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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Ce 2ème Tome est excellent ! Moins de batailles que dans le 1er roman mais le scénario est très fouillé, captivant et l'ambiance qui s'en dégage est palpable ce qui donne un coté " DARK fantasy " beaucoup plus prononcé que dans le précédent.
L' histoire ( qui se passe 6 ans après la défaite " bactériologique" des Rebelles au château de la Dame ) tourne autour d'un Château Noir d'obsidienne mystérieux dans la ville de Génépi ou la pauvreté est à son comble et ou les morts jonchent les rues régulièrement dû en grande partie à un hiver très rigoureux.
L' histoire au trois quarts va reposer sur un personnage " Shed " propriétaire d'une auberge endetté trouillard et lâche qui pour survivre et garder son établissement va devoir s'associer avec un de ses clients " Corbeau " qui lui est en fuite depuis la fin du 1er tome avec sa petite protégée " Chérie " qui est apparemment " la Rose Blanche " que tous les rebelles attendent. de ce fait ils vont vendre afin de gagner de l'argent des corps morts ou vivants à ce château maléfique. Pour quelle raison le château en a besoin, à vous de le découvrir...
Mais la Dame dépêche le " toubib " et ses acolytes de la Compagnie Noire à Génépi afin qu'ils y fassent une enquête concernant les étranges disparitions de ces cadavres. de là, différentes péripéties haletantes vont suivre jusqu'à la fin du roman. le côté le plus intéressant du Roman a été pour moi l'évolution vers le côté obscure de " Shed " et de voir jusqu'ou est capable un homme pour s'en sortir ainsi que le personnage principal le " toubib " qui devient de plus en plus " humain " et le "maître à jouer" dû à son caractère posé et très réfléchi.
Le style est beaucoup plus fluide que dans le 1er avec des descriptions plus importantes ( est-ce dû à l'auteur ou à un changement de traducteur ? ) et reste très visuel avec des dialogues qui sonnent toujours aussi juste allant dans le vif du sujet. Une fois que vous avez commencé, il est difficile de ne pas continuer jusqu'à la fin sans s'arrêter. de plus on se prend de plus en plus d'affection avec les personnages de cette Compagnie ou commence à s'éveiller chez eux une certaine conscience
Je suis déjà pressé de retrouver le toubib, Qu'un Oeil, Gobelin et tout le reste de sa clique et m'en vais commencer à lire le 3ème car l'auteur a réussi a créér pour l'instant de ce cycle une addiction. Il est certain que si les 11 autres sont de cette facture je vais tous me les enquiller en peu de temps. Sur ce, bonne lecture....

