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4,03

sur 961 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
« Un pas de plus, dit-il, sur la route obscure. Attendez… Regardez… Les flèches qui blessent les autres m'épargneront. »
Pourquoi la Dame égarée sur la grand-route, la Dame en blanc, sortie tout droit de la nuit dense, si belle et troublante dans sa vulnérabilité, a-t-elle choisi Walter, personnage falot et sans envergure, pour être l'instrument de son dessein caché ?
Il se voit dicter son avenir par cette voix douce et ensorcelante. Et quel avenir ! Un tourbillon effréné où il découvrira la beauté et l'âpreté de la passion amoureuse, de l'exil, de l'amour retrouvé, de la vengeance…

Walter n'est qu'un petit professeur payé trois francs six sous pour apprendre à Laura et Mirian, deux jeunes aristocrates anglaises, l'art du dessin. Deux soeurs inséparables et pourtant si différentes. Marian est aussi brune, laide, alerte et impérieuse que Laura est blonde, belle, languissante et soumise.
La ressemblance étonnante entre Laura et la Dame en Blanc trouble profondément Walter. Un peu comme s'il voyait les deux faces d'une même pièce. Une face resplendissante pour Laura ; l'autre dissimulée pour la Dame en blanc.
Aidé de Marian, il mène une enquête minutieuse pour découvrir l'identité de cette apparition fantomatique durant un soir d'été. Ils finissent par la trouver avec aussi cette certitude qu'un grand malheur plane sur la tête de Laura.
Elle en a bien de la chance Laura d'être protégée par l'ardente Marian et aimé par le tendre et sympathique Walter. Car il en tombera follement amoureux au point de perdre toute raison.
Mais comment un jeune homme sans rang ni fortune pourrait-il aimer une jeune aristocrate ? Une jeune aristocrate dont la vie ne lui appartient pas, et déjà promise à un mariage arrangé avec un baronet, Sir Perciva Glyde. Exit donc le jeune professeur !
Mais les apparences sont trompeuses. Derrière le baronet qui sait si bien faire les ronds de jambes et tenir en société des propos galants se cache une belle crapule, un homme violent et cruel. Avec l'aide de son ami, le Comte Fosco, il s'emploiera à faire main basse sur la fortune de Laura.
Qu'elle sera longue et semée d'embuches la route obscure que devra emprunter Walter pour sortir sa bien-aimée des griffes de ces deux escrocs !

Que j'ai aimé ce livre ! Les apparitions fugaces et mystérieuses de la Dame en blanc m'ont fait rêver. J'ai soutenu le courage volontaire de Mirian. Combien de fois je me suis dit que Laura, avec ses renoncements et ses faiblesses, ne méritaient pas le dévouement de sa fidèle amie et l'amour aveugle de Walter. Les nerfs fragiles de sir Fairlie et son hypocondrie m'ont fait éclaté de rire. La brutalité imbécile de Percival m'a révolté. Et le Comte Fosco ! de loin mon préféré parmi toute cette galerie de personnages. Une ordure flamboyante ! Un « salaud lumineux » ! Un filou goupil ! Mais aussi un homme qui, au crépuscule de sa vie, tombe amoureux de Marian, la femme laide dévolue au rang d'amie dévouée.

Lisez ce livre ! Commencez à le lire à une heure avancée de la nuit, quand tout est calme et silencieux autour de vous. Alors vous sentirez la main délicate de la Dame en blanc se poser sur votre épaule.

