AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Derfuchs


J'ai arrêté cette lecture à la page 127.
La couverture mentionne : une nouvelle aventure de Sherlock Holmes. C'est la raison pour laquelle je me suis procuré cet ouvrage, d'autant que j'avais beaucoup aimé et apprécié tant "L'aliéniste" que "L'ange des ténèbres" du même Caleb Carr. J'ajouterai que j'ai lu, relu et re-relu l'oeuvre de Conan Doyle relative à M. Sherlock Holmes et au Docteur Watson. Avec bonheur!
Il n'est pas dans mes habitudes d'arrêter une lecture, ici ce n'était plus possible de continuer. J'avais beau me dire : encore une page, encore une page, le livre me tombait des mains et je m'endormais sur mon fauteuil.
Carr signale qu'il a actualisé l'orthographe du Dr. Watson pour certains mots. Il se fiche de nous, sauf s'il s'agit de l'anglais bien sûr.
Ce roman est du pur bavardage, il ne se passe rien ou presque. Il faut attendre la page 100 pour lire un peu de mouvements dans le récit et encore, rien de bien formidable, du moins pour Holmes et pour nous lecteurs. L'arrivée de Holmes grand frérot, Mycroft, n'y change rien, pourtant lorsqu'il y a les deux frères, en général, ça vole haut, là, non! Dialogue indigent, redondant, on tourne autour du pot, chutttt, tête vers le droite, la gauche, non nous écoute! Mais on s'enfiche des écoutes nous! du mouvement, on veut du mouvement. Rien, dodo l'enfant do.
Là dessus, vient se greffer l'histoire de Marie Stuart, que tout le monde connaît ou presque (livre de Zweig, pièce de Schiller et film de je ne sais plus qui), racontée par Holmes et là le lecteur fulmine : que ça bouge, que ça bouge, de l'action, de l'action, bref, rien.
Voilà mon sentiment sur ce livre que je ne note pas par respect pour Conan Doyle.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
Commenter  J’apprécie          151



Ont apprécié cette critique (12)voir plus




{* *}