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China Li tome 3 sur 4

Jean-François Charles (Autre)Maryse Charles (Autre)
EAN : 9782203218642
72 pages
Casterman (20/10/2021)
4.13/5   19 notes
Résumé :
Alors que nous replongeons dans le passé de l'honorable Monsieur Zhang, nous comprenons l'origine de la personnalité trouble du parrain de la triade qui a élevé la jeune Li. Depuis son enfance dans les bras de sa maman Lune, le jeune homme s'est construit en réaction à un père violent. Loin du manichéisme, l'on découvre les dessous de ce personnage. Dans le présent, la jeune Li est revenue de France pour prendre part à la révolution maoïste. Elle en connaîtra les de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Mais pour cela, il faudra faire beaucoup de sacrifices.
-
Ce tome fait suite à China Li, tome 2 : L'honorable monsieur Zhang (2020) qu'il faut avoir lu avant. Il faut avoir commencé par le premier tome China Li, tome 1 : Shanghai (2018) puisqu'il s'agit d'une histoire complète en quatre tomes. La première édition de celui-ci date de 2021. Ce récit a été par écrit par Maryse et Jean-François Charles, dessinés et peint par ce dernier. Il comprend 64 planches en couleurs.

Il y a une vingtaine d'années de cela, dans un grand jardin, Reflets de Lune lit une poésie à son fils Zhang encore enfant : À l'ouest du pavillon, mon ami m'a quittée dans un brouillard de fleurs. Il descend à la ville. le dessin de la voile à l'azur s'est mêlé. Seul se voit le long fleuve au bout du ciel qui file. L'enfant remarque le bleu sur le sein de sa mère, et il comprend que son père Hio Chu l'a encore frappée. Il déclare à sa mère qu'il déteste son père : il sent mauvais, sa bouche sent mauvais, il sent mauvais partout. Sa mère lui répond que ce sont des histoires de grandes personnes, tout ça. le mari arrive sur ces entrefaites et ramasse le poème à terre, regrettant que son épouse fasse de son fils un demi-doux, plutôt qu'un vrai mâle bagarreur, fort en gueule, un guerrier. Il dit à son fils de dégager en lui flanquant un coup de pied dans le derrière, et Zhang le traite de gros plein de nouilles. Maman Lune se jette au pied de son mari en lui demandant de ne pas battre leur fils et qu'il peut faire ce qu'il veut d'elle. Il lui répond que telle était bien son intention. Il l'embrasse, ouvre sa robe, la plaque contre une table en pierre et la prend de force. Dans les fourrés, Zhang voit toute la scène.

Plus tard dans la soirée, Hio Chu est allongé en train de fumer une pipe en caressant son chat, alors que maman Lune lui apporte son thé, et que Zhang dessine au pinceau, une caricature peu flatteuse de son père, puis fait des comptes sur son petit boulier. Son père annonce son intention de faire travailler son fils pour aider Wang Qiang à récolter l'engrais humain. Il estime que sa femme n'aurait pas dû lui apprendre à lire à et à écrire, que ses parents ne l'ont pas bien éduquée, pas bien préparée à son rôle d'épouse. Reflets de Lune se lève pour aller se reposer : il lui intime de rester car il a encore envie d'elle, de ses caresses, de sa peau, de son joli corps délicat et parfumé. Il veut que sa tortue de jade pénètre la porte de jade de son épouse. Mais il se lève car avant il doit aller se soulager. Dans l'escalier il perd l'équilibre sur des billes du boulier mises par Zhang et il chute lourdement sur le dos. Hio Chu se retrouve avec une jambe dans le plâtre, alité pour six à huit semaines, le temps que les os se remettent peut-être en place. Reflets de Lune continue de lire de la poésie à son enfant et à lui montrer les illustrations et la calligraphie de Chu Ta. le père se rend compte qu'il manque des boules au boulier. Au temps présent dans le restaurant La rivière Li, le représentant de l'étude Dupont-Bedon de Mourmelon continue de raconter la vie de Li au patron et à sa famille. Fin 1934, elle se trouve dans la campagne chinoise, ayant revêtu l'uniforme des révolutionnaires du parti communiste, espérant pouvoir parler à Mao Zedong.

