AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,63

sur 108 notes
5
2 avis
4
6 avis
3
3 avis
2
1 avis
1
0 avis
J'ai pris grand plaisir à lire ce très bon Crais, dans la droite ligne de moult autres opus des aventures d'Elvis Cole et Joe Pike, duo riche en couleurs.

Intrigue intéressante, rebondissements, action, humour, tout y est, j'ai passé un très bon moment avec ce livre :-).
Commenter  J’apprécie          191
Et voilà un Cole/Pike ma foi bien réussi. Scénario solide : un inconnu, abattu dans une rue sombre de Los Angeles en pleine nuit, aurait dit juste avant de mourir qu'il était le père d'Elvis. Cole, pas Presley. Voilà donc le "meilleur détective du monde", célébré ainsi par les médias, sur la piste de cet homme, associé ou presque à l'équipe policière. Car oui, Elvis Cole n'a pas connu son père, et n'a jamais pu savoir qui il était.

Pas mal de rebondissements, l'histoire est bien léchée. le dénouement n'apparaît que dans les dernières pages. Je ne mets que 4 étoiles et pas 5, même si je note assez large, parce qu'il y a une histoire de cendres qu'on fait disparaître, on ne sait même pas pourquoi. Si quelqu'un a compris, qu'il le fasse savoir. Possible que quelques pages aient sauté à la traduction, ou que je me sois endormi pendant la lecture.

Un bon "Crais", réussi. Plus j'avance, plus je trouve des similitudes avec Coben. Ces deux auteurs ont leur héros récurrent (Cole/Pike pour Crais, Bolitar pour Coben) et ils font aussi en parallèle des livres "one shot". Une richesse d'écriture, des histoires bien charpentées. Les héros récurrents vivent leur vie, peuplée de sentiments qui évoluent. Dans celui-ci, Elvis se sépare progressivement de la belle Lucy, et de son fils, car Elvis est trop dangereux pour son entourage. Alors que Starkey, déjà morte une fois, montre doucement le bout de son nez.

A lire avec plaisir !
Commenter  J’apprécie          90
Elvis Cole n'a jamais connu son père. Sa mère était mentalement malade. de temps à autre, elle disparaissait sans crier gare et Elvis se retrouvait seul. C'était alors son grand père qui s'occupait de lui. Il avait survécu à cette enfance malheureuse été était devenu d'abord policier puis détective.
En 1969, une famille est assassinée sauf une petite fille de 4 ans. On se retrouve quelques décennies plus tard. Une inspectrice, Kelly Diaz retrouve un homme mourant. D'après elle, le mourant a eu le temps de lui dire qu'il était venu pour retrouver son fils, Elvis Cole. de plus, le mort a sur lui des coupures de journaux le concernant.

L'homme assassiné n'a aucune identification sur lui. Elvis Cole, même s'il rêve que ce soit son père n'y croit absolument pas. Ce rêve est d'autant plus pressant qu'il a désespérément cherché cet homme pendant toute sa jeunesse. Croyant qu'il était un homme obus, il s'est enfui de chez lui à plusieurs reprises pour rejoindre un cirque qui avait un numéro d'homme obus.

Avec la permission de l'inspectrice Kelly Diaz, Elvis Cole mène une enquête minutieuse, vérifiant chaque piste et en cherchant d'autres. Pendant cette enquête, il y a quelques actions d'éclat, et Joe Pike est mis à contribution mais sans plus. Rien de comparable avec les autres romans de Robert Crais.

Carol Starkey qui est l'héroïne d'Un ange sans pitié et qui l'a déjà aidé dans le Dernier détective est follement amoureuse de lui et fait des mains et des pieds pour l'aider dans son enquête, mais Elvis Cole n'a d'yeux que pour Lucie Chénier qui l'a quitté pour retourner vivre à la Nouvelle Orléans.

Ce n'est que vers la fin, alors qu'on connait l'identité que le rythme s'accélère et que le danger s'accroit.

Comme d'habitude, le dénouement rend toute la situation plausible. Ce n'est pas son meilleur roman. Robert Crais est meilleur dans les romans où il y a beaucoup d'action et dans lesquels le rythme est endiablé.
Commenter  J’apprécie          40
Elvis Cole est un détective privé très renommé à Los Angeles depuis qu'il a résolu une délicate affaire de kidnapping quelques mois auparavant. Vêtu de chemises hawaïennes et conduisant un cabriolet Sting Ray 66 jaune, il pourrait même être le meilleur détective du monde. Et c'est vrai qu'il est assez fort pour mener des enquêtes, aidé de son fidèle ami Joe Pike et de Carol Starkey, ex-flic de la Brigade de Déminage, très gravement blessée lors d'une explosion, aujourd'hui versée à la Brigade des Mineurs et surtout amoureuse du privé.
Appelé sur les lieux d'un crime par une inspectrice du LAPD, Cole se retrouve face à son passé lorsque l'inspectrice lui annonce que la victime lui a avoué, juste avant de mourir, qu'il était son père, ce père que Cole n'a jamais connu et qu'il a cherché en vain durant toute sa jeunesse fugueuse. Avec l'assentiment de l'inspectrice, Cole va enquêter sur le mystérieux individu dont on ignore tout.
Débutent alors une recherche minutieuse d'indices et une série d'interrogatoires parfois musclés pour faire la lumière sur le passé du mort et résoudre l'affaire en suivant des pistes parfois friables mais toujours plausibles dans un scénario bien ficelé même si le dénouement se laisse entrevoir bien avant la fin. Petit bémol pour aller dans le sens de Cormorobin : les crânes déterrés et réduits en cendre dont on ne sait pas à qui ils appartiennent.
Cole mène ses investigations un peu à la manière d'un Mike Hammer ou d'un Lew Archer (il y a pire comme références), c'est classique, pas très original mais diablement efficace et le lecteur se laisse embarquer dans l'histoire, ses rebondissements et la psychologie des personnages avec plaisir. J'ai découvert cet auteur avec ce bouquin. J'attaque immédiatement le suivant dans deux minutes chrono. C'est d'ailleurs le titre du bouquin !
Commenter  J’apprécie          30
Elvis Cole est détective dans la Cité des Anges. Depuis sa brillante intervention dans le kidnapping d'un enfant et sa libération, il a les faveurs de la presse et de l'opinion publique. Mais lorsque l'Inspecteur Kelly Diaz l'appelle pour lui dire qu'un homme victime d'une agression l'a désigné, avant son décès, comme son fils, tout le passé d'Elvis lui saute au visage car il a été élevé par une mère souvent absente qui cachait bien des aspects de sa vie, et surtout ne lui avait jamais révélé le nom de son géniteur. D'abord incrédule puis perplexe, Elvis glane des informations sur ce mort mystérieux et anonyme et en compagnie de Joe Pike, tente d'exploiter de minuscules indices et de remonter de minces pistes.


