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Non, non, ne tournez pas la tête, ne baissez pas les yeux. Regardez bien en face le visage de la haine raciale et religieuse, regardez bien cette pourriture à l'oeuvre, dans toute sa dimension et son atrocité. Je ne suis pas partisane du déni. Je suis sérieusement remontée, scandalisée et honteuse.

Oui, tout cela à la fois, car j'habite Strasbourg, siège d'une des plus grandes communautés juives de France. Les Juifs sont implantés en Alsace sans interruption depuis l'époque romaine, c'est-à-dire bien avant les Français ou les Allemands ou qui que ce soit d'autre. Ils sont donc constitutifs de l'identité de la région.

Mes voisins de palier sont des Juifs avec lesquels nous vivons, nous autres athées en parfaite amitié et intelligence depuis des années. Je savais que depuis quelques mois, ils envisageaient de s'installer aux États-Unis. J'imaginais, naïvement, qu'il s'agissait pour eux d'un choix de vie, d'un désir de découverte. Avant-hier, mon voisin m'a confirmé que c'est bel et bien la tendance actuelle qui le pousse à fuir la France tant qu'il est temps. Et il n'est pas un cas isolé, loin s'en faut.

Non, vous ne rêvez pas, nous sommes au XXIème siècle et des Juifs quittent la France parce qu'ils ne s'y sentent plus en sécurité. Dans la patrie de Voltaire et de Schoelcher, la haine raciale et religieuse est en train de gagner suffisamment de terrain pour faire peur à une communauté. Et malheureusement, cette scène-là a un air de déjà vu.

C'est une autre idée que j'ai de la France. Je suis athée et heureuse de pouvoir l'être et heureuse également de pouvoir compter parmi mes amis des Juifs, des Musulmans, des Chrétiens, des Bouddhistes ou des partisans d'Amma (Mata Amritanandamayi). Allons-nous rester les bras croisés, regarder ce qui se passe sous nos yeux sans rien faire ? Sans nous indigner ? Sans le faire savoir ? Allons-nous pouvoir longtemps nous regarder dans un miroir sans générer une sueur froide de honte ?

Alors je vous invite à consulter dans l'histoire du XXème siècle ce qui se fait de mieux en français en matière d'antisémitisme et de haine raciale. Il s'avère que c'est l'oeuvre d'un grand écrivain français dont j'ai eu l'occasion de vanter les talents de plume pour Voyage Au Bout de la Nuit. Je suis persuadée qu'il ne faut pas se tromper de cible en évinçant ce roman en tous points remarquable.

Mais il ne faut pas non plus passer sous silence les écrits insoutenables de ce même Céline. Je crois que c'est le moment de rappeler que la France a déjà connu sur son sol des monstres, des odieux et que malheureusement, elle en porte encore, et peut-être (assertion non vérifiée et non vérifiable) plus que jamais. Nous avons tous collectivement un devoir de mémoire, un devoir d'honneur et de positionnement.

Allons-nous donc toujours tourner la tête et regarder ailleurs ? Allons-nous faire honte à tous ceux, il y a deux ou trois générations qui se sont battus et qui ont parfois laissé leur peau pour que nous puissions, nous, vivre dans un pays de tolérance et d'accueil, exempt de guerre et de dictature ?

L'heure est venue de manifester, chacun à notre façon, chacun avec nos armes respectives que nous ne souhaitons pas vivre dans un pays où des fanatiques religieux instrumentalisés (ou pas), — qui font honte aux vrais tenants de leur propre religion — ou de simples racistes, peuvent par leurs actions violentes, par leur bêtise et par leur haine stigmatiser et faire fuir une communauté constitutive de ce qu'est la France, c'est-à-dire un patchwork ethnique et religieux généré par l'histoire et dont c'est justement la richesse. La France sans les Juifs n'est plus la France, la France sans les Musulmans n'est plus la France, etc.

Nous avons besoin de tous et de chacun, ensemble, en bonne intelligence, dans le respect mutuel. Il ne faut pas oublier l'histoire. Nous avons déjà été passifs une fois, allons-nous encore rester sans rien faire ? L'idée même m'est intolérable. Lisez. Lisez Céline, lisez Mein Kampf, lisez ce dont l'humain est capable, ouvrez les yeux et regardez ce qui est en train de se passer sur le territoire de la France. Honte à nous si nous laissons faire cela.

J'invite tous ceux qui partagent cette vision de la France à agir, même si c'est infinitésimal, même si on a le sentiment que ça ne sert à rien. Nous devons signifier notre indignation, c'est un devoir moral et civique. Ceci n'est évidemment que mon avis, un avis ridicule et dérisoire, tellement peu de chose, mais qui a au moins le mérite d'exister.

