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Citations sur Le message (127)

"Marie se souvient :
- Je ne serai pas ta routine.
Et Steph de rétorquer :
- Je ne deviendrai jamais ton habitude."
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Voila le résumé par chapitre du livre :

1 Marie se rend au rendez-vous avec Steph. Elle marche tout en ayant une balle dans le dos, Steph est beau et parfait aux yeux de Marie, bien qu’ils aient des tempéraments opposés
.
2/3 La blessure de Marie saigne beaucoup, elle a du mal à avancer jusqu’au pont ou elle en est sur, l’attend Steph, c’est l’été.

4 La rencontre de Steph et Marie : Steph avait 10 ans lors du mariage de son frère ainé dans un pays Méditerranéen. Ils se revirent 10 ans après.

5 Marie est a bout de force mais veut à tout pris arriver à l’heure au rendez-vous avec Steph.

6 Images d’horreur de la guerre

7 Souvenir heureux d’un moment amoureux passé avec Steph au bord de la mer.

8 Marie se sent mourir, elle avait voulu mourir de vieillesse.

9 Elle n’arrive plus à avancer, ses genoux flageolent. Elle sent une douleur la traverser. Elle trébuche.

10 On apprend que Steph lui a écrit une lettre, elle sait qu’elle ne pourra atteindre le pont (lieu du rendez-vous) et elle cherche un passant pour faire passer son message.

11 Contenu de la lettre de Steph : Dans la lettre, Steph dit que, depuis qu’il connait les horreurs de la guerre, plus rien n’est important sauf l’amour qu’ils ont l’un pour l’autre. Marie essaye d’atteindre cette lettre dans la sacoche qui est fixé autour de sa taille pour écrire son message.

12 Dans sa lettre, Steph lui donne rendez-vous dimanche à midi précise, il attendra une heure puis tout sera rompu définitivement entre eux. Marie prend la lettre, la griffonne « je venais, je t’aime »

13 Elle crie pour attirer l’attention mais la rue est déserte, elle est a terre et agonise.

14 Marie s’accroche à la vie.

15 Un couple avec des valises sort soudain d’une porte pour fuir cette guerre.

16 Marie les voit et les laisse s’approcher. Ce sont les derniers habitants de ce quartier.

17 Il la dépasse puis Marie pousse un grand cri, ils l’entendirent et courent vers elle.
18 Anton court chercher sa trousse de secours pour soigner Marie, pendant ce temps, Marie arrive à donner la lettre à Anya qui comprend l’urgence de la situation et promet à Marie d’arriver à temps au pont pour donner la lettre à Steph, il est 12h45.

19 Anton sait que Marie ne pourra pas survivre mais il essaie de la garder en vie jusqu’à sa rencontre avec Steph.

20 Marie est apaisé depuis qu’Anton est à ses coté, elle n’a plus envie de mourir.

21 Anton veille sur Marie en espérant le retour d’Anya et Steph.

22 La révolte, le dégout, d’Anya contre la guerre lui fait refuser les religions et les croyances.

23 Anya continue sa route vers Steph et imagine le bonheur d’Anton si elle le trouve.
24 Marie se souvient de son passé lorsqu’elle était petite, puis de sa passion avec Steph. Mais, lorsque Anton lui parle, elle sourit, cligne des yeux mais n’arrive plus a parler.

25 Anya entrevoit Steph assis près du pont, comme il avait écrit dans sa lettre, au milieu d’une foule de personnes ne désirant qu’une chose : FUIR. Elle arrive tant bien que mal à s’extirper de cette foule.

26 Anton chantonne une mélodie à Marie, qui, les yeux mi-clos, écoute chaque syllabe.

27 Anya, au milieu de la foule, s’aperçoit que Steph n’est plus sur le muret et à rejoint la foule, donc elle crie en agitant la photo : « Steph, l’homme au chandail bleu » mais ses cris n’atteigne pas Steph. Puis elle le vit s’éloigné et monter dans le bus l’emmenant de l’autre coté du pont.

28 Anton s’inquiète de ne pas voir Anya surgir au bout de la rue. Soudain, un jeune homme avec une mitraillette demande à Anton ce qui ce passe.

29 Marie se retourne vers Anton en trainant les pieds.

30 Le jeune homme se dit protecteur du quartier, il semble bon et dit à Anton qu’il part chercher une ambulance pour Marie.

31 Anya arrive tout essoufflé par pour raconter à Anton sa peur de le perdre et son échec de retrouver Steph, l’homme « au chandail bleu » malgré ses cris dans la foule. Près d’Anton, Anya est a présent rassurée.

