Capitale du Sud, tome 3 : Les contes suspendus

Très heureux de retrouver Nox dans ce 3ème tome pour la conclusion de ses aventures. Encore plus heureux d'y croiser nos protagonistes de la Capitale du Nord, Amalia et Yonas, en attendant leur propre chapitre final.
J'ai dévoré ce dernier tome qui suit le développement du domaine de la tour de garde, avec quelques rebondissements, des nouveaux personnages hauts en couleur et quelques plats mijotés par Nohamux.

J'aurais aimé en savoir encore plus sur le Monde du dessous mais cette conclusion lève tout de même le voile de manière satisfaisante !
J'espère lire d'autre cycles de ce genre !

Quelle saga ! Certainement l'une des meilleures trilogies que je n'ai jamais lues ! Ce troisième tome finit en beauté deux premiers livres déjà exceptionnels. L'histoire sait nous surprendre, nous emmener là où on ne s'attend pas et pourtant là où on aime se faire porter. Un personnage principal excellemment bien écrit, une intrigue juste géniale, une plume fantastique dans les deux sens du terme et surtout... l'espoir que l'auteur ne s'en arrêtera pas là !

J'ai essayé de passer le plus de temps possible sur la lecture de ce livre. Chaque page était un plaisir a lire, je me sentais chez moi avec des personnages que je connaissais si bien. J'ai été conquise par cette trilogie et je suis triste de dire au revoir. J'ai néanmoins hâte de lire le tome 3 de la Capitale de Nord.

J'ai passé des très bons moments avec Nohamux et Symetre ainsi que ses amis.

Ainsi s'achève, avec ce troisième tome, la saga Capitale du sud! J'ai apprécié chaque mot, chaque action, chaque rebondissements de ce dernier tome! Je n'arrive pas à me l'expliquer mais la plume de l'auteur me transporte à chaque fois et je savoure la poésie et la tournure de chaque phrase! J'adore ! 🌁Heureusement qu'il reste un tome à Capitale du Nord. La saga de la tour de garde sera terminée en octobre 2023 et je n'arrive pas à me faire à l'idée qu'il va falloir dire au revoir aux personnages, à l'univers... Je commence dès à présent mon deuil!Véritable ovni dans la fantasy actuelle, cette saga se démarque de tout ce que j'ai pu lire jusqu'à maintenant!🌁

J'attendais cette sortie avec crainte et envie, Capitale du Sud, Nox, c'est une histoire qui s'est nichée au creux de mon coeur et j'avais peur en finissant cette aventure, de laisser filer le lien que j'ai tissé avec ce récit, de m'en détacher.

J'ai voulu me poser et prendre mon temps, savourer cette fin d'aventure comme j'aurais savouré un petit plat cuisiné avec soin par Nox, mais peine perdue, je me suis jetée dessus et l'ai dévoré sans demander mon reste.

J'étais tellement curieuse de découvrir les connexions entre "Capitale du Sud" et "Capitale du Nord", la manière dont le ballet allait être mené pour que les deux trilogies s'entrecroisent, tout en n'en disant pas trop pour avoir le plaisir de la découverte du dernier tome concernant Amalia et Yonas.

J'ai été surprise par la tournure prise par le récit et j'avoue que j'ai été un peu désappointée qu'Amalia et Nox ne partagent pas plus de moments de connivence, mais le résultat et la manière dont tout se décante n'en était pas moins des plus satisfaisant.

L'action, les intrigues, les moments de douceur, les petites comme les grandes victoires, m'ont fait vivre des moments de tension et de bonheur, analogues au plaisir de voir un ami proche pas toujours au top, réussir à s'en sortir et construire de belles choses.

J'ai vraiment vécu cette lecture comme un adieu et j'ai été très touchée par ce final.
J'ai laissé Nox clore son histoire, qui elle aussi, finalement, n'est qu'un conte suspendu.
Je suis triste et je suis contente.

En bref: Cette trilogie est un petit joyaux, le genre à éclairer avec douceur votre visage quand vous ouvrez son écrin, une pépite dont l'éclat laissera son empreinte sur votre rétine et imprégner votre âme.
Le point final de la saga sera le dernier tome de "Capitale du Nord" et je suis inquiète et impatiente de découvrir ce que Claire Duvivier nous réserve!

Troisième et dernier volet de la trilogie « la Capitale du Sud », ce tome vient mettre un point final magistral à l'histoire de Nohamux. Après un début un peu plus lent a se mettre en place que les précédents et un peu moins accrocheur, ce dernier tome devient finalement encore plus captivant que ses prédécesseurs, et nous dévoile enfin le fin mot de l'histoire. Il s'agit une fois encore d'un récit construit avec brio, qui réserve des surprises jusqu'à la fin. A lire d'urgence !

Impressions un peu mitigées en fin de lecture. D'un côté, ce tome clôt de belle façon une trilogie intéressante, qui échappe presque toujours au convenu et à l'attendu et dont on ne doute pas un instant que Claire Duvivier saura proposer un parfait contrepoint (au sens musical du terme) dans le 3e tome de Capitale du Nord.
De l'autre, on peut trouver le style d'écriture parfois un peu plat, le personnage principal relativement artificiel (un mélange de bons sentiments et d'éducation politico-criminelle cynique baignant dans un pouvoir magique bonus) et la fin du tome plutôt précipitée, en rupture avec le rythme du début. On aurait aimé également que l'auteur nous conte les difficultés à organiser la nouvelle cité de la Tour de Garde ou nous parle plus des Syctes et de certains personnages tel que Grive, mais peut-être cela a-t-il été laissé à dessein à Claire ?
Ceci étant, choisir un commis d'épicerie comme héros d'un cycle de fantasy et lui faire affronter une prescription acquisitive comme danger principal initial, celle-là, on ne nous l'avait jamais faîte. Chapeau bas également pour le tour de force littéraire de faire aboutir dans une même histoire finale deux trilogies écrites par deux auteurs différents. Et félicitations enfin à la dessinatrice Elena Vieillard pour les couvertures des livres des deux cycles, vraiment très réussies (et justement récompensées).

Finalement cette trilogie ou ce demi-cycle restera une énigme pour moi. J'ai aimé ma lecture, je me suis procuré les tomes 2 et 3 à leur sortie... mais je n'ai jamais été tout à fait emporté.
Je pense que ça ne vient pas du cadre ou des personnages mais bien du style de l'auteur, réflexion faite. Si je prends une phrase comme "Les histoires que je tisse ne sont importantes que lorsque les gens tels que vous se les approprient. Elles n'ont de sens que lorsque le libre arbitre fait siens les idéaux qu'elles véhiculent." Qui s'exprimerait ainsi, pour la seconde moitié de la phrase au moins ?
Même si le sens est "beau", je n'arrêtais pas d'accrocher ainsi sur des bouts de phrase au fil de ma lecture.