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Allez hop un bon 5 pour ce tome 2!
J'ai réellement pris plaisir à retrouver tous ces mauvais gars de la Compagnie Noire, Toubib, Gobelin, Qu'un oeil, Corbeau et tous les autres.
Même constat que pour le premier tome: il m'a fallu quelques pages avant de plonger vraiment au coeur de l'histoire, laquelle, il faut bien le dire, ne brille pas par son évidence au début. Donc perdu au début et du mal à accepter l'écriture de l'auteur. les chapitres sont courts, voire très courts, on passe d'une ambiance à une autre sans trop savoir de quoi il retourne, on ne peut que subir ce parachutage à donner la gerbe sans trop sa plaindre. Mais passées les premières nausées, on se sent mieux, on entre progressivement dans cette histoire qui se dessine délicatement mais sûrement. L'auteur dose parfaitement l'arrivée de tous les éléments pour la construire et prouve au passage sa grande maîtrise du récit qui se concentre sur quelques personnages importants. Importants pour l'histoire mais également pour le cycle entier. En effet le rôle que prend Toubib au profit d'autres ( c'était déjà le cas dans le tome 1), ne se limite pas à cette histoire. En atteste le dernier quart du bouquin qui se veut plus révélateur qu'on ne pouvait s'y attendre.
Outre l'histoire, j'ai particulièrement aimé la réflexion sur le mal, sous jacente que j'y ai décelé. En effet, l'auteur nous propose une seconde grille de lecture alors qu'il place face à une incarnation de ce qui semble être le mal absolu, ses personnages, qui sont loin d'être des bons samaritains. de plus il joint à la danse de nouveaux dont les moeurs et la morale n'ont rien à leur envier. Mais l'auteur place l'argent au centre de son histoire et propose une réflexion sur la cupidité. Car c'est bien la cupidité et rien d'autre qui permet, par le biais de l'argent et des talismans ( bien que peu présents, ces babioles endossent un rôle essentiel), au château de grandir, de vivre, d'exister... Vous aurez sans doute noter que je parle de celui ci comme d'un personnage. Et c'est bien parce que c'est le cas. En soi il n'est que l'incarnation d'une chose bien sombre dont je tairai l'ampleur, et pour laquelle vous devinez qu'il joue le rôle majeure. Mais l'auteur le considère réellement comme un personnage, et il ne peut en être autrement. Celui ci incarne la toute puissance malfaisante, une entité démoniaque, abjecte, noire qui dégouline d'horreur, et qui est réduite à l'argent. du moins dans les 3 premiers quarts du bouquin avant que les choses ne s'enveniment.
Bref j'ai adoré ce bouquin, tout comme le premier, tout comme sans doute le suivant...
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Je suis ravie d'avoir pu retourner auprès de la compagnie noire avec ce deuxième tome. Mine de rien, ils m'avaient manqué ces mercenaires.
Nous sommes donc dix ans après la fin du tome I et nos mercenaires sont toujours au service de la dame et cette fois-ci, ils doivent traverser tout le pays jusqu'à Génépi où quelque chose se trame.
J'ai adoré retrouver le noyau de la compagnie qui accuse un peu la fatigue due à l'âge qu'ils ont pris ces dernières années. le combat contre les rebelles n'est pas fini mais un château noir trônant en haut d'une colline requiert leur attention et celui de l'armée de la dame. J'aime toujours autant ces personnages marqués par leur vie dans cette armée, leur humour et leurs petits secrets.
Pour l'histoire, elle prend un gros tournant ici. Les événements s'enchaînent, coup dans le dos, trahison, changement de camp et monstres sont de la partie. Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. On bascule petit à petit vers les événements du tome III qui marque la fin de la première trilogie. En tout cas, j'ai beaucoup aimé ce nouveau rythme et les différents points de vue des personnages.
Pour conclure, ce deuxième tome est aussi bien que le premier. Il se dévore et j'ai hâte de lire le troisième et de connaître le dénouement de cette première partie.
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Quelques années après les événements du tome 1, nous retrouvons la Compagnie Noire, toujours aux services de la Dame.

On s'éloigne un peu de l'effet « Carnet de bord », la narration étant moins hachée mais beaucoup plus linéaire, le style change donc dans ce deuxième tome mais ne baisse pas la qualité du roman. On ne suit au final qu'assez peu la Compagnie, l'accent est surtout mis sur un nouveau personnage : Shed, par l'intermédiaire de Corbeau. Mais l'intrigue n'en est pas moins intéressante et nimbée de mystère, comme sait si bien le faire Glen Cook.

Ainsi on découvre la ville de Génépi et son château noir. Shed est un personnage très intéressant à suivre car il subit une réelle évolution tout au long de l'histoire et est totalement dans l'esprit de la Compagnie Noire : il choisit son camps en fonction de ses intérêts sans vraiment avoir de scrupules et sans questionnement sur le bien ou le mal. Corbeau quant à lui restera très énigmatique et même absent dans les dernières pages, et pourtant c'est le personnage autour duquel s'articule l'intrigue.

Enfin, Toubib qui continue à écrire ses annales sera moins présent par rapport au tome 1, mais son personnage va prendre de l'ampleur au sein de la compagnie et on suit toujours avec un profond intérêt ses questionnements, son esprit stratège et sa relation privilégié avec la Dame.

