Il existera toujours un chemin

Les chemins balisés sont des fausses sécurités. Ils nous conduisent exactement à l'endroit où les autres veulent nous emmener.

Pourquoi faut-il que tout soit complexe, urgent, grave ?
Pourquoi devons-nous toujours être dans l'accélération, la performance, le profit ?
Parfois, il faut se donner le droit de ralentir, de s'arrêter, de reprendre sa respiration et de souffler.
Pourquoi donnons-nous tant d'importance à ce que les autres pensent de nous, à leur avis sur nos choix et nos actes ?
Parfois, il devient vital de se détacher de certaines personnes et de se tourner vers la seule chose qui compte vraiment : se reconnecter à soi !

Il nous manque toujours quelque chose pour être heureux: de l'argent, du temps, un être aimé, une famille, un travail...
À mesure que les années défilent, on se rend compte que tout cela n'est qu'une excuse lénifiante, que le bonheur, ce n'est surtout pas une liste de cases à cocher.
Être heureux réside dans la simplicité : le rire d'un enfant, une rencontre imprévue, le vol d'un oiseau, la caresse du vent, l'odeur de l'herbe mouillée…

Changer

Changer, C'est accepter de ne plus être la meme
personne.
C'est abandonner ses rassurantes habitudes, c'est
poser ses pas sur des terres inconnues, sourire à
d'autres visages, faire confiance à d'autres voix.
Changer est un risque, une insécurité de tous les
instants.
La paix intérieure est à ce prix: accepter la solitude
comme son plus fidèle compagnon de voyage et
assumer l'abandon comme une étape indispensable
vers le renouveau.

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L'optimiste m'a dit : « Regarde, le soleil revient! »
Le pessimiste a rétorqué: « Toute cette pluie qui vient de tomber ! »
Je me suis tourné vers le sage : « Maître, que faut-il en penser? »
Il m'a alors répondu: « Les deux ont raison : la graine a besoin d'eau pour germer et la fleur de soleil pour s'épanouir. »
Devant mon scepticisme, il a complété :
« Abattons les murs, tournons-nous vers l'universel ! »

Il suffit parfois de bien peu de choses pour que deux êtres se sentent attirés l'un vers l'autre, une forme de complémentarité qui rassure.

Je crois que tu devais vivre tes envies, et si tu ne l'avais pas fait, tu l'aurais regretté toute ta vie. Et les regrets, crois-moi, c'est terrible, ça mine, ça use, ça peut même détruire s'ils sont trop intenses.

Alors qu’il suffirait, avec force et modestie, de trouver sa place, sa juste place, l’endroit précis où, fidèles à nous-mêmes, nous évoluerions sans effort et sans heurt.
À cet instant précis, le monde nous appartiendra, l’amour nous guidera et le bonheur s’invitera.

La richesse ne s'estime pas à l'aune de son compte en banque, de ses maisons ou de ses voitures.
Tout cela n'est qu'illusion, souvent temporaire.
La fortune d'un individu se mesure à sa capacité à donner aux autres. Que ce soit en amitié, son amour, son savoir ou simplement une oreille attentive et une épaule où se reposer.
Au fond, la vraie richesse, c'est tout ce que l'argent ne pourra jamais acheter.

On devrait marcher tous les deux
Et se perdre sur des sentiers inconnus
On devrait prendre un café à une terrasse
Et finir par du champagne, le soir, à la même table
On devrait s'appeler sans aucune raison
Et raccrocher deux heures plus tard
On devrait être les meilleurs amis du monde Et puis faire voltiger cette satanée amitié
On devrait être amoureux, mais un peu Juste pour recommencer à se séduire
On devrait se jurer des tas de choses Et les oublier pour les entendre à nouveau
On ne devrait jamais se dire merci
Car on ne se doit rien, mais on a tout à s'offrir
On devrait... se le dire Et l'oublier la nuit suivante.