La Fille dans le brouillard

La magie n'a pas encore opéré avec ce livre de Donato Carrisi je n'avais pas accroché au Chuchoteur pourtant j'ai tous ces livres mais je ne sais pas lequel parviendra à me convaincre.

Es-ce encore ce problème de traduction de la langue italienne certainement, dès la seconde page il y a des soucis de traduction.

Une histoire bateau de disparition d'une jeune fille Anna-Lou, un policier Vogel auquel on ne croit pas une seconde, idem pour son assistant, un professeur coupable idéale nouveau venu dans cette ville. Les médias dans leur splendeur, une journaliste Stella Honer chargée de couvrir l'enquête.

De nombreux retour dans le temps l'intrigue n'est pas suffisante pour tenir en haleine. Bref une vraie déception, heureusement que le livre est plutôt court.

Une jeune fille disparait dans un tout petit village de montagnes où tout le monde se connait. Une « star » de la police est envoyée sur place, le commandant Vogel, qui a un égo surdimensionné, de beaux costumes assortis et qui aime utiliser et jouer avec la presse…
Le style est mou, très lent et on met beaucoup de temps à vraiment entrer dans l'histoire. L'auteur donne l'impression de tester toutes les techniques qui ont fait leurs preuves dans le genre thriller : commencer par la fin, mélanger les points de vue, conduire le lecteur sur de fausses pistes… Sauf que justement l'ensemble donne vraiment l'impression d'un roman écrit sans véritable sentiment, comme une construction faite pour fonctionner. du coup on s'ennuie.. Et en plus, l'intrigue elle-même est un peu trop tirée par les cheveux, on n'y croit pas vraiment. Quant à la fin, c'est vraiment le rebondissement fabriqué…
Une déception pour cet auteur mais ce roman ne fait pas partie d'une série, peut être est il un peu à part et non représentatif de l'oeuvre de l'auteur..

Lu d'une traite … mais pour m'en débarrasser.
Dès le départ, j'ai été bloquée. Je me suis dit que plus j'avancerai, mieux ce serait mais malheureusement, je suis restée avec mes a priori de départ .

Qu'un enquêteur en manteau cachemire ( c'est important, c'est mentionné tout le long !) ne veuille « résoudre » une enquête qu'en donnant des informations plus ou moins vérifiées aux médias , sans véritable preuve ne m'a pas du tout convaincue.
Alors oui, c'est le sujet, les journalistes qui font ou défont des vies par leurs rumeurs mais je n'y ai pas cru du tout pour cette histoire. Que cela vienne de l'enquêteur et non des journalistes eux-mêmes m'a vraiment gêné.
De plus, malheureusement j'ai senti venir l'intrigue et les rebondissements n'y ont pas changé grand chose.

Bref, je n'ai pas adhéré aux personnages, je n'ai pas adhéré à l'intrigue. J'avais pourtant apprécié le chuchoteur mais celui-ci n'était pas pour moi.

Si l'auteur ne s'est pas inspiré de "PURGE" pour situer son roman, c'est que je n'y comprends rien. Quelle pâle copie de cette oeuvre pour un roman d'un classique et d'une facilité d'écriture souvent atteinte. Quel est l'intérêt de le situer dans un village de montagne, dans une communauté religieuse, d'où sort le policier ?, et la fin, bâclée est insupportable. CARRISI c'est fini

Déçue pour ma part. Je m'attendais à éprouver une certaine angoisse et puis... RIEN, bien loin du CHUCHOTEUR que j'avais adoré.
Il se lit bien, on a envie de savoir c'est sûr mais la fin je ne m'attendais pas du tout à ça. J'ai refermé le livre en me disant "MOUAIS"