Voilà un roman surprenant car il démarre classiquement, sans grande originalité, selon le modèle de la production de masse américaine, au point que j'ai failli en abandonner la lecture. Mais étonnamment, à mesure que l'enquête d'Elvis progresse, elle se densifie, des ramifications intéressantes se créent entre les divers personnages, des pistes s'ouvrent, le mystère s'épaissit, pour aboutir à une intrigue complexe et crédible dont le dénouement est inattendu, et imprévisible avant d'atteindre les dernières pages.


De plus, les personnages sont attachants, bien campés, sans faiblesse ni outrance, et Robert Crais  fait ressentir au lecteur toute la douleur d'Elvis, sur les traces de son passé. Mais que va-t-il trouver exactement ? Un père ? Qui sait ?
Commenter  J’apprécie          20
Elvis est le meilleur détective qui soit – oui, le meilleur. Cependant, être appelé par une policière au beau milieu de la nuit parce qu'un homme a été retrouvé mort et que ces derniers mots ont été pour dire qu'Elvis (le détective) était son fils; Problème : Cole ne peut pas le certifier puisqu'il n'a pas connu son père, et ne sait pas vraiment qui il était. de là à être accusé de la mort de cet inconnu, il n'y a qu'un pas que la police a très envie de franchir, en dépit de l'excellente réputation du détective. La seule chose qui lui reste à faire ? Enquêter.
J'ai beaucoup aimé la façon dont les différents points de vue s'imbriquaient, la manière dont le déroulement de l'intrigue est, malgré tout, facile à suivre. J'ai vraiment passé un très bon moment en leur compagnie, surtout avec Joe Pike – charismatique parce que peu présent, au final. Elvis doit aussi gérer une vie sentimentale plus compliquée qu'il ne le pense, à croire qu'il ne parvient pas à voir ce qui est sous ses yeux.
Une lecture très agréable qui me donne envie de découvrir d'autres romans de cet auteur.
Commenter  J’apprécie          20
J'ai été pris par cette lecture, tout au long , même si on devine aisément qui est cet enfant perdu.
Un bon roman policier.
Commenter  J’apprécie          10
Bof, bof, bof, voilà mon avis. Je n'ai pas été passionnée du tout par ce livre. On voit écrit 'thriller' sur la couverture, mais il n'y a pas de suspense, pas d'action, pas de surprise. Mon avis est donc bref et très moyen.

Lien : http://pages.de.lecture.de.s..
Commenter  J’apprécie          10
En 1966, la police découvre un carnage dans une maison de banlieue : une famille entière a été assassinée (battue à mort) et la seule rescapée est la petite fille de 4 ans.

Quarante ans plus tard, le détective Elvis Cole est appelé par la police au milieu de la nuit : un homme vient de succomber d'un coup de couteau dans une ruelle de Los Angeles, et a juste eu le temps de murmurer à la femme policier accourue à son chevet qu'il était venu dans cette ville pour retrouver son fils : Elvis Cole.

Les souvenirs du détectives affluent à sa mémoire, sa mère qui l'a élevé seule, son père, cet inconnu... Et taraudé par la curiosité de ses origines, il va mener sa propre enquête, en parallèle de celle de la police, afin de découvrir qui est cet homme et pourquoi il est mort. Une longue et difficile quête, à travers le pays et dans le passé.

Suite sur Les lectures de Lili
Lien : http://liliba.canalblog.com
Commenter  J’apprécie          10
Elvis Cole, le détective a du croiser plus d'une fois la route de Harry Bosch, vu que l'action se passe dans la même cité (des Anges), les mêmes rues. et il y a du boulot ! Elvis recherche le père qu'il n'a jamais eu au cours d'une très bonne enquête.
Commenter  J’apprécie          00




Lecteurs (366) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz sur le livre "Indigo blues" de Robert Crais.

Combien de temps se passe entre le déménagement et la visite des enfants au détective privé ?

3 mois
3 ans
6 mois
6 ans

10 questions
3 lecteurs ont répondu
Thème : Indigo Blues de Robert CraisCréer un quiz sur ce livre

{* *}