P. S. : J'ai trouvé le texte de ce livre sur Internet. Je n'ai pas pu lire le livre du début à la fin comme je le fais normalement (il est vrai que je suis habituée à lire des vrais livres et non sur un écran mais tout de même), je n'ai pu que survoler des passages et ça m'a donné la nausée et le blues, tellement c'est violent, tellement c'est creux et univoque sans une ombre de nuance. C'est un déferlement haineux (semi plagiaire, qui plus est, des passages entiers sont repompés de la somptueuse prose antisémite des journaux et brochures de l'époque), un torchon au sens le plus bas du terme, une logorrhée interminable, qui scande, qui rabâche, qui hurle, qui éructe que les Juifs sont les pires maux de la Terre, que tout ce qui va mal au monde est de leur faute, etc., etc. C'est une bouillie absolument imbuvable et inqualifiable.

Céline est d'autant plus coupable d'avoir commis ce texte qu'il ne l'a jamais renié. Je suis de celles qui défendent bec et ongles Voyage Au Bout de la Nuit, mais quand on tombe aussi bas qu'avec ce prurit vermineux, cette fange absolue, il y a effectivement des questions à se poser sur la santé mentale de son auteur, et je suis de celles-là.

P. S. 2 : Après une telle nausée et de telles vapeurs de haine, lire un petit autre chose s'impose et je vous conseille l'excellent Nathan le Sage de Lessing. Ça fait du bien et ça remet un peu de baume au coeur.
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"Il me manque encore quelques haines.
Je suis certain qu'elles existent".
Cette maxime inaugurale du "Mea culpa" du même auteur s'applique évidemment aussi à cet autre essai de la série pamphlétaire célinienne des années 1930.

Céline, nihiliste, est anti tout : anti franc-maçonnerie , anti démocrate, anti républicain, anti bourgeoisie francaise, anti français moutonnier, anti grand-briton, et j'en passe... Mais cest surtout son antisémitisme virulent, irraisonné, véritable doctrine séculaire et décomplexée de cette époque, qui suinte de ce brûlot, qu'il convient de replacer dans la banalité de son époque de luttes idéologiques exacerbées et violentes, verbalement et physiquement.
Se greffe sur ce terreau sociétal de véritables thèses complotistes liées qui à la diaspora juive (dont quelques personnages connus servent de têtes de turcs recurrentes), qui à "l'Amérique" envahissante, qui à "l'intelligence Service" anglais sur lequel Céline fait une fixette, causes de tout les maux qui emportent la France.

Céline, traumatisé de la grande guerre, aspirerait à la paix des peuples mais dans une logique quasi-eugéniste, dérape et appelle de ses voeux une sauvegarde par la violence de ce qu'il considère comme les vrais peuples européens ; il rejoint de fait les bataillons pro-nazis sans s'en cacher en le justifiant par la décrépitude des vrais sociétés européennes et semble sincère.

Cet essai, fait de cours chapitres dans lesquels l'on retrouve quelquefois un peu de la verve célinienne est difficile à lire de par sa structure. Très désordonné, il est plus proche d'une compilation de discussions de comptoir avinées entre membres de groupuscules extrémistes qu'à un manifeste politique structuré.
Ces embrouillaminis issus d'un esprit recherchant peut-être à l'époque de l'entre deux guerres une reconnaissance politique et polémiste ne représentent plus maintenant qu'un intérêt historique loin des passions obtuses de cette période.

Sûrement le plus connu des pamphlets de Céline de par sa violence antisémite viscérale, maintenant formolisé et éloigné des polémiques il est malaisé de véritablement le noter ; il ne reste qu'historique, et non recommandable ni par son fond idéologique ni par sa rédaction.
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Que ceux qui aime Céline se lèvent !

Je souhaite ici réagir à un commentaire , Intitulé « le cas Céline « à voyage au bout de la nuit .

Céline dans ce commentaire serrait un pacifiste profondément sincère et voyage au bout de la nuit en témoignerai .
Les juifs , dans ce texte poussaient la France à la guerre ( sous forme d'un supposé lobby juif constitué , supposé efficace et supposé représentatif , je suppose , puisque s'attirant les foudres de Céline grand patriote , s'attirant les foudres , d'un Céline pourfendeur de ces ennemis de la paix , ( que sont les juifs de France avant-guerre et structurés en lobby ) .
Les juifs qui voulaient , donc , utiliser la France comme un bélier contre l'Allemagne nazie , alors que les réfugiés affluaient en France et ailleurs et que l'Allemagne se lançait dans la conquête de l'Europe , que les frontières se fermaient radicalement devant ceux qui allaient mourir , dans l'indifférence des états et des peuples , et affublé de nom d'oiseaux dont Céline est un véritable florilège ambulant ....
Mais , le Céline pacifiste du voyage au bout de la nuit s'en prenait à ce supposé lobby constitué et apparemment notoire , avec des raisons apparemment imputable principalement au patriotisme et à son pacifisme et à sa lutte contre ce lobby ...