Avechot, bourg alpin où régnait la tranquillité. Tout changea le jour où on trouva un gisement de fluorite. Beaucoup de gens s'enrichirent, d'autres s'appauvrirent et le tourisme et l'artisanat disparurent.
Anna Lou, 16 ans, cheveux roux et taches de rousseur sort de son domicile un 23 décembre vers 17h pour se rendre à l'église distante de quelques centaines de mètres. Elle disparaît ce soir là sans laisser de traces.
Les parents de Anna Lou et les habitants de la ville font quasiment tous partie d'une communauté religieuse qu'ils ont créée eux-mêmes.
A elle fait une fugue ou a elle été kidnappée?
L'antipathique commandant Vogel arrive dans le village flanqué du jeune lieutenant Borghi.
Vogel est un flic tiré à quatre épingles aux costumes en tweed. Il est la star des plateaux télé pour y faire son show en racontant ses histoires criminelles.
Il ne tarde pas à ameuter la presse dans le village où une journaliste tenace, la meilleure des envoyés spéciaux, Stella Honer, débarque aussi en force avec toute son équipe.
Des battues sont organisées dans la montagne afin de chercher la jeune fille qui reste introuvable.
L'affaire commence à faire du bruit.
Tous les jours Vogel reçoit des informations sur le degré d'appréciation des talk-shows et des JT qui suivent l'affaire. Mais l'enquête piétine et Vogel a peur pour sa peau à cause d'une ancienne enquête qui a failli mettre un terme à sa carrière.
Il est plus intéressé par les hausses d'audimat que par ses enquêtes.
Vogel est un flic arrogant et égoïste qui ne pense qu'à sa carrière et surtout au prestige et qui ne semble éprouver aucune empathie.
Il est urgent de trouver un coupable, il faut livrer un monstre aux médias et aux habitants.
Le coupable, Vogel va le trouver en la personne d'un professeur de littérature.
Son 4x4 blanc apparaît à plusieurs endroits sur un montage vidéo d'un adolescent de 16 ans amoureux de Anna qui la suivait pour la filmer.
Il manque des preuves de sa culpabilité ? Qu'à cela ne tienne, après avoir manoeuvré et orienté les médias il ne reste plus qu'à en falsifier une...

Mon avis sur ce thriller est qu'il n'en porte que le nom car le suspense et la peur y sont absents. Je n'ai été emballée que le temps de quelques chapitres puis le soufflé est retombé.
Au fur et à mesure qu'on avance dans le récit l'intrigue devient fade et décevante.
Tout est trop centré sur la médiatisation au détriment de l'enquête.
Le début de l'histoire aurait pu laisser présager un secret croustillant en rapport avec la communauté religieuse.
Les personnages sont quasiment tous artificiels. Vogel est détestable, hautain et dédaigneux. Il est uniquement préoccupé par ses tenues, sa notoriété et l'image qu'il reflète aux autres.
Au final quand on apprend ce qui s'est passé cela me semble bien peu plausible et abracadabrant.
Même la chute n'est pas une surprise, elle est même très prévisible.
La déception est donc au rendez-vous pour
"La fille dans le brouillard", le premier roman de l'auteur Donato Carrisi que je découvre.

j'ai commencé ce livre en espérant un vrai thriller comme les 3 premiers et excellents "chuchoteur" Qu'elle déception de ne lire qu'une histoire. Un flic qui veut être une star et une enquête qui n'en n'ai pas vraiment une. Je suis allé au bout du livre avec ennuis. La fin révèle sa surprise plutôt agréable même si c'est tiré par les cheveux. Un peu de piment sur un plat fade ne sauve pas le repas.

Vogel est sûrement le pire enquêteur de tous les temps ! Il s'intéresse plus à son image qu'aux victimes. Souvent je m'attache aux personnes avec lui ça risque pas ! Sinon l'enquête est plutôt bien ficelée, et la fin est inattendue.

J'avais lu tellement d'éloges concernant D. Carrisi que je me réjouissais de lire ce 1er roman ...
Malheureusement je l'ai trouvé très décevant. Aucun suspens, aucune enquête, juste un commandant qui cherche la célébrité. L'histoire n'avance pas, on piétine et le dénouement est peu crédible ...

La fille dans le brouillard de Donato Carrisi chez Calmann-Lévy

Mon avis :
J'ai eu beaucoup de mal avec cette lecture, du coup je me suis demandée pourquoi étant donné que je n'avais jamais été déçu des romans de D.Carrisi, après réflexion l'évidence était là… je n'ai pas apprécie cette inspecteur Vogel, cet homme m'hérissait…Ce flic plus ou moins ripoux manipulateur désagréable, je ne pouvais pas. En revanche le scénario est bon, on suit la vie de cette communauté isolée, cette famille en peine et ce professeur qui semble être irréprochable. Une fin inattendue. Je vous laisse vous faire votre propre avis.

Résumé :
Une jeune femme est enlevée dans un paisible petit village des Alpes. le coupable est introuvable, et voilà que la star des commissaires de police, Vogel, est envoyé sur place. de tous les plateaux télé, il ne se déplace jamais sans sa horde de caméras et de flashs. Sur place, cependant, il comprend vite qu'il ne parviendra pas à résoudre l affaire, et pour ne pas perdre la face aux yeux du public qui suit chacun de ses faits et gestes, il décide de créer son coupable idéal et accuse, grâce à des preuves falsifiées, le plus innocent des habitants du village : le professeur d école adoré de tous. l'homme perd tout du jour au lendemain (métier, femme et enfants, honneur), mais de sa cellule, il prépare minutieusement sa revanche, et la chute médiatique de Vogel.