S'il n'a pas fait attention, le lecteur est un surpris de la composition de ce tome : 45 pages consacrées au passé de monsieur Zhang, 19 pages consacrées à Li. Il va vérifier sur la quatrième de couverture et découvre que la série comptera finalement quatre tomes, et pas trois comme initialement annoncé. Il comprend mieux que les auteurs puissent avoir dévolu autant de pages à monsieur Zhang, le père adoptif de Li. Il découvre ainsi le passé de ce personnage, son histoire depuis son enfance, jusqu'au temps présent du récit de Li, les années 1930. Il voit un jeune garçon plus attiré par les études que par les activités physiques, très conscient du mauvais caractère de son père, une brute et un tyran domestique. Les dessins permettent au lecteur de se projeter dans la très grande propriété de Hio Chu, dans le superbe jardin, aménagé, quasiment un parc, à l'intérieur avec la pièce commune, devant l'entrée de la maison elle-même. L'artiste ne ménage pas sa peine pour représenter ces lieux, leur aménagement, leur meubles et accessoires, avec une complémentarité entre personnages et surfaces détourés d'un trait souple, et éléments représentés en couleur directe. le lecteur apprécie autant la verdure en couleur directe dans le parc, que la vue du dessus des bâtiments et des toits détourés au pinceau, ou encore le mélange de technique pour rendre compte des pierres de l'escalier extérieur menant à l'entrée.

Les époux Charles racontent le parcours de vie de cet enfant, puis adolescent, brimé par son père, sa mère étant violentée. Il ressent l'amour maternel dont il bénéficie, la tendresse. Tout entier à sa découverte, aux vues magnifiques, comme cette illustration en pleine page du port de Tianjin, il n'anticipe pas forcément ce qu'il sait pourtant qu'il va se produire. Arrivé à la planche 18, il finit par comprendre, et il se prépare au pire ayant encore à l'esprit l'atroce description lors de la discussion du tome 1, sur le processus qui fait d'un homme un eunuque en Chine. Il sent son coeur se serrer car il sait que l'acte est inéluctable, et il se souvient de la souffrance décrite, pendant et après, voyant un enfant confiant mené à cette amputation, sans aucune idée de ce qu'il va lui arriver. Comme dans le tome 1, les auteurs ne montrent pas l'acte de manière graphique, mais la séquence est quand même insoutenable. Alors même qu'il sait très bien ce que Zhang va devenir, le lecteur ne s'est pas interrogé sur le parcours qu'il l'a mené à devenir le chef de la Bande Verte, triade redoutable de Shanghai. Une fois devenu eunuque, l'enfant est emmené pour être présenté à la Cité impériale. C'est un nouveau voyage remarquable en termes d'images, de la cité, et des lieux visités, comme le bureau du doyen des eunuques avec les antiquités, ou la pièce immense avec une statue de Bouddha gigantesque, dans laquelle les attributs des eunuques étaient conservés dans des pots suspendus ou déposés sur des étagères. Ce lieu est montré dans un dessin en pleine page.

Le lecteur se fait vite à l'idée que la série comptera quatre tomes et non trois, et profite de la liberté que cela donne aux auteurs, encore augmentée avec la pagination portée à 64 planches pour ce tome. Il prend le temps de savourer 7 illustrations en pleine page, dans les planches 10, 16, 21, 35, 40, 47 et 63, un campement des révolutionnaires dans la forêt, la vue du port de Tianjin, la salle où sont entreposés les attributs, un portrait en plan taille de Mao Zedong, le commencement de la Longue Marche, une grande artère de Shanghai vue en plongée, un superbe paysage avec un horizon ouvert et un ciel lumineux. Il savoure également deux planches muettes sans aucun mot : planches 4 et 50, l'une exprimant la souffrance de Reflets Lune victime de l'assaut de son mari, l'autre l'intensité de la frustration de Zhang, avec un terrifiant accès de rage froide. La narration visuelle s'avère très riche, que ce soit la reconstitution historique, ou les scènes d'échanges oraux, ou les scènes d'action. L'artiste investit le temps nécessaire pour représenter les décors dans la quasi-intégralité des cases, ce qui assure au lecteur, une immersion de tous les instants. Il prend soin d'intégrer les éléments historiques évidents comme les tenues vestimentaires, les objets du quotidien, mais aussi les éléments culturels comme des vases décorés, ou des calligraphies et un même un facsimilé de la cabane de l'ermite, de Zhu Da (1626-1705, Bada Shanren), artiste peintre et calligraphe. Il réalise des plans de prise de vue qui montre l'environnement, mais aussi les gestes des personnages, leurs occupations pendant les dialogues. Il sait capturer la vivacité des gestes d'un porte-flingue qui s'inspire de ceux de l'acteur Bronco Billy Anderson (1880-1971) dans ses films. Il trouve le bon découpage et le bon enchaînement de cases pour rendre apparente la détresse et la terreur montante d'un eunuque soumis au supplice des blattes.

