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3,99

sur 3284 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Avec ce nouveau roman, Mélissa Da Costa s'éloigne du genre "feelgood" auquel elle m'a habituée jusqu'ici. "La doublure" est en effet bien trop sombre et malaisant pour être rangé dans cette catégorie. Loin de nous faire du bien, au contraire, j'ai ressenti tout autre chose pendant ma lecture, un sentiment très bizarre, à la limite du glauque, qui m'a clairement gênée pour pouvoir l'apprécier dans son entier.

Evie, à la recherche d'un emploi, va croiser par hasard Pierre, en quête d'une assistante pour sa femme Clara, artiste peintre qui commence à peine à se faire connaître sous le nom de Calypso Montant. Au fil du temps, Evie va comprendre que ce qu'on attend d'elle ne se limite pas uniquement à organiser des expos et répondre aux mails de sa patronne. Clara, qui ne veut pas se prêter aux jeux des journalistes, ni se montrer en public, qui ne veut que se consacrer à ses tableaux, attendra d'Evie qu'elle devienne son image, son double, sa doublure... C'est Evie qui se déplacera là où on attend l'artiste, qui donnera le change, toujours au bras de son pseudo-mari Pierre. Tantôt Calypso, tantôt Evie, ses sentiments et impressions finissent par se mélanger. Elle basculera dans un monde auquel elle n'était pas préparée : drogues, échangisme, romantisme noir révéleront sa vraie personnalité...

Mélissa Da Costa a pour habitude de nous gâter avec ses livres épais, dans lesquels on a toujours beaucoup à lire, nous permettant de rester un moment dans la même histoire. En cela, je ne le lui reproche pas, bien au contraire. Elle prend le temps de camper ses personnages, son contexte et ses décors. Ici, on baigne dans le milieu de l'art, celui du romantisme noir plus précisément, lequel je ne connais pas grand-chose je dois l'avouer. J'en ai donc appris énormément sur ce courant. J'ai même pris plaisir à consulter sur Google chacune des oeuvres évoquées. Les différentes théories sur l'histoire d'Adam, Ève, Lilith, le Serpent et Satan sont très intéressantes, là encore j'en ai appris de bien bonnes... Quoi qu'il en soit, l'autrice maîtrise parfaitement son sujet et tout ce qui nous est dépeint implante l'ambiance générale : noire, malsaine, malaisante.

Ce qui m'a posé problème, ce sont les personnages. le trio Evie/Pierre/Clara, faisant clairement référence au trio Eve/Adam/Lilith, m'a entièrement déplu. Si l'autrice ne lésine pas sur l'aspect psychologique de son personnage principal (à savoir Evie), elle a en revanche tout fait pour me la rendre antipathique. On perçoit tous ses ressentis, mais elle est faible, n'a aucune personnalité, est consciente d'être manipulée, n'a pas dit non une seule fois. Sa vraie personnalité, ou plutôt sa personnalité tout court, ne se réveille que bien trop tard pour que je m'attache à elle.

Et puis, il y a Pierre et Clara, qui jouent parfaitement leur rôle mais qui évoluent dans un monde de drogues et de sexualité perverse, rendant l'intrigue malfaisante, trop tordue.

Tout est en fait trop toxique : les personnages, leurs relations, le milieu dans lequel ils évoluent. Pourtant, tout est bien dépeint : le courant du romantisme noir, la dépendance aux stupéfiants, les ressentis d'Evie, la toxicité des relations entre les protagonistes. Mais tout ça plombe, à mon sens, toute l'histoire. C'est lourd, long par moments, trop malsain.

Je n'ai rien ressenti durant toute ma lecture, aucune empathie et aucun attachement pour les personnages, aucune émotion, si ce n'est un sentiment de malaise face à toute cette perversité.

La fin ne m'a pas déplu. J'ai également apprécié toutes les infos que j'ai pu apprendre sur le romantisme noir, tout comme j'ai apprécié découvrir de nombreuses oeuvres et en suivre l'analyse et l'interprétation que les personnages en ont fait. Mais ça s'arrête malheureusement là, je me suis peu intéressée à l'histoire en elle-même.

Mélissa Da Costa nous offre ici une nouvelle facette de son travail, en osant sortir de l'étiquette "feelgood" qui lui est affublée, pour s'approcher davantage du roman noir. J'ai d'ailleurs pu lire de jolis retours de lecture de certains amis babelionautes (bien que pas tous). Ce livre aura donc ses adeptes, mais il n'a malheureusement que peu fonctionné sur moi...
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Suite à sa rupture d'avec Jean qui aura duré 5 ans, Evie quitte Marseille ain de démarrer une nouvelle vie.
Elle reçoit d'une façon incongrue, une proposition, celle de Pierre, mari de Clara, une étoile montante dans le monde de l'art. Evie va jouer le rôle d'assistante personnelle jusqu'au jour où Pierre va lui demander d'être la doublure de Clara…


Cette lecture fût un paradoxe pour moi. il y a ce côté art très bien développé par Mélissa Da Costa, un sacré travail d'investigation. J'ai appris beaucoup de choses et pour cela je l'en remercie.

