J'ai toujours ton cœur avec moi
Je le garde dans mon cœur
Sans lui, jamais je ne suis
Là où je vais, tu vas ma chère
Et tout ce que je fais par moi-même,
Est ton fait, ma chérie.
Je ne crains pas le destin
Car tu es à jamais le mien, ma douce.
Je ne veux pas d'autre monde
Car, ma magnifique,
Tu es mon monde, en vrai.
C'est le secret profond que nul ne connaît.
C'est la racine de la racine,
Le bourgeon du bourgeon
Et le ciel du ciel d'un arbre appelé Vie
Qui croît plus haut que l'âme ne saurait l'espérer
Ou l'esprit le cacher.
C'est la merveille qui maintient les étoiles éparses.
Je garde ton cœur, je l'ai dans mon cœur.
Car, ma magnifique, tu es mon monde, mon vrai monde.
C’est le secret profond que nul ne connait,
C’est la racine de la racine,
Le bourgeon du bourgeon,
Et le ciel du ciel d’un arbre appelé Vie,
Qui croît plus haut que l’âme ne saurait l’espérer
Et l’esprit le cacher.
C’est la merveille qui maintient les étoiles éparses.
(La mémoire de nos enfants)
fie-toi à ton cœur
quand s'embrasent les mers
(et ne vis que d'amour
même si le ciel tourne à l'envers)
Magnifique
est l'in
signif
iance
des(sil
encieux)floc
ons qui
(part
out
ici)se
Pressent
l’inamour est l’enfer sans cieux …
Extrait 3
je ne crains
nul destin(car tu es mon, ma douce)ne désire nul
univers(car vraie tu es le mien, ma belle) et c’est
toi ce qu’une lune a toujours voulu dire c’est toi
ce que toujours chantera un soleil
tel est le grand secret dont pas un ne se doute
(racine de la racine et bouton de la fleur et ciel
du ciel d’un arbre appelé vie; qui pousse plus haut
que l’âme n’espère ou que l’esprit ne voile) et la
merveille qui fait tourner rond les étoiles
je porte en moi ton cœur(tout au fond de mon cœur)
l(v
ole
e fe
ui
ll
e)
as
ol
itude
les collines
les collines
comme des poètes
revêtaient une pensée pourpre contre
la
magnifique clameur de
jour
torturée
dans l'or, qui s'effondre actuellement
froissée exhalant une âme rouge dans l'obscurité maître si obscur entre les douces portes de mon cœur et prends la rose, qui est parfaite Avec des mains meurtrières
l’inamour est l’enfer sans cieux …
Extrait 2
Ici(juste ici)est la liberté : toujours ici nul
après d’hiver ne vaut l’à présent printemps;
un jour d’avril transcende une année de novembre
(telle est l’éternité sans jusqu’à
où finir qu’à jamais j’ai deux fois vécu en un sourire)
je porte en moi ton cœur(le gardant tout au fond
de mon cœur)je ne suis jamais sans(aussi loin que
j’aille tu vas, ma chérie; et tout ce que font mes
mains est fait par toi, mon amour)
…
suis moi-même sculpteur
suis moi-même sculpteur
de l'idiome de ton corps ;
le musicien de tes poignets ;
le poète qui n'a peur
que de mal traduire
un rythme dans tes cheveux,
(le bout de tes doigts
ta façon de marcher)
le
peintre de ta voix-
Parce que de mordre la poussière tu n'as pas peur.