The Mortal Instruments - Renaissance, tome 1 : La princesse de la nuit

J'ai lu quelque part qu'expliquer un blague, c'est comme disséquer une grenouille. Tu finis par comprendre comment ça marche mais entre-temps la grenouille est morte.

Tu es trop maigre. Trop de café, pas assez de pancakes.

Quand tu aimes une personne [...] tu ne penses pas qu'elle est parfaite, tu connais ses défauts, leur vérité profonde, l'ombre de ses secrets, et tu n'en as pas peur. A vrai dire, tu ne l'en aime que d'avantage, parce que la perfection ne t'intéresse pas.

Quand personne ne nous dit la vérité, on apprend à voir ce qui se cache sous la surface des choses.

- Malcom, ce n'est pas une histoire d'amour, dit Julian entre ces dents.
- Toutes les histoires sont des histoires d'amour.

Nous avons tous plusieurs facettes, nous sommes plus que nos actions, bonnes ou mauvaises.

Tant que l’amour et les souvenirs subsistent, on n’est pas vraiment mort.

S'il y a bien une chose que j'ai apprise au fil des années, bien que je n'aie pas l'impression d'avoir appris grand-chose, c'est que ni le Petit Peuple ni les mortels ne savent ce qu'est l'amour. Personne ne le sait.

Si je suis devenue celle que je suis aujourd'hui, c'est parce que je fais partie de votre famille. N'oublie jamais ça, Jules. Nous sommes nos choix.

Si je suis devenue celle que je suis aujourd’hui, c’est parce que je fais partie de votre famille. N’oublie jamais ça, Jules. Nous sommes nos choix.