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3,24

sur 105 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Quel ennui!!! C'est le deuxième livre de Laurence Cossé que je lis et je m'en tiendrai là. On piétine dans ce roman. Alors, certes, cela peut mettre en valeur le dur (voire l'impossible) apprentissage de Fadila, mais les développements sont par trop technique (les descriptions des lettres, des erreurs commises...), les reculs et progrès sont rabâchés... Au bout d'un moment, la vie de Fadila émerge, par paragraphes, mais j'avais déjà lâché et cela n'a pas réussi à me rattraper, d'autant que les sentiments et la psychologie de Fadila sont à mon sens pas approfondis. Quant à l'écriture, au style, j'ai trouvé cela plat, sans aucune beauté; et que dire des propos de Fadila?!!! Je n'ai pas retrouvé l'accent maghrébin et me suis dit que l'auteure n'avait pas été assez observatrice des erreurs de langage commises par cette population qu'elle a cherché à mettre en avant pourtant.
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Edith, traductrice d'une quarantaine d'années, essaie d'apprendre à lire à Fadila, analphabète de 65 ans, qu'elle emploie à du repassage quelques heures par semaine.
Laurence Cossé nous propose de suivre pas à pas cet apprentissage difficile pour cette vieille Marocaine qui n'a jamais été scolarisée. J'ai autant souffert comme lecteur qu'Edith et Fadila dans leurs rôles respectifs tant ce récit de l'apprentissage de la lecture et de l'écriture est répétitif et platement écrit. Aucun détail ne nous est épargné des difficultés de Fadila Amrani qui une fois transforme son nom en MRANI, une autrefois en AMRAI, qui oublie le A à la fin de Fadila, qui inverse les deux premières lettres de son prénom pour donner ADFILA ... de temps en temps, l'auteur consent à nous accorder un moment de respiration pour évoquer la vie difficile de Fadila délaissée par ses enfants qui ne répugnent pas à exploiter à leur profit son ignorance de l'écrit. Comment un roman aussi fade a-t-il pu être édité dans la prestigieuse collection Blanche de Gallimard ? Un mystère parmi tant d'autres qui concourt aussi au charme de la littérature ...
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Aïcha, la gardienne du 31, vient sonner à la porte d'Edith, interprète vivant dans le 15e. Elle lui présente sa mère Fadila qui, après avoir perdu son emploi, risque de perdre sa petite chambre si elle ne retrouve pas rapidement quelques heures de ménage à faire.
Edith la prend à son service et prend en pitié cette femme de soixante ans qui a eu la vie très dure et qui semble-t-il est analphabète. Elle décide de lui apprendre à lire.

Ce livre est intéressant pour découvrir ce qu'est l'analphabétisme et le parcours du combattant qu'est d'apprendre à lire et à écrire à des immigrés qui ont une vie active et d'autres problèmes à penser.

Cependant, même si c'est intéressant, je n'ai pas du tout accroché à cette histoire que j'ai trouvée misérabiliste, triste au possible et qui finit mal en plus.
Ce n'était pas du tout une lecture plaisir pour moi.
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Histoire d'apprentissage de la lecture entre un écrivain et sa femme de ménage marocaine … L'écriture n'est pas assez littéraire pour avoir du plaisir à lire ce récit.
Lien : http://objectif-livre.over-b..
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