Le lecteur plonge donc dans un polar historique assez glauque pour les années d'ascension de monsieur Zhang dans le milieu du crime organisé, avec une narration visuelle riche et consistante, une reconstitution historique crédible. En parallèle, il suit Li alors qu'elle a intégré l'armée des révolutionnaires du parti communiste, et qu'elle va rencontrer Mao Zedong. Dans ce fil narratif également, le lecteur assiste à des scènes terribles, que ce soit un rebelle qui ne peut plus continuer à marcher du fait de la gangrène, ou hors champ l'énoncé des morts au combat ou pendant ce périple pour échapper à l'armée du Kuomintang de Tchang Kaï-chek, entre le 15 octobre 1934 et le 19 octobre 1935, et qui a coûté la vie une centaine de milliers de rebelles communistes. Li comme Zhang refusent d'être des victimes passives dans la vie, mais tous les deux subissent les soubresauts de l'Histoire, s'en accommodant comme ils peuvent. du fait de la pagination dévolue à monsieur Zhang, le lecteur éprouve plus l'impression de lire un thriller sur la progression inexorable d'un individu devenant chef d'une puissante triade, que de suivre une femme assistant ou participant aux grands bouleversements de la Chine.

Ce troisième tome commence par déconcerter le lecteur par son contenu, avant qu'il ne comprenne que ce n'est pas le dernier. Une fois cette information intégrée, il ressent un plaisir immédiat à chaque page, grâce aux magnifiques cases de Jean-François Charles, la qualité de sa reconstitution historique, ses talents de metteur en scène, la place dont il dispose pour pouvoir raconter cette histoire. Alors que la temporalité des deux fils narratifs diffère, le lecteur se sent tout autant captivé par le magnétisme de monsieur Zhang qui utilise son intelligence et sa culture avec efficacité, que par Li qui se retrouve à participer à la Longue Marche pendant plusieurs mois.
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Alors que Li a rejoint l'armée de la révolution en espérant y rencontrer Mao, elle se remémore ce que son père adoptif lui a avoué : son passé.

Ce 3e tome concerne plus le passé de Zhang : sa mère aimante lui apprenant l'art et son père violent qui le force à devenir ennuque et le vend à la cité impériale. Son amour pour l'art chinois se renforce en même temps que sa haine et sa violence jusqu'à le faire devenir le mafieux sans scrupules que Li rencontrera. Cette partie est assez intéressante et s'entrecoupe de passages où l'on voit Li au sein de l'armée communiste en déroute. Elle suit le mouvement sans vraiment poser de question. Au final je trouve que Zhang est un personnage plus sombre mais plus intéressant que Li souvent très fade.
Les dessins sont très beaux et nous offrent quelques pleines pages de tres bel effet.
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Nous allons suivre dans cet album deux tranches de vie en parallèle : celle de Li, revenue en Chine pour retrouver son père et interviewer pour son journal Mao qui a entreprit la Grande Marche; et celle de son père adoptif Zhang Xi Shun dont nous allons découvrir l'enfance et ce qui en a fait un puissant chef de mafia ayant la main mise sur le trafic de l'opium à Shanghai.

Plus que dans les tomes précédents, l'histoire du XXème siècle chinois est très présente. Nous voyons poindre la montée du maoïsme sur fond de violence et de milliers de morts.

C'est également sur la violence que Zhang grandira, s'endurcira, et bâtira sa fortune et sa puissance.
Ce tome 3 se pose plus en album de transition et appelle assurément une suite.
Le dessin est toujours d'une grande beauté, plein de finesse et de précision.