L'autrice a voulu changer complètement de style, nous sommes loin des paysages et de l'émotion que j'ai eut pour tout le bleu du ciel. C'est un parti osé diamétralement opposé de ce qu'elle écrit d'habitude et encore une fois je dis bravo pour sa pugnacité.

Vous êtes beaucoup à avoir aimé.
Malheureusement pour moi cela ne l'aura pas fait.
Je n'ai pas aimé la vulgarité dans certaines situations, pour moi ce n'était pas obligée. Les états d'esprit passaient bien sans cela.

Le sujet de la drogue est pour moi banalisée, l'on pourrait presque dire à mais chouette cela deshinibe complètement, cela va simplifier ma vie. C'est un sujet qui m'est très sensible d'où mon impression qui n'aura pas le même impact sur vous.
Bien entendu, l'autrice a voulu un roman complètement décomplexé c'est donc dans sa logique mais pas la mienne.

Par contre et c'est là mon paradoxe, c'est qu'il est adictif. Pourquoi et bien je ne saurais pas vous répondre et là pari réussi.

Loin de moi de vouloir casser son livre. Je suis respectueuse de son travail.
C'est juste qu'il n'était pas pour moi. Il y a des rendez-vous manqués dans la vie.

Vous êtes nombreux à l'avoir aimé et c'est le principal.
Ma chronique s'arrêtera là, il y en a deja beaucoup sur booksta.

Extrait :

··Mᴇʀᴄɪ ᴅ·ᴀᴠᴏɪʀ sɪ ʙɪᴇɴ ᴅᴇ́ᴘᴇɪɴᴛ ʟᴀ ʟᴀɪᴅᴇᴜʀ ᴇɴ ᴘᴜɪssᴀɴᴄᴇ ϙᴜɪ sᴏᴍᴍᴇɪʟʟᴇ ᴇɴ ᴄʜᴀϙᴜᴇ ᴇ̂ᴛʀᴇ ʜᴜᴍᴀɪɴ, ᴍᴀɪs ᴅᴏɴᴛ sᴇᴜʟ ʟᴇs ᴘʟᴜs ғᴀɪʙʟᴇs ғᴏɴᴛ ᴜsᴀɢᴇs.··
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Sexe, drogue, mais pas trop rockn'roll, le nouveau roman de Mélissa Da Costa est considéré par les Babéliotes comme une réussite ou un ratage. Dans mon cas, j'ai gardé en refermant ce roman comme un arrière-goût d'arnaque, et ce n'est pas forcément un compliment (ça aurait pu).
Evie Perraud est une jeune femme de vingt-trois ans, très naïve, trop confiante. C'est d'ailleurs ce qui lui a fait perdre cinq années de sa vie, après avoir attendu son compagnon marin qui lui a annoncé un jour ne plus jamais revenir. Et c'est comme ça aussi qu'elle se retrouve embauchée par Pierre Manan, un riche homme d'affaires, pour servir d'assistante à sa femme Clara, artiste peintre en pleine ascension, connue sous le nom de Calypso Montant. Ce qui au départ ne devait être qu'un poste de relations presse et d'organisation de cocktails devient rapidement autre chose puisque Clara et Pierre lui demandent de se faire passer pour Calypso Montant dès la première exposition de l'artiste, Clara souhaitant se concentrer uniquement sur sa peinture. Evie se prendra au jeu, attirée par les Manan comme un papillon de nuit par la lumière, devenant rapidement le jouet de ce couple aux intentions troubles. A moins que…
Manipulations, mensonges, dépravation, tout est mis dans le shaker par Mélissa Da Costa pour nous servir un roman vénéneux comme un datura : Clara Montant est une artiste qui s'inspire du romantisme noir pour ses tableaux, a un caractère assez spécial, et est portée avec son mari sur l'échangisme (et d'autres pratiques dont on nous rebattra les oreilles pendant tout le roman sans jamais lever le mystère) et très sûrement sur la domination, dont elle use et abuse sur son petit monde, en premier lieu son mari. L'autrice nous sert les références du genre pour rendre une atmosphère délétère : les tableaux de Goya, Füssli ou Collier pour l'art, Baudelaire, Ann Radcliffe, Matthew Gregory Lewis et le marquis de Sade pour la littérature, et surtout le mythe de l'opposition entre Lilith et Eve pour la religion. Ce thème sera d'ailleurs central dans l'histoire.
J'ai pris plaisir à lire la première grosse partie du roman, Mélissa Da Costa réussissant à installer une ambiance vraiment très particulière, très sombre, vicieuse, très directement sexuelle, qui plaira ou qui choquera selon le lecteur. C'est en gros la partie où Evie découvre son rôle de doublure et se prêtera de plus en plus à ce petit manège qui devient, comme on le devine assez vite, dangereux pour tout le monde. Cette partie est maîtrisée pour moi car l'autrice met en place une intrigue qui peut se déployer de différentes manières (Evie sera-t-elle une victime ou l'inverse ? Les Manan sont-ils des manipulateurs finis ou simplement des libertins ?) avant de se refermer pour se rouvrir dans d'autres directions. C'est assez plaisant de se sentir soi-même manipulé dans la lecture.
Mais arrivée à la seconde partie du roman, alors là c'est le retournement complet et c'est la catastrophe. Les éléments qui faisaient jusque-là la qualité du roman deviennent la cause du naufrage : une histoire à la dérive, qui devient ridiculement manichéenne (la victime est très victime tandis que la méchante est très méchante, alors que franchement, le personnage en question se défend avec ses moyens, on ne pourra pas le lui reprocher et en tout cas moi je le comprends), avec des dialogues dont la qualité baisse franchement, et des rebondissements rocambolesques. J'avais deviné le pénultième rebondissement, plus motivé par une faiblesse de caractère de la part du personnage que par un réel vice, dommage de ne pas être allée jusqu'au bout, avant une fin qui relève un peu le niveau. Bref je me suis sentie en colère contre Mélissa Da Costa d'avoir réussi une moitié de roman avant de saborder la suivante avec la même facilité. J'ai très peu aimé le personnage d'Evie, que j'ai trouvé agaçant de bout en bout, et dont les souffrances m'auront servi d'exutoire face au délitement du roman. C'est excessivement dommage car « La doublure » reste un roman marquant, qui aurait pu être un véritable chef d'oeuvre.
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Trop chanceuse, la petite vendeuse de sandwitches Evie Perraud quand, descendant de son yacht sur le port de Marseilles, Pierre Manan lui offre un job à 4000 euros: public relation de son épouse, la peintre Calypso Montant aliénée au romantisme noir, perversion gore qui, entre club échangistes, alcool et drogue, va baigner ce trio.