Cette présentation des choses est naïve au bas mot , mais surtout, elle ne tient pas la route ..

Dans ce texte , bréviaire francophone de la haine raciale , vous pourrez voir Céline faire l'apologie d'Hitler et de l'Allemagne nazie , ce qui est incontestablement la preuve d'une grande sensibilité humaine , d'un grand patriotisme , qui aura l'occasion d'ailleurs de briller avec faste alors que la France sera occupée deux plus tard .

Pour conclure je laisse la parole L F Céline 1938 : " je me sent très amis d'Hitler , très proche de tous les allemands" .
Il fut un homme heureux parce que deux ans plus tard , Hitler et la gestapo était à Paris pour faire le ménage doit-il rêvait ...
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L'école des cadavre est le troisième pamphlet antisémite de Louis Ferdinand Céline. Je trouve regrettable que ce « torchon » ne soit plus publié. C'est certainement l'ouvrage le plus haineux que je n'ai jamais lu. Mais cessons de faire croire que c'était par provocation, par nihilisme, ou par n'importe quel autre prétexte, non c'est vraiment par racisme, par détestation de la liberté. Ce « livre » car il faut bien l'appeler comme tel, est immonde, rempli d'un fiel acide, puant, déversé tel quel. Prenons un simple exemple :
« Les Juifs, racialement, sont des monstres, des hybrides loupés, tiraillés, qui doivent disparaître. Tout ce qu'ils trafiquent, tout ce qu'ils manigancent est maudit. Dans l'élevage humain, ce ne sont, tout bluff à part, que bâtards gangreneux, ravageurs, pourrisseurs. le Juif n'a jamais été persécuté par les Aryens. Il s'est persécuté lui-même. Il est le damné de sa propre substance, des tiraillements de sa viande d'hybride. D'où cet état de plastronnage perpétuel, de dervicherie compensatrice, cette arrogance, cet extravagant culot, cette jactance, saoulante, cette effronterie brailleuse, si dégueulasse, si répugnante. »

On est loin d'antisémitisme de tous les jours de cette période, simple peur exacerbé par les journaux, la religion. On est loin de la peur du prochain. On est dans le pire de l'être humain, le plus abjecte jamais produit, parce qu'il incite au pogrom.
Au « juiveries détestables » sont mêlé des longues tirades contre la franc-maçonnerie, contre les républiques, mères de tous nos maux. N'oublions pas l'apologie du nazisme : « Qui nous préserve de la Guerre ? C'est Hitler ! »
A la lecture de ce monceau d'ordures, on comprend mieux que voulant pouvoir vivre de son art, il n'est pas autorisé sa republication. Heureusement pour nous Internet permet de les télécharger.
Un livre indispensable à lire pour vraiment pouvoir comprendre l'oeuvre de Céline. J'enrage de le voir sur les même étagère que Vercors et tant d'autre qui ont risqué leurs vie pour nous libérer du nazisme.
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Après Bagatelles pour un massacre, Céline récidive avec L'école des cadavres. Si le précédent pamphlet s'intéressait aussi à d'autres thèmes comme l'alcoolisme ou la publicité, ici, on ne parle que des Juifs. Plus de demi-mesures (si tant est qu'il y en ait eus dans Bagatelles), Céline veut bien se faire comprendre, et laisse libre court à sa haine, qui se déverse pendant 300 pages sans nous laisser une seule période de répit.

Résumons rapidement sa thèse : les Juifs dominent le monde en coulisse, avec l'aide des Francs-maçons (qualifiés de « juifs synthétiques »). Maintenant que les Allemands sont proches de se libérer de leur joug grâce à Hitler, ils tentent d'envoyer les Français au casse-pipe à leur place pour récupérer le pouvoir tout en restant bien cachés. Seule solution : s'allier aux Allemands, faire nôtre les thèses racistes, pour purifier la race aryenne une bonne fois pour toute.

« Peut-être vais-je vous fasciner vous aussi ? Peut-être que je vais vous faire rendre ? Peut-être allez-vous me trouver odieux ? assommant au possible ? » (p. 196)
Oui, et il ne faut pas attendre la page 200 pour que ces sentiments se manifestent. Après dix pages, on arrive déjà à saturation, complètement écoeuré par les propos tenus. Livre détestable, rien à sauver.
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L'école des cadavres, resucée de Bagatelles pour un massacre. Céline répète, rouspète, ressasse, radote, rabâche, remâche interminablement sa haine. « Il faut de la haine aux hommes pour vivre ». C'est compris.