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La jeune Chine Li rencontre le grand timonier et la bande dessinée nous ouvre un autre regard sur l'histoire et la propagande de Mao. La grande marche y est décrite avec beaucoup de réalisme. en parallèle, nous suivons l'histoire de Zhang : vie détruite dès son plus jeune âge. Pour ce personnage la rédemption passera par le crime. Son ascension au sein des triades est inexorable. Cette bande dessinée est moins romantique que les autres séries des auteurs, elle est aussi plus tragique et inscrite dans la grande histoire.
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Suite des aventures de la jeune Li qui cherche à rencontrer Mao et qui va participer plus ou moins volontairement à la Longue Marche chinoise qui sera la cause de tant de morts. On y découvre les différences de stratégies entre un jeune Mao et ses collègues communistes, déjà montent des divergences essentielles entre les différents dirigeants de la révolution chinoise.
En parallèle on découvre la jeunesse de Zhang, fils aimé de Lune, épouse martyrisée d'un butor qui n'hésite pas à la battre et à la forcer. Son fils se révoltera dés son plus jeune âge, ce qui conduira le père à le vendre à la Cité Interdite comme eunuque. Rebelle à toute autorité, mais sensible à un vieux maitre qui lui apprendra à détecter le beau, il finira dans la rue d'où i lrenaitra pour conquérir Shanghai.
Saga historique qui tente l'objectivité d'une période trouble, les parcours en paralléle de l'eunuque et de sa fille adoptive sont bien décrits et intéressants même si l'action se trouve plus du coté de jeune homme tandis que Li essuie déconvenue sur déconvenue. le dessin pastelisé reste toujours sussi beau.
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critiques presse (1)
Auracan
21 octobre 2021
L'histoire rencontre l'Histoire avec un grand H, davantage sans doute quant à la destinée de China Li, qui se retrouve liée à des faits qui -savamment réorchestrés par la propagande- participeront à la légende de Mao. Quant à l'ascension de Zhang, si ses racines sont ancrées dans l'Histoire et les traditions, le lecteur la découvre presque à la manière d'un polar. Un pan du récit rythmé, efficace qui, d'une certaine manière, vient dynamiser l'album alors que Li découvre progressivement le vrai visage du leader révolutionnaire.
Lire la critique sur le site : Auracan
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Shanghai était devenue plus que jamais le Paris de l'Orient. Elle n'était plus seulement une enclave étrangère, elle faisait preuve de créativité. Des bâtiments à la fois hôtel, bureaux, et résidences, ainsi que des Gongyu, ces luxueux immeubles à appartements, fleurissaient, alliant la sobriété de l'Art Déco, à l'exubérance du Jazzy Style. Les cinémas, les dancings, les restaurants, les maisons de jeu et de thé, les commerces d'antiquariat avaient poussé un peu partout. Un nouvel art de vivre, fait de liberté et de plaisir faisait vibrer la ville. Zhang et Du Yueshen s'étaient installés à proximité du Bond. Ils y évoluaient comme des poissons dans l'eau… dans l'eau trouble.
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Mao Zedong – Au Comité, à Pékin, il se moque de moi parce que je ne parle pas le Mandarin, ni l'anglais et encore moins le russe. Mais Staline ne parle pas le chinois. Il y a toujours des gens pour vous chercher des poux. Regarde cette montagne comme elle est belle ! Notre terre est vraiment magnifique, mais tellement arriérée. Mon rêve, jeune Li, serait que ce pays ne fasse plus qu'un, que toutes les provinces s'unissent pour devenir la grande Chine éternelle. C'est cela que nous devons faire comprendre aux occidentaux, au monde entier. Il faut mettre en œuvre des réformes si nous voulons entrer dans le siècle et être présents aux côtés des autres nations. Nous sommes un grand peuple, les héritiers du dragon. Le communisme apportera la prospérité à notre peuple. Les femmes seront libres d'étudier, de se marier avec qui elles voudront, de divorcer. Mais pour cela, il faudra faire beaucoup de sacrifices. Tchang Kaï-chek nous pourchasse, tente de nous encercler, et les Japonais veulent dévorer la Chine. Tu comprends Li, beaucoup d'hommes, de femmes et d'enfants vont mourir, mais la révolution est à ce prix ! L'avenir nous appartient.
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Dans la Cité, l'endroit qui me fascinait le plus était la pièce où nos attributs étaient conservés dans des pots suspendus ou déposés dans des étagères. On y faisait des offrandes en priant les dieux de veiller sur ce précieux trésor qui nous permettrait de rejoindre entiers nos ancêtres. Il y avait aussi des statues à tête d'animal pour conjurer les démons et le mauvais sort. J'aillais m'y recueillir chaque fois que je pouvais.
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À l'ouest du pavillon, mon ami m'a quittée dans un brouillard de fleurs. Il descend à la ville. Le dessin de la voile à l'azur s'est mêlé. Seul se voit le long fleuve au bout du ciel qui file.
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Écoutez ça ! Un jeune homme doit transformer en énergie socialiste, son énergie sexuelle.
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Vidéo de Maryse Charles
Dans le 152e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente La sage-femme du roi, album que l'on doit au scénario d'Adeline Laffitte, au dessin d'Hervé Duphot et c'est édité chez Delcourt dans la collection Mirages. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec : - La sortie de l’album Deviens quelqu’un ! Que l’on doit à Daniel Blancou et aux éditions Sarbacane - La sortie de l’album Dehors ! que l’on doit au scénario de Ludovic Piétu, au dessin de Jika et c’est sorti aux éditions Rouquemoute - La sortie du cinquième tome de la série Stern que l’on doit au scénario de Frédéric Maffre, au dessin de son frère Julien Maffre, un cinquième tome baptisé Une simple formalité qu’édite la maison Dargaud - La sortie de l’album L’animateur que l’on doit à Juanungo et aux éditions Delcourt dans la collection Shampooing - La sortie de L’incroyable histoire de la bière que l’on doit au scénario de Benoist Simmat, au dessin de Lucas Landais et c’est sortie aux Arènes BD - La sortie de l’intégrale de War ans dreams que l’on doit au scénario conjoint de Maryse et Jean-François Charles dont ce dernier en signe aussi le dessin, une intégrale sortie chez Casterman.
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