La Doublure

J'ai toujours été fan des livres de l'auteur,peut être un peu moins de l'avant dernier.Mais j'aime les émotions qu'elle arrive à nous transmettre,sa plume est un régal à lire.
J'appréhendais la lecture de ce livre au vu des résumés et j'en ressors malmené,un peu choqué et très mal à l'aise.
C'est peut être la volonté de l'auteure mais je n'ai pas apprécié..
Si vous aimez le sexe,la violence et la dépravation ce livre est pour vous..

J'avoue ne pas m'être retrouvée dans cette nouvelle histoire de Melissa Da Costa. j'ai trouvé l'intrigue perturbante et elle m'a mit plusieurs fois mal à l'aise.
J'ai vite compris jusqu'où irait cette histoire de doublure. Les manipulations de Pierre et Clara qui pensent faire ce qu'ils veulent de la pauvre Evie ont vite pris le dessus sur l'histoire en elle-même et l'on ne peut qu'envisager une fin tragique à cette histoire.
Le mélange sexe, alcool et drogue est de trop pour moi. L'héroïne perverse qui se complait à reproduire les mythes bibliques les plus brutaux et qui ne peut peindre que des scènes de mutilation ne m'a pas du tout séduit.

Après avoir découvert l'auteure cet été, sans en avoir été convaincue, la curiosité m'a poussé à lire ce titre, car on a fait grand cas de son changement de registre, plus sombre, plus proche de mon genre de lecture,  donc.
Au final,  cette lecture m'a surtout convaincue de passer mon chemin sur ses autres romans.
L'héroïne,  Evie, est terne et godiche au possible. Elle vivote à Marseille en jouant les Penélope pour son copain Jean, marin, au gré de ses retours. Quand il la plaque, esseulée, elle cherche une autre voie. Engagée par un couple magnétique,  pour seconder l'épouse, Clara, peintre prometteuse, elle réalise vite qu'elle sera sa doublure officielle pour tous les évènements publics, l'artiste ne souhaitant pas s'exposer aux mondanités.
La timide Evie endosse le rôle, et Pierre, le mari, de surcroît ( auquel elle a droit pour jouer son rôle jusqu'au bout les soirs de vernissage !). Si elle est trop timide, hop, une petite ligne de coke, deux trois whisky, et c'est parti, elle devient la magnétique Calypso. Bien entendu, les règles de ce ménage à trois ne sauront pas être respectées....
Dans ce scénario,  iln'y a pas que les descentes qui sont raides, j'ai trouvé les personnages peu crédibles, Pierre, le soi-disant homme d'affaires charismatique est un jouet dans les mains de sa femme, la peintre est une caricature d'artiste torturée, et Evie est un summum de clichés. Quant à l'écriture,  désolée,  mais dans la description d'une pièce,  utiliser "joli" trois fois de suite pour parler d'éléments du décor,  je trouve qu'elle est peu travaillée. Seuls les passages sur les descriptions de tableaux m'ont donné envie de découvrir le courant du "romantisme gothique ", et je reconnais le travail de l'auteure.. mais pour le reste, non, décidément,  je ne comprends pas...jusqu'à la fin qui oscille entre le coup de génie et le grandguignolesque...bref, vu son succès,  ma petite critique ne déstabilisera pas la position de Mélissa Da Costa et je souhaite transmettre mon ressenti honnêtement.
Lien : https://instagram.com/danygi..

Le tant attendu nouveau Da Costa!
Je me suis jetée dedans les yeux fermés et… Quel changement pour cette auteure qui nous avait habitués aux feel goods! Malheureusement c'était beaucoup trop sombre pour moi et je me sentais, par moment, mal à l'aise.
Je me suis forcée à finir et je ne regrette pas car la fin ne m'a pas déplue mais je n'ai pas du tout accroché à ce nouveau style.

😞Oui... mais non

Alors oui ce livre est "original", oui il est bien écrit, oui la lectrice est géniale (vraiment), oui c'est une réécriture moderne du péché originel, oui c'est presque d'actualité avec la violence des femmes, oui plein de choses ... mais non pour moi.

Déjà la première partie est trop longue... j'ai frôlé l'ennui de beaucoup trop prêt. Alors oui, ensuite ça part un peu plus, mais tout est prévisible (j'avoue sauf cette fin ... la j'avoue avoir été bluffée même, si en réfléchissant, c'était la seule possible).

