Acheté pendant des vacances, «
La dame en blanc » semblait un livre parfait pour poursuivre lesdites vacances. Je l'ai donc commencé, puis les vacances terminées, mis de côté ; il faut dire aussi que j'avais un peu de mal à rentrer dedans.
Bref, de nouvelles vacances arrivent, entre temps je me suis inscrite sur Babelio, et j'ai vu sa bonne note et les éloges qu'il avait reçu, aussi ai-je décidé de reprendre cette lecture.
Elle fut quelque peu laborieuse. du fait du style d'abord, certes très bien écrit, mais lourd, qui s'écoute parler, qui date vraiment d'un autre temps et a mal vieilli. Puis l'histoire, datée elle aussi, avec des personnages dont les caractères sont tellement décalés (par rapport à notre époque) qu'il est difficile de passer outre. Il n'y aurait eu que ça, je pense que j'y serais parvenue (à passer outre ces personnages « évaporés »). Mais que c'était long ! Que de longueurs inutiles et ne servant pas le récit, qui s'étire péniblement.
Cependant j'ai continué (je sais être persévérante), le changement de rythme, dû au changement de narrateur pour les différentes phases de l'histoire, apportant un regain d'intérêt. Jusqu'au dénouement, inattendu, et qui récompense le lecteur de son acharnement !
Ce n'était peut-être pas un livre à lire en vacances…