Challenge XIXème siècle 2016
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C'est une fois de plus grâce aux lecteurs de Babelio que je découvre un auteur, classique qui plus est.
Avec William Wilkie Collins, nous avons semble-t-il ni plus ni moins que l'inventeur du thriller moderne, et cette seule affirmation m'a décidé à tenter cette lecture.
Je dois tout de suite dire que j'ai été subjugué et bluffé par l'écriture, le style est parfaitement actuel et fluide, sans digressions inutiles, une très belle plume assurément, écrit en 1860 je trouve que c'est encore plus remarquable, est-il normal que je sois étonné ?
Ce roman a pour cadre l'Angleterre victorienne et si vous aimez ces atmosphères guindées, cette moralité étrange où le paraître prime sur les sentiments ou encore cette étiquette incompréhensible, alors vous allez vous régaler.
J'ai apprécié la lente mise en place de l'intrigue dans un scénario solide et cohérent, j'ai été impressionné par la tension énorme que fait peser l'auteur sur son lecteur. Ces personnages d'un autre temps sont parfaitement dessinés, et se dire que leurs alter ego aient pu exister réellement laisse une drôle de sensation. Histoire d'amour impossible et thriller, cette histoire m'a bien accroché, les gentils et les méchants sont vraiment too much, aucun doute.
Je vais m'arrêter là, j'ai aimé l'ensemble sans réserve aucune, ravi d'avoir rencontré un tel auteur !
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Wilkie Collins est une des têtes d'affiche des Editions Libretto, cette collection qui ressuscite des classiques parfois décalés, souvent délaissés, qui fuit l'actualité et qui nous donnent l'illusion égoïste de découvrir des trésors cachés dans les coins les plus sombres et reculés de nos librairies.
La lecture de la Dame en Blanc m'a absorbé dès ses premières pages. Une nuit, une femme tout de blanc vêtue, évadée d'un asile, supplie un jeune et modeste professeur de dessin de l'aider...
Cela reniflait le roman gothique à plein nez, mais au fil des pages, l'intrigue s'est complexifiée, adoptant le rythme haletant de ses romans à sensation, parus sous la forme de feuilletons qui garantissent des rebondissements à intervalles réguliers et des scènes qui ne sont pas près de disparaître de ma mémoire de lecteur.
Chaque chapitre donne la parole à un narrateur distinct, personnage principal ou secondaire de l'intrigue. Cela permet de confronter des points de vue différents et de bousculer la chronologie des événements.
En matière de suspense, la Dame en Blanc est une somme, le résultat d'une addition: amour contrarié, disparitions, manipulations, secrets de familles, chantage, sociétés secrètes.
En toile de fond, une société victorienne très soucieuse des apparences et du statut social, fuyant les scandales, où les mariages étaient avant tout des montages financiers et où la rébellion de certaines femmes se heurtaient au poids des conventions.
En dehors des deux tourtereaux, un peu fades, les autres personnages sont d'une richesse folle à l'image de l' un des méchants de l'histoire, le mystérieux comte Fosco, roi de la manipulation, et de l'Oncle Farlie insupportable et pathétique qui fuit les problèmes et les responsabilités de façon maladive et comique.
Ecrit en 1859, pour l'éternité.
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J'avoue (et oui j'avoue !) que je ne connaissais pas cet auteur anglais avant d'entendre parler de lui en tant qu'un des protagonistes (en fait le narrateur ) du roman "Drood" de Dan Simmons. Ma curiosité était piquée, et comme j'arpentais ma librairie favorite, je suis tombée par hasard sur un rayon où étaient mis en expo les nombreux exemplaires qui composent l'excellent catalogue des éditions Libretto. Là, je vois le fameux "La dame en blanc" dont il est beaucoup question dans le roman de Simmons.
A partir du moment où j'ai plongé dedans, le poulet pouvait brûler dans le four, les gamins s'entretuer, l'immeuble s'écrouler, mon homme faire sa valise et me quitter, la guerre être déclarée, les décérébrés de la télé s'époumoner pour me narguer ..,je suis restée scotchée, envoutée par la virtuosité et le génie de ce satané Collins. Comment parvenait-il à exceller ainsi dans l'intrigue, les chausse-trappes, les retournements de situations, le thriller en somme ?
Ravie à l'idée d'avoir de nombreuses délicieuses et savoureuses heures de lecture devant moi (car WW Collins était prolifique le bougre !), j'ai trouvé la quintessence de tout ce que j'aime en littérature et suis heureuse qu'il soit le père de nombreux enfants, batards ou non, comme Sarah Waters, Mickaël Cox , Andrexw Taylor et autres !
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J'avais découvert Wilkie Collins avec La pierre de lune. Constatant avec plaisir que les éditions VOolume proposait aussi La dame en blanc, conseillée en commentaires de ma critique précédente de cet auteur, je me suis lancée dans ces nombreuses heures d'écoute, même si la voix du narrateur m'a moins séduite, plus emphatique, moins nuancée. Mais bientôt, prise dans l'intrigue et l'atmosphère délicieusement surannée et britannique de l'histoire, j'ai fait abstraction de ce petit bémol.

Une nuit, une dame en blanc arrête un professeur de dessin pour lui demander de l'aide, lui posant des questions un peu bizarres. Elle disparait alors que surgissent des hommes lancées à sa poursuite. Et le lendemain, ce professeur s'installe pour quelques mois dans un propriété où la jeune fille de la maison ressemble curieusement à cette dame en blanc...

Et les évènements vont s'enchainer, ne nous laissant que peu de loisirs pour respirer. Beaucoup d'éléments sont réunis pour captiver notre attention et créer une atmosphère envoutante : cimetières, lac lugubre, bas-fonds de Londres, amours contrariés, sociétés secrètes, personnages inquiétants et cette dame en blanc qui apparaitra plusieurs fois...