La récit se mettra en place pendant les 200 premières pages et même si ça reste passionnant à suivre, l'action se révélera dans les dernières pages : effusion de magie, créatures sombres et mystérieuses, le tout enveloppé dans cet univers toujours sombre et inquiétant qui caractérise si bien cette catégorie de la fantasy.
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Assez différent du premier tome, mais intéressant sur de multiples plans

Ce tome 2 peut décontenancer de prime abord : après tout, on suit Shed, un simple aubergiste qui n'a rien à voir avec la Compagnie noire, la moitié du livre, et durant la majorité de ce dernier, on ne suit que de petits éléments de l'unité (contrairement au tome 1). Personnellement, ça ne m'a pas posé de problème, et ce pour plusieurs raisons : d'abord parce que je trouve que Glen Cook a su surprendre et éviter un copier-coller du tome précédent, et ensuite parce que la spirale infernale de corruption entamée par Marron Shed, puis sa tentative de rédemption, m'ont beaucoup intéressé. Malgré tout, que les amateurs de fantasy militaire et de pyrotechnie se rassurent : le dernier tiers offre un siège spectaculaire, ainsi qu'un combat épique dans l'avant-dernier chapitre.

L'aspect Dark Fantasy, tendance grim & gritty, est ici poussé très loin : l'amoralité des actes horribles perpétrés par Corbeau puis Shed, poussés par le désespoir ou une volonté farouche d'atteindre leurs objectifs quel qu'en soit le coût (moral) est assez prodigieuse. Comme je l'évoquais, la tentative de Shed pour prendre une autre voie est également fascinante. Malgré tout, il faut bien préciser que, pour quelqu'un qui chercherait à mettre un pied dans la Dark Fantasy, ce cycle n'est peut-être pas la porte d'entrée idéale, tant il est malsain et décomplexé dans le côté amoral par moments (même si Glen Cook reste évidemment une des références incontournables de ce sous-genre). de même, si vous n'avez pas complètement accroché au premier tome, je ne suis pas certain que vous accrochiez plus à celui-ci.

Ce second tome m'a autant intéressé que le premier, même s'il est très différent : relativement défocalisée par rapport à l'effectif complet de la Compagnie, l'intrigue alterne entre simples détachements de cette dernière et point de vue d'un aubergiste local, Marron Shed (ce qui peut décontenancer ceux qui veulent suivre uniquement les manoeuvres militaires de nos mercenaires préférés). de même, la montée en puissance du rythme est beaucoup plus progressive, même si le dernier tiers réserve quelques scènes haletantes (et quelques beaux moments de pyrotechnie et de sorcellerie meurtrière !).

La fin, très réussie, induit d'énormes changements dans la structure et le destin de l'Unité, et pose d'intéressants jalons pour le tome suivant, qui sera le dernier du cycle des Livres du Nord. On apprécie le rôle accru de Toubib dans les événements (il est moins conteur qu'acteur dans ce tome 2 par rapport au précédent) et, comme souvent en matière de Dark Fantasy, on pleure la disparition (impitoyable) de certains personnages, dont certains pas-si-secondaires. Mais certains d'entre eux sont-ils vraiment morts, on font-ils leur Jon Snow ?

Version plus complète de la critique sur le blog.
Lien : https://lecultedapophis.word..
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Second livre des Annales de la compagnie noire. Avec ce livre Glen Cook atteint un sommet de la Dark Fantasy. Toubib continue à rédiger les mémoires de la compagnie noire qui officie toujours pour la Dame. Ils sont envoyés en mission au pied du château noir ; un château qui à l'air de se construire tout seul.

Mais avec quoi est-il construit ? Une chose est sûre, il y commerce de cadavres dans cette cité aux hivers rigoureux et aux coutumes funéraires étranges.