32 Les horreur de la guerre alors que la terre continue de tourner.

33 Steph raconte son attente et sa déception de ne pas voir Marie au rendez-vous malgré leur pacte de toujours s’aimer et de finir leur vie ensemble. Il est déçu, car il pense que Marie à trouver un autre compagnon. Il décide de consacré encore plus de temps à ses fouilles.

34 Marie se demande si Steph est venu au rendez-vous, si Anya lui a donné la lettre, elle entend Anya et Anton chuchoté et elle a peur que tout soit fini avec Steph.

35 Giorgio, l’homme à la mitraillette raconte son parcours depuis le début des conflits : il s’est opposé à ses parents en s’engageant dans le camp adverse et, solitaire, tire de loin, sur tout ce qui bouge sans affronter les conséquences de ses actes. Sa mitraillette et lui ne font plus que un.

36 L’admiration d’Anya pour son mari fait qu’elle a du mal a lui raconter son échec de prendre contact avec Steph.

37 Giorgio se sent à présent quelqu’un depuis qu’il a une mitraillette et un uniforme. Avant, son père le rabaissait en raison de ses mauvais résultats scolaires.

38 Anton et Anya se promettent de retrouver Steph un jour pour lui dire.

39 Giorgio s’est réfugié dans un quartier de riches chez un écrivain ou il y a de nombreux livres. Il vide les maisons désertées pour se nourrir et se procuré des bougies car il n’y a pas d’électricité, il lit les livres et recopie les phrases qui le touchent dans un calepin. Il pense à sa mère qui lui manque. Il est au 9ème étage d’un immeuble et fait le guet, avec sa mitraillette, pour tirer sur les personnes suspectes.

40 Il pense à la jeune femme étendue, au vieil homme agenouillé à ses cotés et l’apparition de la vieille femme essoufflée qui fut pris de panique à sa vue. Il assimile cette jeune femme à sa mère qui il n’a pas donné de nouvelles depuis 1 ans. Il va vers l’hôpital et demande sa route à un marchand de légumes qui l’injurie. Mais Giorgio ne répond pas.

41 Anya et Anton font croire à Marie qu’Anya a parlé avec Steph et qu’il va arriver pour la maintenir encore en vie.

42 Dans l’autocar, oppressé par la foule, Steph repense à sa relation avec Marie puis, tout à coup, il se dit que elle est peut-être en danger et que le quartier qu’elle devait traverser pour le rejoindre n’est peut être pas si tranquille que sa. Il décide alors de descendre du bus malgré la foule qui rend les issues inaccessibles.

43 Marie n’arrive plus à manifester ses sentiments, son pouls est faible. Anya et Anton pense qu’elle n’en a plus pour longtemps. Mais ils continuent à mentir à Marie en lui faisant espérer que Steph va bientôt apparaitre au bout de la rue.

44 Giorgio arrive devant l’hôpital mais il est détruit, il pense alors a l’hospitalisation de sa mère il y a 10 ans et a sa dispute avec son père, puis lorsqu’il est parti de chez lui et que son père la maudit. Il veut trouver rapidement une ambulance pour pouvoir retourner dans son logement.

45 Steph saute de l’autobus en marche. Le chauffeur de bus et les passages l’insultent car il a mit en danger tout le monde.

46 Anya et Anton continue à faire espérer Marie de la venue de Steph.

47 Steph avait roulé dans un Jalus Sablonneuse. Il était 14h, il va rejoindre Marie

48 Giorgio cherche toujours une ambulance.

49 Anya et Anton se disent heureux d’être encore vivant car cela devrait être eux a la place de Marie et mourir. Ils pensent à la mort.

50 La foule dense empêche Steph de traverser le pont car elle ne comprend pas pourquoi il est dans le sens inverse d’elle. Elle le laisse passer alors quand il explique qu’il va chercher sa femme. Il est de plus en plus convaincu que Marie l’attend chez elle.

51 Giorgio se rend au pont ou se trouve Steph pour demander de l’aide à la foule. Mais, à la vue de la mitraillette, les gens prennent peur. Alors, Giorgio s’adresse à un gendarme qui essaye de dispersé la foule. Mais celui-ci lui dit de venir l’aider plutôt de vouloir aider Marie qui est déjà probablement morte, Giorgio refuse et repart.

52 Anya et Anton assoient Marie de sorte qu’elle puisse voir le début de la rue et l’arrivée de Steph car, à présent, elle ne vit plus que pour sa.

53 De l’autre coté du pont, Giorgio parle à un homme qui lui dit de rebroussé chemin car ce coté il n’y a ni pompier, ni ambulances. Il lui indique un poste de pompier, de gendarme et d’ambulance.

