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Critique de Marinouche44
J'écris cette critique dix minutes après avoir refermer le livre, alors autant en profiter avant que j'ai pu démêler le noeud d'émotions qu'a suscité ce livre chez moi !
Si j'vais adoré l'ambiance très sombre de Leviatemps, j'avais cependant été assez déçue par la fin et par cette scène qui m'avait semblé incongrue, comme si des pages d'un autre livre avaient été collées à la fin de celui-là. Mais on m'a dit énormément de bien de la suite, me conseillant même de le lire pour parer au sentiment de déception que j'avais ressenti en lisant le premier tome. Ce que j'ai donc fait.
Grand bien m'en fasse ! J'ai dévoré la première partie du livre se passant à Elseneur, dans la campagne, horrifiée et fascinée par les meurtres décrits, en voulant toujours plus tout en redoutant la prochaine page. L'évolution de la relation entre Guy et Faustine a touché mon côté "fille" forcément et là aussi j'en voulais plus.
Mais j'aurai du me méfier. Si j'ai eu un peu plus de mal à accrocher la deuxième partie se déroulant sur les lieux du premier tome, j'ai quand réussi à m'y remettre sans regretter la première partie du livre qui, si elle avait été plus longue, aurait perdu tout son intérêt.
Du grand Chattam ! Jusqu'à la note finale, j'oscillais entre espoir et crainte, me disant qu'il était peut-être capable d'écrire une fin plus ou moins heureuse, mais une petite voix en moi n'arrêtait pas de me dire "hey... C'est Maxime Chattam... Celui qui a écrit l'Ame du Mal... Rêve pas trop !"
Oui bah oui en effet... du vrai Chattam. Si on en doutait encore, les derniers chapitres confortent dans l'idée que c'est un maître en la matière, un manipulateur des mots et des esprits des lecteurs... pour notre plus grand plaisir !
Une lecture à ranger dans la catégorie des "j'ai surkiffé grave !"
Si j'vais adoré l'ambiance très sombre de Leviatemps, j'avais cependant été assez déçue par la fin et par cette scène qui m'avait semblé incongrue, comme si des pages d'un autre livre avaient été collées à la fin de celui-là. Mais on m'a dit énormément de bien de la suite, me conseillant même de le lire pour parer au sentiment de déception que j'avais ressenti en lisant le premier tome. Ce que j'ai donc fait.
Grand bien m'en fasse ! J'ai dévoré la première partie du livre se passant à Elseneur, dans la campagne, horrifiée et fascinée par les meurtres décrits, en voulant toujours plus tout en redoutant la prochaine page. L'évolution de la relation entre Guy et Faustine a touché mon côté "fille" forcément et là aussi j'en voulais plus.
Mais j'aurai du me méfier. Si j'ai eu un peu plus de mal à accrocher la deuxième partie se déroulant sur les lieux du premier tome, j'ai quand réussi à m'y remettre sans regretter la première partie du livre qui, si elle avait été plus longue, aurait perdu tout son intérêt.
Du grand Chattam ! Jusqu'à la note finale, j'oscillais entre espoir et crainte, me disant qu'il était peut-être capable d'écrire une fin plus ou moins heureuse, mais une petite voix en moi n'arrêtait pas de me dire "hey... C'est Maxime Chattam... Celui qui a écrit l'Ame du Mal... Rêve pas trop !"
Oui bah oui en effet... du vrai Chattam. Si on en doutait encore, les derniers chapitres confortent dans l'idée que c'est un maître en la matière, un manipulateur des mots et des esprits des lecteurs... pour notre plus grand plaisir !
Une lecture à ranger dans la catégorie des "j'ai surkiffé grave !"