Mêmes thèses que dans Bagatelles, un peu plus franches cette fois, il ne demande pardon à personne : « Distinction entre les bons Juifs et les mauvais Juifs ? Ça rime à rien », « Grand ou petit Juif ! aucune distinction !». Il se risque : « Mort pour les Juifs ! Aux chiots les Loges ! Debout les Aryens ! ». Toujours le juif grand instigateur et profiteur de la décadence aryenne (« de nous, si le mot “merde” subsiste ça sera bien joli »). La guerre en approche, la culture juive, le métissage, l'alcoolisme charrient la mort du peuple autochtone (« péril racial »). Les juifs colonisateurs. Pire que tout, l'auto-légitimation des juifs est une dernière arrogance intolérable à Céline. La solution, l'expulsion des juifs du territoire et la fermeture des Loges et Sociétés Secrètes.

Pas beaucoup de nouveautés, mais Céline précise. La démocratie est l'antichambre du complot juif ; c'est Londres ou plutôt son Intelligence Service qui pilote. Washington ? Un relais. L'Italie, la Grèce pas mieux. Tout justes bons à la « bougnoulisation du blanc par persuasion latine ». La seule amie c'est l'Allemagne, nos frères de races pour former « un bloc, d'un seul tenant franco-allemand comme avant 843 ». Charlemagne a tout fait foiré. On trouve aussi dans l'ouvrage de nombreuses références à la bibliographie antisémite ainsi qu'une chronologie sélective de l'antisémitisme à travers les âges.

La seule partie qui présente un intérêt à mon sens, est la virulente critique du matérialisme en genèse dans Mea Culpa. La dialectique matérialiste, le rationalisme, le « fanatisme objectiviste », l'utilitarisme, Céline les résume par le slogan « marteau-faucille et boyau ». Selon lui, la conscience de classe n'existe pas, c'est une illusion. Il propose : « le communisme est avant tout vocation poétique. Sans poésie, sans ferveur altruiste brûlante, purifiante, le communisme n'est qu'une farce, le dépotoir de toutes les rages ». le communisme scientifique, matérialiste, raisonnant est « un remède pire que le mal ». de la poésie, sinon de rien.

On s'étonnera de voir presque s'évanouir les points de suspension si chers à l'auteur. Des points d'exclamations ! Finie la petite musique, à l'arrêt le train émotif ; Céline est sûr, il pamphlétise, il affirme, non, non, il est pas fou, tout raidi, bien sûr de lui, il veut qu'on comprenne bien, il a peur de pas être bien clair. « On se fait des petites illusions, on pense que l'on vous a compris. Et puis pas du tout. ». Si, si.
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je lis, j'écarquille les yeux, je relis... "Juifs négroïdes contre Blancs. Rien de plus, rien de moins" je souris tant c'est incroyable. On croirait à une blague de mauvais gout, je n'y crois pas... comment peut-on penser de la sorte, c'est aberrant!
J'aime la philosophie et les leçons de vie du Céline du Voyage, mais je m'en veux presque quand je lis ses pamphlets. Quel dommage d'être un personnage aussi odieux et abject avec une si jolie plume.
J'ai du mal à y croire... Plus je lis, et plus je blêmis d'horreur.
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Attends! attends! que je te dise toi! fruit de la mer!t'est en l'air! vieux gaz! plumet! baudruche! bulle! je suis pourrie que tu dis moi! culotté fretin ! tâte moi, tiens les miches ! dis donc ! les rondins ! mords ! c'est 'y du soupir qui me réchauffe ? hein ?... c'est'y de la blague à tabac ? oui ? suce ! chétif

quelques douceurs Céliniennes du tout début du livre : le ton est donné
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Tout le monde délire sur le politiquement correct et le wokisme , si vous voulez du lourd lisez ça , et digérez bien svp : je ne supporte plus ces débats à la
noix dans un sens comme dans l'autre.
Les gens dénoncent le politiquement correct quand
c'est les autres mais ne supporteraient jamais
d'être harcelé : Céline en son nom propre tends un
miroir déformant des êtres humains : il libère
l'inconscient qui nous travaille c'était un comédien
et un artiste pûr : il n'était pas raciste et antisémite
il voulait le révéler et le dénoncer en l'exorcisant :
en se faisant passer pour fou alors qu'il était prêt à
sacrifier sa vie , son honneur , sa réputation pour
être un médium ! Il n'avait de précautions que pour
Lucette c'est pour ça qu'il a fui ! Céline est tellement
incompris ça me chagrine vraiment : les gens ne le
lisent qu'à peine : il ouvre un gouffre , vous fait
réfléchir à ce que vous êtes , je lis énormément
mais je ne trouve pas d'équivalent en terme de
puissance révolutionnaire. Inouï. Tout simplement.
Céline c'est le van Gogh de l'écriture.
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