Servie par des reproductions pleine page, l’analyse de l’œuvre graphique et peinte ravive tout le charme et l’inventivité de Chaissac. Capable de peindre l’empreinte d’une épluchure, comme le fond d’une coquille d’huître, ces « délaissés » qui parlaient à son cœur, ce « Picasso en sabots » savait comme nul autre transmuer la grisaille du quotidien en un feu d’artifice de rêves colorés.
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