A l'instar du premier tome, le style est déroutant mais la lecture du premier tome permet de s'y ré adapter rapidement.
En fin de livre, une seule envie : lire le 3ème tome.
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Ce deuxième tome est très différent du premier (retrouvez ma chronique ici). L'auteur engage ici une toute nouvelle plume, une nouvelle façon de s'exprimer et surtout un nouveau point de vue.

Par le biais de ce changement de narration, Glen Cook nous montre que les personnages ont évolué, 8 ans se sont écoulés depuis le tome précédent, ils ont vieilli et ont maintenant une nouvelle vision de leur combat. Etre au service de la Dame ne leur semble plus raisonnable, ni justifié, ils ne veulent plut être « les méchants de l'Histoire » du monde, mais comment lui échapper?

Ce deuxième tome, fait également entrer un second point de vue dans la narration, celui d'un dénommé Marron Shed, tavernier dans les bas fonds de la ville de Génépi. J'ai particulièrement apprécié ce personnage qui fait des choses dont on le croirait incapable… A la fois peureux et téméraire, sa vie va prendre un tournant à 90 degré en rencontrant les membres de la Compagnie Noire mais je n'en dis pas plus…

En bref, c'est encore une très bonne lecture, et la fin est très prenante même si un certain événement me paraît assez saugrenu… J'ai hâte de découvrir le tome 3!!
Lien : https://brevesdunepiplette.w..
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Un tome plus continu que le premier.

L'avantage du premier tome était des chapitres longs car ils relataient à chaque fois une partie des annales de la Compagnie noire. Ici, c'est un récit plus lisse, plus homogène, avec des chapitres plus courts et avec différents points de vue. Et cela change pas mal de choses côté confort de lecture. Déjà, je peux me coucher en lisant un chapitre fini et c'est un des petits plaisirs de la vie. le livre paraît plus court alors que l'intrigue est vraiment costaude et le récit est plus dense. Enfin, j'ai l'impression du coup de mieux connaître certains personnages ce qui ajoute du charme à la saga.

Cet épisode nous transporte dans la ville de Génépi qui a l'air d'un taudis avec une ambiance bien glauque. Tout ceci est dû à l'apparition d'un Château Noir. La Compagnie Noire va donc se mettre en route et enquêter sur ce phénomène sur la demande de la Dame. On découvre enfin son vrai visage et surtout, on va amener la Compagnie Noire à prendre une décision.


Des questions sur le devenir de la Compagnie.

La Compagnie Noire est grande, certes, mais surtout elle est composée d'un noyau dur d'hommes qui sont extrêmement soudés. L'un, le Corbeau, est porté disparu et il a plutôt l'air d'un traitre. Ainsi, ceux que nous suivons depuis le dernier tome vont se demander pourquoi ces apparences sont ainsi, et surtout, ils vont se questionner sur la direction que va prendre la Compagnie.

