es sérieuse ? s’est-elle exclamée en retrouvant la parole. C’est à cause de Jésus ? Tu te réserves pour lui ?
Le sexe semblait une évidence pour Kelsey. Elle avait la plastique d’une Barbie et le taux d’hormones équivalent à celui d’un adolescent en pleine puberté.
— Non, Kelsey, lui ai-je dit, c’est un peu compliqué de se réserver pour quelqu’un qui est mort depuis deux mille ans.
Elle a aussitôt enlevé sa chemise et l’a jetée sur le sol. J’ai dû avoir l’air effaré parce qu’elle a éclaté de rire.
— Relax, princesse Pureté ! Je me change.
Plantée devant mon armoire, elle s’est mise à fouiller dans mes vêtements.
— Tu te changes, pour quoi ?
— Parce que, ma chère Bliss, nous sortons. Si ta fleur est aussi intacte que tu le prétends, il est grand temps de lui trouver un jardinier.
Dans sa bouche, le mot « jardinier » n’avait rien de bucolique, et le destin qu’elle réservait à ma fleur prenait des allures de publicité porno.
— Seigneur Dieu, Kelsey.
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Un jour quand j'étais petite et que ma meilleure amie m'avait tourné le dos, ma mère m'a consolée en me disant que certaines amitiés s'achèvent d'elles-mêmes. Elles brillent comme des étoiles et puis un jour sans que rien de particulier se produise, elle s'éteignent. Elles ont vécu.
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- D'abord, a-t-elle repris, c'est un bar très sympa. Ensuite, et surtout, c'est un bar que les hommes apprécient. Et comme nous apprécions les hommes, c'est un bar que nous apprécions.
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- Dis-moi que je ne suis pas fou.
Impossible. J'étais trop détraquée pour juger de l'état mental de quiconque.
- Dis-moi que je peux t'embrasser.
ça... C'était dans mes cordes.
- Tu peux...
Je n'avais pas terminé que sa bouche était sur la mienne.
En guise de brûlure, je préférais nettement celle-ci.
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— Shakespeare. Personne ne lit Shakespeare dans un bar à minuit, sauf si c’est une technique de drague.
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