Alors oui, comme les personnages bibliques, le trio descend de plus en plus vers leurs noirceurs ... vers l'enfer en fait.
Mais non ... cette descente est trop malsaine. du 🍑, de la dr*gue, du 🍆, de la dr*gue ... que ça, que ça, que ça... et plus ça va plus le tourbillon est fort. On y rajoute l'addiction sous toutes ses formes, l'emprise, la manipulation, le sacrifice....n'y avait il aucun autre moyen d'arriver à ces enfers sans ce côté (ultra)malsain ? Sans nous faire endosser le rôle de voyeur?
(Et j'ai déjà lu des livres 100 fois pire mais 100 fois moins malsain).

Et la je me mets à la place de la tata qui a acheté ce livre comme cadeau à sa nièce de 15 ans... oui logique auteure feel good, accessible aux ados ... bon bein autant dire que la tata est évincée de la famille !!! (Allez hop une victime de plus au passage). Aucune mention, aucune mise en garde sur la couverture ... alors qu'on frôle l'apologie par moment du 🍆 sous dr*gue 🤦. En fait c'est ça qui me choque le plus. Perso je suis (largement 😝) majeure donc ça va je sais faire la part du bien et du mal. Mais une ado qui va lire ce livre (accessoirement avec la bénédiction des parents qui n'ont pas lu ce livre en particulier de cette auteure) ?

�n conclusion, second livre que je lis de cette auteure et premier "noir" de sa part. Même si j'admets que l'idée était originale et noble à la base, je ne suis absolument pas convaincue (mais alors pas du tout). Il m'a manqué tellement de choses d'un côté et au contraire tellement de trop d'un autre. En fait, j'ai eu l'impression d'un feel good noir. Autant dire que j'ai été déçue des 2 côtés du tableau.

La doublure de Mélissa Da Costa est un roman que je n'ai pas aimé du tout.
Je lis beaucoup de thriller bien glauque et j'adore mais là l'ambiance sombre et malaisante, les relations toxiques, les manipulations, l'apologie de la drogue, m'ont fortement dérangé et mise mal à l'aise.
De plus je n'ai eu aucune empathie avec aucun personnage !
Le roman m'a seulement apporté des connaissances sur l'art.
Cette auteure est très bonne dans les feel good et je pense qu'il faut vraiment qu'elle évite ce style de roman.....

Melissa da costa s'attaque à un genre plus noir et j'avoue que je n'ai pas du tout adhéré. Il se lit facilement et est rempli d'informations enrichissantes sur le romantisme noir et la peinture en général. Néanmoins, les thématiques abordées m'ont mis mal à l'aise et je n'ai pas pu finir le livre. Je me suis arrêtée au trois quarts. Ce n'était pas pour moi.

Ce roman ne m'a pas du tout convaincue. J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans cette histoire et beaucoup de mal à la finir aussi.
Cette doublure d'une artiste peintre qui ne veut apparaître nulle part, le jeu pervers sur fond de sexe et de drogue, d'un couple vis-à-vis d'une jeune fille un peu perdue et fragile… Pour moi tout a sonné faux dès le départ et je me suis ennuyée. Je ne lis que des critiques magnifiques sur ce roman, et je me demande pourquoi je n'ai jamais réussi à aimer. Question de sensibilité peut-être. Par contre, j'ai découvert ce qu'est le romantisme noir, et il est toujours intéressant d'apprendre quelque chose.

C'est une chronique très difficile à écrire pour moi tellement cette lecture a été laborieuse !

J'ai trouvé beaucoup de longueurs dans la première partie durant laquelle je me suis ennuyée, la deuxième ne fut pas forcément plus concluante...
Par contre j'ai beaucoup aimé la troisième partie que j'ai trouvée très addictive ainsi que la fin qui est surprenante !

Ce trio composé de Pierre, Clara et Evie est particulier. Chacun d'entre eux a un comportement malsain qui fait que je ne me suis attachée à aucun de ces personnages.

L'histoire est sombre, très sombre même.
Il y a énormément de manipulation, de mensonges, d'alcool, de drogue. On ne sait jamais ce que les personnages pensent vraiment.

Les très nombreux passages autour de la peinture m'ont totalement perdue. Je reconnais le travail de recherche énorme de l'auteure autour de ce domaine mais ça m'a ennuyée, j'ai trouvé qu'il y avait trop de détails et d'explications.

Il y a eu un tel engouement autour de ce roman que j'avais peut-être placé trop d'espérances dans cette lecture surtout que Tout le bleu du ciel a été mon plus gros coup de coeur de l'année.
Mais on est bien d'accord, ce n'est plus du tout le même style !

Déception.

Franchement ce livre m'a vraiment fait de la peine. J'ai adoré les précédents livres de melissa Da Costa, et celui là m'a fait complètement déchanter. J'ai trouvé ça long et lourd, certains passages sont redondants et sans intérêt. le sujet de l'art pourrait être intéressant si il n'était pas si malsaint. Un livre qui manque cruellement de saveur.