Parce que soyons honnête, en gros, la Compagnie Noire, c'est un groupe de mercenaires qui peut tuer des gens comme mouche qui pique. Ce sont les méchants que l'on suit. Même si on s'accorde tous à dire que ce sont de bons bougres (on s'attache vite vous savez) ce sont des soldats qui tuent contre de la monnaie. Ils sont bruts de décoffrage, peuvent torturer à loisir et surtout ils peuvent retourner leur casaque. Et bien vous seriez surpris de comprendre à quel point vous les aimez encore plus à la fin de ce tome.
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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Un deuxième tome enthousiasmant, apportant la confirmation des ambitions jusque là timidement affichées par l'auteur dans le premier volume, et paradoxalement très surprenant dans sa manière de le faire. Si Glen Cook a su continuer dans cette lancée pour le reste de sa saga avec autant de maîtrise, elle pourrait bien, à terme, entrer dans mon panthéon personnel.
Lien : https://syndromequickson.com..
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Il m'a fallu quelques pages pour me remettre vraiment dans le bain (il faut que j'arrête de laisser passer autant de mois avant de lire la suite d'une série) mais ce fut, à ma grande surprise, assez rapide pour que les éléments importants, et d'autres plus anecdotiques, me reviennent en tête. le plus perturbant au début de ce deuxième tome, en vérité, c'est quand on apprend que, depuis le tome précédent, La Compagnie noire, environ six années se sont écoulées ! On retrouve une Compagnie qui a beaucoup voyagé, toujours au service de la Dame, toujours à mater la rébellion qui, malgré son affaiblissement suite à la grosse bataille de Charme, persiste à lutter contre la domination de la Dame…
La troupe de mercenaires a changé ; on retrouve bien sûr des personnages connus voire aimés tels que Toubib, qui reste le narrateur de l'histoire, Qu'un-Oeil, Gobelin, Silence, le Capitaine, etc., mais il y a aussi des nouveaux comme Pilier par exemple. Bon, en fait, si je me suis habituée à la présence des nouveaux, si j'ai apprécié les découvrir, ils ne m'ont toutefois pas beaucoup marquée. En revanche, j'ai été frappée par le coup de vieux que les anciens de la Compagnie noire ont pris. Après des années à éteindre les braises de la rébellion, on ne peut que constater leur fatigue, et Toubib lui-même semble totalement désabusé. On ressent d'autant plus leur accablement que c'est Toubib, l'un des plus marqués, qui nous en parle. Et plusieurs fois dans ce tome, les personnages vont discuter entre eux de tout ça, certains affirmant même qu'il ne serait pas trop tard pour quitter la Compagnie et faire sa vie ailleurs… Mais ce ne sont que des discussions dans le vent ; on le sait et ils le savent que ça leur est impossible d'espérer une autre vie.
Dans le château noir, Glen Cook, n'hésite pas à user ses héros, et il n'hésite pas non plus à modifier la narration d'un tome à l'autre. En effet, dans le premier tome, le récit se faisait uniquement à la première personne, tout étant raconté par Toubib, médecin et annaliste de la Compagnie. Dans le deuxième, on retrouve Toubib en narrateur, mais certains chapitres sont également écrits à la troisième personne et se focalisent notamment sur Shed, un tavernier établi à Génépi. Bien sûr, il n'y a pas que cet inconnu dans ce bled paumé du nord, où le froid est si glaçant et les nuits si longues. En effet, un château étrange, que les habitants n'osent pas approcher, grandit de plus en plus. La Dame y voit une menace et envoie donc à Génépi une partie de la Compagnie. Nouveau changement : pendant une longue partie du roman, on ne sait pas ce que devient la grande majorité des mercenaires.
Le récit se fait de plus en plus sombre, à mesure, notons-le, que le château noir gagne en présence. Certains protagonistes deviennent de plus en plus horribles, d'autres désespèrent de plus en plus et nous, lecteurs et lectrices, ne pouvons qu'assister à cette déchéance, impuissant·es que nous sommes. Pourtant, quelque part entre certaines lignes, cachée au fin fond de quelques chapitres, une vague lueur d'espoir semble exister. Mais, pour ma part, je doute : qu'est-ce qui est le mieux pour les habitants du royaume ? Qu'est-ce qui est le pire ? Nos personnages, dont certains que j'apprécie beaucoup, ont-ils une chance, un jour, de mener une vie (ou une fin de vie) paisible ? Rien n'est moins sûr et beaucoup de mes certitudes ont été ébranlées.
Le château noir est, une nouvelle fois, un très bon tome. On découvre de nouvelles régions, on fait la rencontre de nouveaux personnages et Cook attise encore plus ma curiosité. Si je veux étaler ma lecture dans le temps pour mieux la savourer, je ne pense quand même pas trop tarder à me jeter sur la suite tant j'aime les personnages qu'il a créé, et tant je suis intriguée par la Dame.
Lien : https://malecturotheque.word..
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