Le jazz avait été la musique de sa vie, de sa liberté, d'une quête de volupté irrépressible. Elle ne peut pas oublier les mots de Toni Morrison : cette musique : la rendait consciente de la chair et d'une chose si libre qu'elle sentait l'odeur de son sang, consciente de sa vie en dessous de la ceinture et de ses lèvres rouge sang.