54 Steph court vers l’immeuble ou habite Marie pour la rejoindre.

55 Marie aperçoit Steph au bout de la rue et lorsque Steph approche, Anton se met au milieu de sa route pour le stopper car Steph ne l’avait pas vu.

56 Giorgio prend une ambulance avec 3 infirmiers et va en direction de Marie.

57 Anton explique à Steph qu’un franc-tireur a tiré dans le dos de Marie qui est étendue par terre. Steph se jeta à genoux près de Marie et la prend contre sa poitrine car Anton lui explique qu’il n’y a plus rien à faire et qu’elle est sur le point de mourir. Steph berce Marie et lui parle doucement, ainsi marie décède en douceur sans douleurs.

58 L’ambulance arrive mais Giorgio se rend compte que Marie est morte, Steph accuse Giorgio d’avoir tiré sur sa femme, prend son révolver dans sa poche et tue Giorgio. Les ambulancier pris de panique, repartent dans leur ambulance

FIN
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"Il adossa Marie contre sa poitrine et lui parla à l'oreille, lentement. Des mots usés, des mots neufs, des mots denses, chargés d'amour. Des mots inépuisables. Des mots simples, des mots vrais :
- Je t'aime. Tu es ce qui m'anime. Je n'ai aimé que toi."
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Sur cette parcelle du vaste monde, sur ce minuscule îlot de bitume, sur cette scène se joue, une fois de plus, une fois de trop, le théâtre barbare de nos haines et de nos combats. Massacres, cités détruites, villages martyrisés, meurtres, génocides, pogroms. Les siècles s'agglutinent en ce lieu dérisoire, exigu, où la mort, une fois de plus, joue avant son heure, son implacable, sa fatale partition
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L'été se déploie avec faste. Le ciel marivaude, rieur. Quelques nuages laiteux flottent, allègres, avant de se dissoudre lentement dans la nappe lisse et bleue.
La nature est au calme, sereine. Les oiseaux ont déserté.
De nombreux insectes invisibles, casqués comme des belligérants de science-fiction, munis de terrifiantes antennes, poursuivent sous terre leurs sombres destins de prédateurs. A leur image, les hommes, armés, belliqueux, se sont remis une fois de plus en état de guerre et de carnage.
Ici, comme en d'autres régions, chacun retrouve des raisons de haïr, de châtier, de massacrer. Avec ses bottes gigantesques aux semelles de plomb, l'Histoire rabâche, broyant sur son passage les hommes et leurs lieux.
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"Comment peut-on se prendre au sérieux quand l'existence est si éphémère et qu'elle ne cesse de courir vers sa fin ?"
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Pour lui parler, il faut utiliser peu de mots : des mots simples, des mots essentiels, qui vont du coeur au coeur. Des mots qui se glissent, petit à petit, avec leurs consonnes, leurs voyelles, dans le corps et la pensée de Marie. Des mots qui deviendront la matière de ce corps, le ferment de cette pensée, des mots à lent parcours qui traverseront le conduit auditif, atteindront la caisse du tympan, percuteront les osselets, ensuite le rocher; des mots qui se frayeront lentement passage dans le labyrinthe de l'oreille. Des mots aimés, des mots aimants, ressentis, aggripés à l'espérance. Des mots vrais même s'ils mentent. Des mots forgés d'amour et de promesse, même s'ils simulent. Des mots réels et fictifs. Des mots pour vivre et pour rêver.
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Je recherche surtout la légèreté, le temps vous leste si vite...
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Connaissant, grâce à son métier, les déroulements de l'Histoire, Steph questionnait l'Histoire. Qu'était-elle d'autre, depuis les origines, que violences, qu'instinct prédateur, que désir de domination ? Déjà la bactérie ne se perpétue qu'en absorbant, qu'en dévorant l'autre; était-ce une nécessité, une fatalité gravées dans nos cellules ? De peuples à peuples, de familles à familles, qu'était-elle d'autre, la vie que batailles, où la vanité, l'orgueil, la course au pouvoir et à ses avantages devenaient les leviers de l'existence ? Mais y aurait-il eu Shakespeare, Eschyle, Euripide, Molière, Dostoïevski et d'autres, si nous n'appartenions qu'à une tribu sage, bienveillante, pacifique ?
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"L'homme était insaisissable, l'existence, une énigme. Parfois un geste, un paysage, une rencontre, une parole, une musique, une lecture ; surtout l'amour, rachetaient ces ombres. Il fallait savoir, s'en souvenir, parier sur ces clartés-là, les attiser sans relâche."
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