L'auteur utilise ici aussi le procédé que j'avais apprécié dans ma lecture précédente. Les évènements sont racontés par différents personnages, chacun ne commentant que ceux auxquels il a assisté. Cela permet différents points de vue et enrichit le récit.
J'ai aussi apprécié que la personne la plus perspicace et la plus opiniâtre du roman soit une femme, dont l'autre personnage phare du roman, le méchant intelligent, tombera silencieusement amoureux. Ces deux personnages qui vont s'opposer par la force des choses, leurs intérêts étant contraires, font toute la force et la richesse de cette intrigue. Sans oublier l'horripilant oncle Fairlie, hypocondriaque uniquement préoccupée de sa personne et fuyant toute contrariété.

Une lecture que j'ai encore plus appréciée que la première de l'auteur et pour laquelle je remercie NetGalley et les éditions VOolume #LaDameenblanc #NetGalleyFrance
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J'envie le lecteur ou la lectrice qui n'a pas lu ce roman de William Wilkie Collins. Il faut dire que c'est le premier que je lis mais sûrement pas le dernier. C'est un petit chef-d'oeuvre de littérature anglaise du 19e siècle. Un véritable thriller avant l'heure. Très bien écrit, haletant, intéressant et si vous aimez les romans d'aventures ou les thrillers à la Hitchcock, vous serez comblés.
Mais je vais vous conter l'histoire de ce récit.
Walter Hartright, peintre et professeur de dessin porte secours à une jeune femme mystérieuse habillée de blanc. Elle semble effrayée et a des propos incohérent. Parallèlement, Walter, s'apprête à quitter Londres pour enseigner à deux jeunes filles le dessin et la peinture au manoir de Limmeridge. de là, il va vivre une aventure extraordinaire à tout point de vue, avec les habitants de ce manoir.
Une histoire qui nous prend par la main et ne nous lâche pas jusqu'à la fin. Bien que ce livre soit un pavé, le plaisir de lire est réel et j'avoue que j'y ai passé de bons moments de lecture.
L'auteur, est un contemporain de Charles Dickens qui était son ami et celui-ci fut jaloux de son talent parait-il.
Un bien beau livre que je vous recommande.
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Un roman très bien mené niveau suspense et passionnant jusqu'au bout.
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Walter Hartright, jeune professeur de dessin plutôt modeste, est embauché pour enseigner le dessin à deux jeunes filles dans une propriété isolée du reste du monde, Limmeridge House. En route pour son futur lieu de travail, il fait une rencontre de nuit étrange : une femme toute de blanc vêtue lui tient des propos assez incompréhensibles mais qui retiennent son attention, puisqu'ils évoquent Limmeridge House. Lui paraissant sympathique et un peu perdue, il la raccompagne à Londres, avant d'apprendre un peu plus tard que cette femme fragile s'était échappé d'un asile.
A Limmeridge House, la vie de Walter parait bien douce : il est accueilli comme un hôte dans cette belle propriété, le maitre du domaine, souffreteux, passe son temps seul dans sa chambre, et il s'entend fort bien avec ses deux élèves, demi-soeurs, la belle Miss Laura Fairlie et l'intelligente et énergique Miss Marian Halcombe. Miss Fairlie, qui ressemble étrangement, en plus jolie, à la fameuse dame en blanc, ne laisse pas indifférent le jeune professeur, et elle-même est assez attiré par ce dernier. Mais outre les différences de statut social, Miss Fairlie est promise à un autre homme. Ses fiançailles approchant, elle reçoit une lettre anonyme la mettant en garde contre son futur mari. Walter et Miss Halcombe enquêtent au village, et entendent rapidement des rumeurs à propos d'un fantôme qui hanterait le cimetière, un fantôme vêtu tout de blanc.

