John Dickson Carr fait partie de cette aristocratie du roman policier classique. Il joue des codes du genre, comme un pianiste virtuose de son instrument.
Avec ce Suicide à l' écossaise, je me suis offert un bon moment de fiction criminelle maligne et pleine d'humour... Émaillée de quelques cuites mémorables d'un whisky appelé la Damnation des Campbell.
L'histoire se passe en 1940, au moment où la guerre impose un black-out sur toute la Grande Bretagne. La nuit n'en est que plus lugubre sur l' Écosse et le château de Shira.
Gedeon Fell, imposant prince des détectives, mène l'enquête au milieu de personnages pittoresques et hauts en couleurs.
Un polar plaisant à lire... Tellement, que je n'étais nullement pressé d'arriver à la fin pour connaître le coupable que je n'avais pas deviné!
Commenter  J’apprécie         461
C' était là la chambre d'un vieil homme. Une paire de souliers démodés et élimés trainait sous le lit.
Chronique animée par Fabien Delorme, consacrée aux grands noms de la littérature policière, dans le cadre de l'émission La Vie des Livres (Radio Plus - Douvrin).
Pour sa sixième chronique, le 19 octobre 2016, Fabien aborde l??uvre de John Dickson Carr.
Fabien Delorme est aussi conteur. N'hésitez pas à vous rendre sur son site : http://www.fabiendelorme.fr/
La page Facebook de l'émission La Vie des Livres : https://www.facebook.com/laviedeslivres62/