Idée de départ / Accroche du début de livre : 5/10
Développement des personnages : 6/10
Style de l'écriture : 7/10
Rendu de l'histoire : 6/10
Total 24/40 Babelio 3/5
Dure de marcher sur les traces de R.A Salvatore… D'autant plus dure, quand on fait la bourde monumental de confondre Malice Do'Urden avec Yvonnel Baenre. D'où je me suis interrogé est-ce une erreur inqualifiable de
Elaine Cunningham ou de la traductrice
Dominique Mikorey. Il est clair que Wizards of the Coast n'aurait pas permis une telle erreur. Cela prouve très certainement que la traductrice, qui cette fois n'est pas
Michèle Zachayus, a pris la liberté d'ajouter le prénom de la matrone Baenre, seulement pas de bol elle confond deux matrones et dans sa liberté de vouloir bien faire, laisse ce roman avec cette grosse boulette.
Alors encore une fois comment jugé un roman mal compris et mal traduis ? Ici je ne vais pas en imputer la faute à
Elaine Cunningham, mais tout de même un peu. de plus l'auteur maîtrise assez mal son sujet. Elle va presque jusqu'à dire que parmi les elfes noirs il y a des gentils commerçants qui vendent des babioles en tout genre. On est loin de l'idée d'origine développé par R.A Salvatore issu de l'univers de Donjon et Dragon (TSR). Il faut être clair Menzoberranzan est dirigé par trois classe d'individus : il y a les prêtresses de Loth, les sorciers, et les guerriers (reste les esclaves qui les servent pour différentes tâches). Et il n'y a en aucune façon des artisans et des agriculteurs. Les elfes noirs vivent de leurs rapines et de leurs trocs avec les peuples d'ombre-terre.
Donc on va dire copie plutôt raté par l'auteur mal aiguillée et encadrée. Toutefois elle arrive à tirer son épingle hors du jeu et rendant ses deux protagoniste vaguement sympathique. Il faudra voir ce qu'elle arrivera à en faire dans le prochain tome du cycle du monde d'ombre-terre à savoir L'étreinte de l'araignée.