Mon club de lecture m'aura amené cette année encore à faire de très belles découvertes. Sans lui, je n'aurais probablement jamais exhumé des années passées ce très sympathique ouvrage. Quel délice de se plonger dans ces pages à l'élégante écriture et au suspense angoissant ! Ancêtre du thriller, histoire d'amour, peinture de moeurs de l'Angleterre du 19ème siècle, La dame en blanc est un peu de tout cela. Au travers de la reconstitution chronologique, à la manière de celles dont se servent les forces de police, des faits déroulés autour de Miss Fairlie, W. Wilkie Collins fait la part belle au mystère, aux secrets de famille, aux anciennes propriétés pleines de pièces et recoins... Cette reconstitution fait intervenir différents témoins (Hartright et Halcombe, bien sur, mais aussi un avocat, une gouvernante...) et s'appuie sur différents supports (journaux intimes, procès verbaux...). L'alternance des points de vue rythme naturellement le récit et amène le lecteur à revenir sur ce qu'il a appris pour lui donner un nouveau sens quand de nouveaux évènement corroborent ou contredisent les évènements et suppositions précédents.
Après un démarrage assez "fleur bleue", le temps de planter le décor et les personnages fort réussis d'ailleurs (une mention spéciale à Miss Halcombe, qui détonne dans la paysage de la société anglaise d'époque, et à l'oncle hypocondriaque égocentré !!), le suspense et la tension psychologique s'installent et ne lâchent plus le lecteur tout au long de la lecture.
J'avoue avoir deviné assez vite une grande partie du fin mot de l'intrigue, et puis l'histoire d'amour est un peu trop fleur bleue (ah, si seulement Walter avait délaissé de beaux yeux bleus au profit de la beauté intérieure de Marianne), le deus ex-machina final est peut-être un chouïa tiré par les cheveux, mais franchement, le plaisir est là : le plaisir d'une vraie bonne histoire, maitrisée de bout en bout par la main de maitre de W. Wilkie Collins, et racontée merveilleusement bien... La Femme en blanc mérite bien sa 28e place au classement des cent meilleurs romans policiers de tous les temps établie par la Crime Writers' Association en 1990. Et moi, j'en redemande !!
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De Wilkie Collins, je ne connaissais que le nom pour avoir deux de ses œuvres depuis des années tout en bas de ma PAL. Je me suis finalement, pour mon plus grand bonheur, décidée à ouvrir « La dame en blanc ». Et à partir de ce moment, je n’ai eu de cesse de continuer cette lecture, happée par l’ambiance propre aux grands romans du XIXème siècle de la littérature anglaise.
L’intrigue, globalement, tourne autour d’un drame domestique, d’un complot ourdi par l’époux contre son épouse, un danger que l’on pressent dès les premières pages.
Et un secret terrible entoure la Dame en Blanc, dont le véritable nom est Anne Catherick, une jeune femme faible d’esprit qui semble pourtant détenir la clé du mystère. Cette femme en blanc revient sans cesse dans l’histoire et sera de plus en plus mêlée au récit même.
Le roman est écrit sous forme de récits, de plusieurs points de vue, ce qui fait que nous sommes toujours témoins directs des évènements, que ce soit à travers les yeux du jeune professeur de dessin amoureux, de la sœur, de l’Avocat ou toute autre personne impliquée.

L’autre plaisir est naturellement le style, tellement 19ème ! C’est un régal !

« Les jours, les mois passèrent. L’automne traçait des sillons d’or dans la verdure des feuillages, et ma vie s’écoulait comme dans un rêve. O temps de paix, temps bénis entre tous ! mon histoire semble glisser sur vous comme alors vous glissiez sur moi. De tous les trésors dont vous m’avez gratifié, que me reste-t-il qui vaille la peine qu’on en remplisse ces pages ? Rien d’autre que la plus triste des confessions qu’un homme puisse faire de son impardonnable folie. Le secret de cette confession sera facile à dévoiler, car mes paroles m’ont déjà trahi. Les pauvres mots qui n’ont servi de rien pour décrire Miss Fairlie ont au moins trahi les sentiments qu’elle avait éveillés en moi. C’est ainsi. Nos mots sont des géants quand ils nous blessent, des nains quand ils doivent nous servir. Je l’aimais. »

Verdict : Une lecture passionnante qui ravira les amateurs de bons polars riches en rebondissements, sans pour autant laisser sur le bord du chemin les amateurs de très bonne littérature.
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Quel livre étonnant ! Ce pavé de 600 pages, depuis un bon moment dans ma bibliothèque et lu il y a quelques semaines, a été englouti en 4 soirées.
Après avoir lu "Pierre de lune", je savais un peu à quoi m'attendre avec W. W. Collins. Avant tout, de la belle littérature comme je l'aime, bien que l'on ne parle ni n'écrit plus comme ça de nos jours, mais j'ai goûté un réel plaisir avec cette prose qui nous emmène dans des domaines proches de Londres, au milieu du 19è siècle.
Ensuite, une intrigue. Que dis-je ! Une machination incroyable dans le but d'obtenir la fortune de Lady Glyde.
Puis, du mystère avec cette dame en blanc, dont on sent que la présence en début de récit aura une importance capitale tout au long de l'histoire.
Des personnages magnifiques, qu'ils soient hypocondriaques et irresponsables, dévoués et courageux, fins psychologues et manipulateurs, naïfs et fragiles, colériques et narcissiques, toute une palette de caractères finement décrits.
Et enfin, une narration qui n'est pas seulement originale, mais unique en son genre. Chaque personnage relate, comme un témoignage, ce qu'il a vécu. L'histoire n'est pas répétée, car on avance dans l'intrigue au fur et à mesure des récits de chaque personnage, en fonction de leur implication dans le dénouement de l'intrigue.
C'est très fort et vous l'aurez compris, j'ai adoré !
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