Ce qui pourrait être intéressant c'est la spirale de jalousie et de haine entre les deux femmes, exacerbée par l'addiction à la cocaïne.

On sent le travail de l'auteure pour élaborer son histoire mais une histoire et des personnages que j'ai trouvé peu crédibles. Je me suis ennuyé et 'Tout le bleu du ciel' mettra du temps avant d'intégrer ma pal.
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Thriller noir psychologique, dérangeant, glaçant qui déclenche des sentiments ambigus.
peu d'empathie pour les personnages
Une écriture malsaine qui percute, déroute mais d'une
addiction extrème.
Je ne peux pas dire si j'ai adoré ce livre : il m'a dérangée, malmenée, choquée et pourtant tenue jusqu'à la fin !

Trois personnages :
Clara peintre : ses oeuvres, uniquement des scènes de mutilations, morbides, sous couvert de mythes bibliques, exorcise ses démons, ses noirceurs dans la peinture
fixe les règles, soumet les autres à ses désirs
récompense, punit,
Pierre son mari, son terrain de jeu
Evie sa doublure, fragile, innocente, docile qui va découvrir la descente aux enfers...
Une relation toxique de manipulations humaines,
d'emprise et perversion à son paroxysme
dans une ambiance de cocaïne, sexe, alcool, violence,
cruauté....
Les manipulateurs deviennent manipulés

Envie d'arrêter, envie de continuer et découvert une fin surprenante !
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Le mois précédent, je découvrais Mélissa da Costa avec tout le bleu du ciel, un livre tout en douceur avec ses personnages bienveillants et là c'est la chute libre! On se retrouve face à un couple mystérieux, pervers, diabolique avec des intentions malsaines Pierre Manan et son épouse Clara dont le pseudonyme est Calypso Montant, une artiste peintre. le personnage principal se nomme Evie, une jeune femme naïve qui semble bien perdue dans sa vie privée qui rencontre Pierre sur le port de Marseille alors qu'elle cherchait du travail. Sa rencontre à priori une chance pour elle va la faire basculer dans une relation toxique.
Le lecteur ressent tout le long du livre un malaise , une angoisse et se sent impuissant face à cette escalade vers la déchéance.
La fin m'a laissé sans voix c'est un aller simple pour l'enfer.
Avec ce livre, Mélissa da Costa réalise une prouesse et montre une autre facette de son talent à travers ce roman noir bien documenté concernant le romantisme noir, les courants picturaux et les religions .
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 De Mélissa Da Costa j'ai lu deux livres. Je pense m'arrêter à ce chiffre. Si j'ai aimé "Tout le bleu du ciel" je n'ai pas du tout apprécié "la Doublure". Son ambiance morbide et perverse m'a ennuyée pour ne pas dire choquée. Quant aux trois principaux protagonistes, Evie, Pierre et Clara, je n'ai éprouvé à leur égard aucune empathie. Irène avec peut-être Gaël sont, bien que secondaires, les seules personnages appréciables.

De plus cette histoire a un côté invraisemblable : le contrat de travail d'Evie a duré sept mois. Est-il possible d'engranger autant de connaissances et d'aisance dans le domaine pictural et littéraire du romantisme noir en si peu de temps ?

L'amie qui m'a prêté ce roman était très enthousiaste du genre "waouh ! tu vas voir c'est super". Lorsque je vais le lui rendre ma remarque sera plutôt "bof, assez nul". Nous en discuterons à plusieurs car le roman est au programme de notre prochain café littéraire.
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Plus que mitigée sur ce livre. Rien n'a voir avec les autres livres de Mélissa Da Costa.
Une histoire loin d'être réelle, des personnages qui ont tendance à nous énerver, certains par leur cruauté, d'autres par leur naïveté.
Malgré cela le livre reste addictif si bien que même en étant perturbée par ce récit, nous ne pouvons que continuer à lire
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Création artistique et tendance au macabre. Mythes et réalité.

Dans le Sud de la France, une jeune fille assez fragile et insouciante, Evie, se retrouve à accepter la proposition de travail que lui fait Pierre Manan.

Ce changement de cap - quotidien et vie professionnelle – la conduit à St Paul de Vence, célèbre village d'artistes. Chez les Manan, Evie va faire la connaissance de l'épouse, Clara, artiste peintre, et être initiée à l'histoire de l'art à commencer par le courant du romantisme noir, très empreint de morbide, domaine de prédilection de Clara.

Un étrange trio se forme dans la demeure cossue de ce couple énigmatique et une atmosphère malsaine et intrigante se diffuse dès le départ. L'ambiance se prête au trouble, au mystère, à la fascination, au malaise et à la manipulation.

Il est question de création originelle, des tourments de l'âme, de paradis – au sens biblique et artificiels.
On assiste à une spirale étourdissante et toxique, un engrenage infernal dans un monde doré en surface. En quelques mots, passion, sexe, jalousie, vengeance, emprise, perversité.

Un trio pris au piège de son propre jeu.

*
J'ai beaucoup apprécié la première partie du roman centrée sur l'art et les références liées aux oeuvres artistiques. En effet, j'aime lorsqu'il est question d'explorer les pensées des artistes à travers leurs oeuvres - expression de leurs tourments - leur psyché -, ainsi que l'écho, la résonnance qu'elles trouvent chez le spectateur par cet autre langage émotionnel que les mots.
J'ai aimé le côté histoire de l'art – le romantisme noir, les légendes et références à la mythologie.

Je découvre l'auteure avec ce roman et j'ai trouvé son style d'écriture fluide et agréable.
Toutefois, la seconde moitié de l'histoire m'a laissée perplexe quant à la crédibilité des personnages principaux. Un roman sombre, quasi thriller psychologique, trop long à mon goût, et je reste mitigée et donc un peu déçue.








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Je suis très mitigée devant ce nouveau roman de Mélissa Da Costa dont je viens de tourner la dernière page.

Certes, l'auteure s'est engouffrée dans un nouveau style par rapport à ses précédents romans, où il était question à chaque fois de résilience, mais à mon sens, ce n'est pas très réussi….

Pour le synopsis : la jeune Evie, suite à une déception amoureuse, cherche à prendre le large et arpente avec son CV sous le bras, le port de Marseille, à la recherche d'un petit boulot sur un yacht par exemple. Elle va être repérée par Pierre Manan, homme d'affaires, qui va lui proposer de devenir l'assistante de sa peintre de femme…

Mélissa Da Costa nous propose un roman sombre qui présente un trio amoureux et destructeur flirtant avec le cruel et le sadisme. Plus le lecteur entre dans ce roman et plus il se retrouve confronter à une situation qui dégénère et devient de plus en plus inextricable.

Pour autant, la situation est particulièrement incongrue et tirée par les cheveux, je n'y ai pas vraiment cru dès le départ et c'est là le début du problème.

Mais, ce qui au final m'a le plus dérangée c'est que je n'ai pas réussi à m'attacher le moins du monde à aucun des personnages. Tous très caricaturaux, je n'ai pu ressentir aucune compassion. Je les ai trouvés extrêmement pathétiques et consternants.

Le roman a néanmoins des côtés positifs, il m'a fait découvrir un pan de la peinture que je ne connaissais que très peu et j'ai pris plaisir à aller chercher sur internet les images des tableaux décrits.

Je suis navrée de cette critique plutôt négative, j'attendais beaucoup de ce roman et de cette auteure...
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